Voilà le style de lettre que la DGS envoie aux médecins
DGS Organisation de l’offre de soins en prévision d’une nouvelle vague épidémique ( ils veulent nous reconfiner le 13 mars et prévoient une “nouvelle vague”, ce ne sont pas des scientifiques mais des voyants mal intentionnés avec un discours rôdé, toujours identique et complètement débile).
et actualisation des règles d’éviction pour les professionnels (Ils imposent des règles idiotes à des professionnels considérés comme idiots – logique implacable –
Madame, Monsieur,
La situation épidémique est préoccupante ( elle ne préoccupe que la DGS ! ) avec la persistance de fortes tensions des services hospitaliers dans les régions de l’est, sous l’effet de l’activité COVID. Il y a effectivement des tensions mais qui ne sont pas celles énoncées:
Je prends l’exemple de Strasbourg: suicides, mal être, sont les conséquences de la politique gouvernementale.
https://www.europe1.fr/sante/ca-explose-a-strasbourg-les-services-de-pedopsychiatrie-arrivent-a-saturation-4023736
notamment, conjuguée à une progression importante du virus et de la sollicitation de l’offre de soins dans les régions de l’ouest, dans un contexte de circulation de plusieurs variantes du SARS-CoV2, dont les effets sur le système de santé sont difficilement évaluables à ce stade. (On évalue RIEN et on affole tout le monde) Cette évolution fait craindre (toujours le conditionnel qui ne traduit que la peur. Derrière ce conditionnel il n’y a que du vent! Rien de scientifique.) un niveau de saturation homogène de l’offre de soins pour la prise en charge des patients Covid mais également non Covid sur l’ensemble du territoire. Plusieurs territoires ultra-marins connaissent aussi une progression épidémique importante, avec une quasi saturation de l’offre de soins hospitalière à Mayotte.
Toutes ces “saturations” ont été crées et voulues depuis des années en supprimant massivement des lits et du personnel
PARTIE 1 : ORGANISATION DE L’OFFRE DE SOINS
Dans ce cadre, il est donc nécessaire de mettre dès à présent en place une stratégie de réponse qui mobilise l’ensemble des acteurs concourant à la prise en charge des patients Covid, pour toutes les régions, et qui fluidifie l’ensemble du parcours de soin. Voilà le type de phrase qui ne veut rien dire si ce n’est que tout le monde doit se mobiliser sauf la DGS qui détruit et donne des ordres culpabilisants
La stratégie de réponse doit s’attacher à optimiser le parcours de soin des patients COVID et non-COVID :
- Mobilisation des professionnels de médecine de ville pour éviter le recours systématique à l’hospitalisation conventionnelle par la prise en charge des patients infectés par la Covid19 et dont l’état est compatible avec le maintien à domicile avec une possible oxygénothérapie si nécessaire mais également grâce à la prise en charge des patients non Covid19. ( Le fait de ne proposer aucune prise en charge sérieuse et aucun traitement est une non assistance à personnes en danger) Les médecins de ville peuvent s’appuyer sur les services de télé expertise de Pneumologie et de Maladies infectieuses et tropicales pour l’indication à l’oxygénothérapie et aux traitements possibles des patients ( Les signataires de cette lettre doivent être traînés devant les tribunaux)
- Recours à la télésanté pour le suivi des patients et les soins à domicile y compris dans les structures médico-sociales, afin de limiter les déplacements en établissements ; NON ! Les médecins généralistes doivent reprendre les visites à domicile ! On n’examine pas un patient à travers un écran ! S’ils ne le font pas il y a là aussi, non assistance de personnes en danger !
- Mobilisation des CPTS, DAC et autres réseaux pour appuyer l’interface ville/hôpital afin de développer les prises en charge ambulatoires.
