Je me permets donc de publier intégralement le bulletin d’Info-vac du premier janvier 2023 qui se veut scientifique sans produire ses sources et qui affirme des faits que je vais contredire en rouge avec la même pertinence qu’infovac. Le discours se veut comme d’habitude alarmiste (la peur, toujours la peur) et appuie sur la nécessité de la vaccination. Vous avez bien compris qu’il suffit de penser l’inverse de ce qui est dit pour connaître la vérité des faits.

Bulletin n°1 Janvier 2023

Écrit le 23 janvier 2023.

Dette immunitaire oblige (immunité naturelle mise à mal par les vaccinations depuis des décennies)  la revanche des virus et bactéries respiratoires hivernaux est sans pitié (je rappelle qu’ils n’ont pas de cerveau et ne pensent pas, donc ne peuvent pas “se venger”)

L’épidémie de VRS est en régression (sans vaccination) et même si le nombre de bronchiolites reste relativement élevé (cf courbe PARI, Lien 1), bon nombre d’entre elles sont actuellement dues à d’autres virus que le VRS, dont celui de la grippe (CF courbe VIGIL, Lien 2). Et alors ?

La 9ème vague épidémique COVID-19 est en repli en FranceElle était due majoritairement à Omicron BA5 (n’oublions pas le BABA O RHUM 8 et sa femelle le BABA O RHUME 9 très, très contagieux) et ses sous-variants : 2 menaces cependant à l’horizon (méfiez-vous de l’horizon thalle constitué de filaments microscopiques qui peuvent s’insinuer dans les trous de nez subrepticement et créer le syndrome du nez bouché qui fait concurrence au syndrome de la trompette de Sidnez Bechet et contre lequel un vaccin est en préparation) font la une des médias :

  • La situation épidémiologique en Chine, secondaire à l’arrêt brutal ( qui aurait dû être progressif: un confiné dedans, un déconfiné dehors en alternant toutes les 5 minutes par exemple – ou l’inverse) des mesures de confinement strictes mettant en contact une population nombreuse, âgée, pas/peu ou mal immunisée (vaccins inactivés chinois) ( vive les vaccins à ARNm) avec des variants Omicron BF.7 (et le parisien voyageur impénitent le Omacron BF.75 )représente plus de 95% ( ,3)des cas, très contagieux et nécessitant une immunité préalable ( qui a été bloquée par le confinement) pour prévenir des formes graves.
  • L’émergence aux Etats-Unis d’un variant XBB.1.5 (Turbo V6 en ligne) (recombinant des sous-variants d’Omicron BA.2.10.1 et BA.2.75 avec une mutation S486P (et pour les personnes âgées mâles à risque: le S486PP et femelles le S486MéMé). Par rapport aux variants précédents : transmissibilité accrue de 140 % et moindre sensibilité à l’immunité humorale (post infection ou post vaccination), sans signal de sévérité particulier. Si vous voulez en savoir plus sur l’actualité Covid : NL-45. La 4ème voire la 5ème dose de vaccin doit être administrée à tous les patients à risque, idéalement avec un délai minimal de 6 mois (sauf pour les sujets âgés et les immunodéprimés) depuis la dernière stimulation immunitaire (vaccin ou maladie). Un étude récente établie par l’AVLI (Association des Vaccinés à la Libido Impétueuse) a démontré sans ambiguïté que les patients à risque (danger plus ou moins prévisible) étaient protégé à vie (c’est à dire jusqu’à leur mort, qui fut relativement rapide, puisque peu en réchappèrent) en se faisant injecter les 4ème et 5ème doses ensemble mais dans un muscle différent. Une étude est en cours, établie par des randonneurs doublés d’aveugles, afin de mettre en évidence les bienfaits de l’ajout d’une 6ème dose injectée dans les corps caverneux. A suivre…

L’épidémie de grippe est la plus précoce, la plus brutale et la plus élevée des 10 dernières années. (Une interview conjointe des rhinovirus, orthomyxovirus, coronavirus, les virus influenzae A, B et C etc. a abouti à minimiser ce type de raisonnement et a conclu au fait qu’ une grippe arrive tous les hivers, elle est toujours “épidémique” depuis la nuit des temps, et est donc prévisible; “brutale”, peut-être, depuis la pseudo vaccination anticovid, “la plus élevée” terme qui ne signifie rien et n’a aucun sens) Elle est due très majoritairement en Europe à H3N2 (environ 80%), environ 15% des cas à H1N1 et moins de 5% à une souche B. (Nous mentionnerons pour mémoire le HS HS NS3 qui sature les réanimations). Ceci explique que les pédiatres participant aux études ACTIV-AFPA et les vétérinaires aux études ACTIV-SPA utilisant des triples test(s) (COVID-VRS-Grippe) et des quintuples tests réservés aux tousseurs professionnels signalent plusieurs enfants ayant eu 2 grippes A prouvées cette année dans des délais très courts (ce qui ne correspond pas à des délais très longs) La HAS (bourrée d’énergie) a lancé un processus de Consultation Publique “Stratégie de vaccination contre la grippe saisonnière chez l’enfant” ».

