https://www.youtube.com/watch?v=Jislxl-1M8M
Conférence sur le Traité de l’OMS sur les pandémies organisée par les députés européens Francesca DONATO, Stasys JAKELIŪNAS, Virginie JORON, Mislav KOLAKUŠIĆ, Sylvia LIMMER, Ivan Vilibor SINČIĆ et Cristian TERHEŞ avec la participation des experts de CHD Europe, Silvia BEHRENDT, David BELL, Philipp KRUSE et Wolfgang WODARG.
Il faut qu’un maximum de personnes visionnent cette conférence qui est CAPITALE. Nous avons un an pour agir et essayer de contrer ce qui se trame, à savoir qu’à travers l’OMS se met en place un gouvernement mondial. Il faut tout visionner et écouter. En particulier l’intervention ( à 1h 15 de la visio) de Mme S. Behrendt. Je ne peux pas la commenter car la traduction un peu embrouillée ne m’a pas permis de prendre des notes. Juste après elle est intervenu un avocat M Philipp Kruse qui explique pourquoi vous devez bouger, prévenir vos amis et vos proches si c’est possible car certains ne comprennent absolument pas ce qui est en train de se trâmer et dans ce cas ne vous fâchez pas avec eux; prévenez d’autres personnes.
Le but de l’OMS est de limiter la souveraineté des États membres.
Les gens vont devoir:
- Céder sur les droits humains
- Céder leurs deniers personnels
- Mettre leur santé entre les mains des États qui transféreront tous leurs droits fondamentaux à l’OMS et aux producteurs de substances expérimentales qui vont s’enrichir et posséder toutes ces données confidentielles. Ils vont avoir en mains tout le pouvoir et toute la souveraineté qui en fait devraient appartenir aux États membres.
Ils auront bien entendu les droits de propriété intellectuelle et en retour qu’allons-nous recevoir ? RIEN. Pour avoir cédé tous nos droits et toutes nos données, nous aurons de la désinformation. - L’OMS va avoir le contrôle de TOUT.
Que chacun apporte une petite pierre à l’édifice, transmette ces informations et le moment venu sache dire NON.
“Soyez résolus de ne servir plus, et vous serez libres.” Étienne de la Boétie
“Les tyrans ne sont grands que parce que nous sommes à genoux” (ibidem)
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