PARTIE 2 : ACTUALISATION DES REGLES D’EVICTION DES PROFESSIONNELS ET MESURES DE MOBILISATION RH
Dans son avis complémentaire à l’avis du 14 janvier relatif aux mesures de contrôle et de prévention de la diffusion des nouveaux variants du SARS-CoV-2[1], le HSCP préconise la règle suivante : En cas de découverte chez un professionnel asymptomatique d’un prélèvement nasopharyngé positif (RT-PCR),
( C’est pour cela qu’il ne faut JAMAIS vous faire tester, JAMAIS !) prévoir une éviction de 7 jours après la RT-PCR et le respect des mesures barrières renforcées pendant les 7 jours suivants. Cette règle ne doit souffrir d’aucune dérogation et supprime cette possibilité ouverte dans son avis du 23 mai 2020[2]. Pour vous imposer une règle basée sur le conditionnel, ils utilisent l’impératif. Tout est FAUX !)
Pour les secteurs de la ville et du domicile, le HCSP recommande que soient appliquées les mesures d’éviction systématique proposées dans les ES et ESMS.
Quels types de professionnels sont potentiellement concernés par des mesures d’éviction ?
Tous les professionnels sont potentiellement concernés par une mesure d’éviction, en tant que cas confirmé de Covid-19 ( c’est quoi un cas confirmé qui n’a pas de symptômes ?) ou personne contact à risque d’un cas confirmé.
Tout ce baratin n’a aucun sens scientifique. C’est du blablabla.
Quand prévoir la levée d’isolement pour les personnels infectés ?
Les conditions cumulatives de levée de l’isolement sont précisées par l’avis relatif aux mesures de contrôle et de prévention de la transmission du SARS-CoV-2 en établissements de santé (ES) et en établissements médico-sociaux (ESMS) complémentaire à l’avis du 18 janvier 2021 [3] :
- Au plus tôt au 8ème jour à partir du début des symptômes ou de la date du test positif pour les personnels asymptomatiques ; pour les personnels à risque de développer une forme grave d’infection à SARS-CoV-2 et pour les personnes infectées par les variantes d’intérêt 20H/501Y.V2 (dite « sud-africaine ») et 20J/501Y.V3 (dite « brésilienne »), cette durée est portée à 10 jours ; C’est du pur délire de persécution ! PAS DE TEST SURTOUT !
- ET à l’issue d’une période d’apyrexie d’au moins 48 heures (température rectale inférieure à 37,8°C mesurée avec un thermomètre, deux fois par jour, et en l’absence de toute prise d’antipyrétique depuis au moins 12 heures) ;
- ET au moins 48 heures après la disparition d’une éventuelle dyspnée (fréquence respiratoire inférieure à 22/mn au repos) ; Aucun traitement n’est préconisé.
En outre, le HSCP recommande, lors de la reprise des activités professionnelles, au contact de patients et/ou de professionnels de santé, le port d’un masque chirurgical de type II, pendant les 7 jours suivant la levée du confinement et éviter les contacts non masqués avec les collègues pendant les pauses. Il est aussi rappelé l’importance du respect des mesures d’hygiène des mains. Il y a de quoi devenir fou ! Ils sont fous !
Quelle conduite à tenir pour les personnels contacts à risque?
Le HCSP recommande, en cohérence avec son avis du 23 mai 2020, que l’éviction des professionnels contacts à risque d’un porteur du SARS-CoV-2, symptomatique ou non, ne soit pas systématique, sauf :
- Si le professionnel devient symptomatique ;
- En cas de doute sur la possibilité du soignant à respecter les mesures barrières permettant d’éviter la contamination des patients ou des autres professionnels de l’établissement : le soignant contact doit être mis en éviction dans les mêmes conditions que les contacts en population générale ;
Le professionnel contact à risque mais maintenu en poste doit :
- Pratiquer une auto-surveillance de ses symptômes et alerter les services de médecine du travail et de maladies infectieuses en cas d’apparition de symptôme évocateur pour la réalisation d’un prélèvement nasopharyngé à la recherche du SARS-CoV-2. ( SURTOUT PAS ! MOUCHEZ-VOUS EN SILENCE ! ) Dans l’attente du résultat, il doit être mis en éviction, sauf situation exceptionnelle ;
- Bénéficier d’un prélèvement nasopharyngé systématique entre J5 et J7 du dernier contact (et au maximum à 7 jours de la date du premier contact si celui-ci a persisté plusieurs jours), même s’il est asymptomatique, pour les professionnels contacts de personnes non porteuses d’une variante 20H/501Y.V2 ou 20J/501Y.V3 ; C’est hallucinant ! Il faut le lire pour le croire !)