Voilà la réponse du site : Résultats pour « “Stratégie de vaccination contre la grippe saisonnière chez l’enfant” � »

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Faites un copier-coller. Merci

Au terme de l’évaluation, ( SVP ! un peu de cohérence et d’honnêteté, donnez-nous le lien sur Santé Publique et sur l’évaluation) « la HAS recommande d’offrir ( diable, généreuse la HAS !) la vaccination à tous les enfants âgés de 2 à 17 ans en utilisant préférentiellement le vaccin nasal, compte tenu de la meilleure acceptabilité chez l’enfant ». Les sociétés savantes de pédiatrie soutiennent cette recommandation dans un contexte de saturation des services de pédiatrie, des urgences pédiatriques et de la médecine libérale durant les épidémies hivernales (Pourquoi sont-ils saturés ? C’est plutôt la population qui est saturée de votre incurie !) Cette situation risque de se renouveler les prochaines années du fait de la démographie médicale et des conséquences de la levée des mesures d’hygiène imposées par la pandémie. Cependant, un programme de vaccination annuelle contre la grippe des enfants – est absolument déconseillé – ne peut obtenir des couvertures vaccinales élevées que si le vaccin vivant nasal est disponible (cet argument n’est pas recevable puisque les 11 vaccins obligatoires se font par piqure. Existe t-il un autre intérêt au vaccin nasal ? that is the question) En effet, « la piqûre annuelle » serait indiscutablement un frein. Même si d’une année sur l’autre, d’une souche à l’autre, d’un vaccin à l’autre, les efficacités à court terme des vaccins injectables et nasaux semblent similaires, le type d’immunité induite avec le vaccin nasal (proche de l’immunité naturelle) C’est l’immunité naturelle la meilleure, vous vous mélangez les pinceaux car vous n’avez pas d’arguments valables !) a toutes les chances ( utilisation du conditionnel, comme d’habitude) d’être plus durable et surtout d’exercer un effet de groupe plus marqué que celle induite par le vaccin inactivé (BLABLABLA). Comme au Royaume Uni, la vaccination dans les écoles devrait être favorisée (un traitement de faveur pour nos enfants). Enfin, elles insistent pour que cette recommandation s’accompagne d’une communication « forte » (tiens donc!) vers les professionnels de santé (qui peuvent réfléchir par eux-mêmes car ils sont justement des professionnels de santé) et le grand public, soulignant l’intérêt individuel et collectif mais aussi les limites de cette vaccination, qui se résument à l’imprévisibilité chaque année du niveau d’efficacité (raison pour laquelle l’immunité naturelle est parfaitement adaptée à la grippe où les vaccins sont quasiment inefficaces et même dangereux pour nos enfants et il va bien falloir les laisser tranquilles et arrêter de les considérer comme des actions boursières).

Il est encore temps de vacciner vos patients contre la grippe. (Il est surtout temps de dire NON à cette folie vaccinale et de laisser tranquille le système immunitaire de chacun qui n’est pas un terrain de jeu.
Si vous voulez en savoir plus sur la grippe de l’enfant, cliquez ici (Lien 3). Et NON, ne cliquez pas

En plus des épidémies de virus respiratoires, sont venues s’ajouter des épidémies d’infections bactériennes : « Les virus condamnent, les bactéries exécutent » selon le vieil adage datant de la pandémie de 1918. Elle a bon dos celle-là. la base de la prévention reste l’hygiène. En 1918, après la guerre, l’hygiène n’était pas terrible.

  • Les infections à Streptocoque du groupe A, notamment les formes invasives, ont atteint dans différents pays, dont la France, des niveaux jamais observés en pré-Covid, (Bien sûr, il n’y avait pas de Covid avant!) avec des décès rapportés. ‘(“Des décès rapportés” ? Par qui ? )
  • Les infections invasives à pneumocoques ont augmenté par rapport aux années pré-COVID (et avant la vaccination covid)
  • Les infections invasives à méningocoques (B, Y et W) ont augmenté très rapidement dans certains pays dont la France.

Robert Cohen, Catherine Weil-Olivier, Hervé Haas, Pierre Bakhache, Pierre Bégué, Véronique Dufour, Marie-Aliette Dommergues, Joël Gaudelus, Isabelle Hau, Odile Launay, Maeva Lefebvre, Didier Pinquier, Olivier Romain, Franck Thollot, François Vie Le Sage, Claire-Anne Siegrist.
Je laisse le soin à chacun d’aller contrôler les liens d’intérêts de chacun des impétrants nommés ci-dessus.
Bonne lecture ! et DIFFUSEZ !

By docteurJO

Médecin de campagne puis Médecin de ville, acupuncteur, ostéopathe, vice Président de l'I.H.S (Institut Homéopathique scientifique), retraité depuis 2011. Je tiens ce blog qui a pour but de relayer en matière de santé, l'information des lanceurs d'alerte sur l'agriculture, la nutrition, la destruction des écosystèmes planétaires, les dérives de l'industrie pharmaceutiques, etc...

2 thoughts on “Quand les virus semblent n’avoir aucun secret pour Infovac-France dont les bulletins laissent rêveurs”
  1. Quelle proportion du personnel de santé réfléchit par elle-même ?

    Combien se sont dépasteurisés ?

    Il y a des célébrités anti-IGE qui ne le sont même pas encore

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