La notion de génériques telle qu’elle est connue et appliquée est un faux problème et une réelle roublardise. Pourquoi faire compliqué quand on peut faire simple?

1.Tout nouveau médicament doit être mis sur la marché avec sa dénomination commune internationale (DCI). Pas de nom à visée publicitaire.

2.Son prix de vente doit être contrôlé dès sa mise sur le marché en fonction des frais de recherche du laboratoire, de l’innovation thérapeutique apportée par le remède (tout produit qui sent le “réchauffé” doit être interdit et ne pas obtenir d’AMM), ce qui est appelé le service médical rendu.

3. Toute publicité bidon avec des effets de manche doit être interdite. Un médicament n’est pas une machine à laver! 

4. Quand il tombe dans le domaine public, le médicament peut être vendu à prix moindre et tout “générique doit être une copie-copie c’est à dire une copie en tout point conforme à l’original.

5. Seule est acceptée une modification des excipients à effet thérapeutique notoire qui doivent d’ailleurs faire l’objet d’un contrôle très strict dès la mise sur le marché du médicament princeps. En effet, ces excipients ont souvent un effet délétère et peuvent être facilement remplacé par des produits sains. Tel le E 171 (Dioxyde de titane utilisé comme liant et colorant blanc) et contenu dans pratiquement tous les médicaments. Il ne sert à rien et est soupçonné d’être, entre autres, cancérigène. Les colorants devront être entièrement naturels. Ex: Le cassis est conseillé dans les remèdes utilisés en rhumatologie et la myrtille dans ceux utilisés en ophtalmologie etc.

Voilà mes propositions de base concernant les génériques. Elles sont transparentes. Elles éviteraient une diatribe stérile et les défaillances sérieuses qui se sont produites avec des laboratoires tels que Apotex (Canada), Ranbaxy (Inde), Ethex, Actavis totowa, et Sandoz et Servier.

DR JO