- Conformément à la stratégie de freinage ( freins à disques ?) de la propagation des variantes, pour les professionnels contacts à risque de personnes porteuses d’une variante 20H/501Y.V2 ou 20J/501Y.V3, un test PCR doit être réalisé dès J0 (dès son identification). En cas de résultat positif, le criblage par une RT-PCR de seconde intention est réalisé ; PAS DE TEST ! PAS DE TEST ! PAS DE TEST ! VOUS DIS-JE !
- Appliquer strictement les mesures d’hygiène et de distanciation physique, dans sa pratique mais aussi lors des pauses ou de l’utilisation des vestiaires. (Se laver les mains suffit, au savon régulièrement. C’est tout)
Quelles sont les mesures de prévention à appliquer ?
Toutes les mesures de prévention actuellement disponibles restent efficaces pour contrôler la diffusion du SARS-CoV-2, quel que soit le variant.
La seule prévention est le lavage des mains, les traitements éprouvés non mentionnés volontairement pas la DGS pour empêcher aux gens de se soigner, la pratique d’une activité sportive régulière en respirant de l’oxygène ambiant DONC en supprimant le port du masque dans la rue, c’est à dire en clair qu’il faut faire exactement l’inverse de ce qui est préconisé si vous voulez rester en bonne santé.
Sachez que les signataires de cette lettre ne vous veulent AUCUN bien. Lisez bien ce qu’ils préconisent. Ils ne préconisent que la peur et l’asservissement. Allez sur le site du réseau Sentinelle:
https://www.sentiweb.fr/5205.pdf
Il ne se passe RIEN. TOUT VA BIEN. TOUT EST STABLE et ce n’est pas grâce à ce qu’ils ont mis en place. Il n’y a plus RIEN, TOUT VA BIEN. Nous vivons avec des milliards de virus qui nous entourent et stimulent notre immunité et vous allez vous laisser mener par le bout du nez par quelques virus humains qui doivent être enfermés à double tour dans le P4 de Wu Han pour crime contre l’humanité!
Voilà belle lurette que vous devriez avoir repris la vie “d’avant”. Voilà belle lurette que les restaurants, bars, brasseries, musées, théâtres, cinémas, etc. auraient dû rouvrir. Le maintien de leur fermeture n’est décidé que pour vous empêcher de vous distraire, que pour vous nuire ! Que pour les ruiner ! Que pour vous rendre malade et dépressif ! Cela relève de la justice et je remercie les avocats tels que Maître Di Vizio et Brusa qui passent leur temps à essayer de trouver les failles qui vont mettre cette “racaille” à genoux. C’est une question de temps. Soyez patients et fermes.
LUTTER CONTRE CETTE DICTATURE, C’EST NE PAS SE FAIRE TESTER !
PAS DE TEST, PAS D’ENNUIS, PAS D’EMMERDEMENTS, PAS DE PEUR !
Le HCSP recommande que soient renforcées l’observance des mesures barrières.
Vous retrouverez la pièce jointe à ce présent message sur le site du Ministère. A toute fin utile, vous retrouverez également le présent message en ligne.
Nous vous remercions sincèrement pour votre engagement.
Virginie Lasserre
Directrice générale de la cohésion sociale
Katia Julienne Pr. Jérôme Salomon
Directrice générale de l’offre de soins Directeur Général de la Santé