Une étude du Pentagone parue le 10 janvier dernier dans la revue Vaccine a démontré que le vaccin contre la grippe augmentait significativement les risques d’attraper un coronavirus :
«Se faire vacciner contre la grippe peut augmenter le risque d’attraper d’autres virus respiratoires, un phénomène connu sous le nom d’interférence virale […] L’interférence virale dérivée de vaccins a été associée de manière significative au coronavirus et au métapneumovirus humain.»
Bien qu’elle ne comporte pas de données sur le SARS-CoV-2, le coronavirus responsable de la COVID-19, on ne peut nier l’importance de cette étude en pleine pandémie de coronavirus.
Contrairement aux études chinoises, les études étasuniennes – surtout celles du Pentagone – ne font pas l’objet de suspicions dans les hautes sphères médiatico-politiques occidentales. Dans le contexte actuel, on peut s’attendre à ce que cette étude, au lieu d’être discréditée, soit passée sous silence afin d’éviter d’alimenter le scepticisme envers la vaccination.
Robert F. Kennedy Jr., défenseur de nombreuses causes environnementales et président de Children’s Health Defense, a publié un article à ce sujet le 16 avril dernier :
«Portant spécifiquement sur les virus non grippaux, l’étude a démontré que les probabilités de contracter un coronavirus étaient nettement plus élevées chez une personne vaccinée que chez une personne non vaccinée, avec un rapport de cotes (association entre une exposition et un résultat) de 1,36. Autrement dit, les personnes vaccinées avaient 36 % plus de chances de contracter un coronavirus.» (C’est l’auteure qui souligne)
Il ajoute que «plusieurs autres études suggèrent que le vaccin contre la grippe augmente les risques de maladies respiratoires aiguës non grippales chez les enfants».
Il cite entre autres :
Une étude étasunienne de 2018 appuyée par le Centres for Disease Control (CDC), ayant conclu que la vaccination contre la grippe augmentait de 4,8 % les risques de maladies respiratoires non grippales chez les enfants de moins de 18 ans.
Une étude prospective cas-témoin menée auprès de jeunes Australiens en bonne santé, publiée dans The Pediatric Infectious Disease Journal en 2011, laquelle «a conclu que la vaccination contre la grippe saisonnière doublait leurs risques de contracter un virus autre que l’influenza». Les risques de souffrir d’une «maladie respiratoire aiguë liée à un virus, incluant l’influenza, augmentaient de 73 %». (C’est l’auteure qui souligne)
Une étude effectuée à Hong Kong, publiée dans Clinical Infectious Diseases en 2012, ayant démontré que les personnes vaccinées contre la grippe courraient 4,4 fois plus de risques de souffrir d’infections respiratoires non grippales.
En 2010, non pas une, mais DES études canadiennes suggéraient pour leur part que la vaccination contre la grippe saisonnière augmentait les risques de contracter la grippe A H1N1 :
Le Center for Infectious Disease Research and Policy du Minnesota écrivait à l’époque :
«Les études, qui ont porté sur environ 2.700 personnes, ont montré que la probabilité de devoir consulter un médecin en cas de grippe pandémique était de 1,4 à 2,5 fois plus élevée chez les personnes qui avaient été vaccinées l’automne précédent.
Les auteurs préviennent que même une conception soigneuse ne peut exclure la possibilité qu’un biais méthodologique non détecté ait affecté les résultats puisque les quatre études ont été réalisées par observation […]
Les chercheurs canadiens ajoutent toutefois que leurs résultats pourraient signaler un mécanisme biologique d’interaction jusqu’ici non détecté, lequel pourrait se reproduire dans le cas rare d’une souche pandémique apparaissant après le début d’une saison de grippe. La souche pandémique de 2009 a fait surface dans les dernières semaines de la saison grippale 2008-2009, des mois après l’administration des vaccins pour cette saison.
“Nos résultats peuvent sembler contre-intuitifs, mais ils ne peuvent être écartés au motif qu’aucun mécanisme biologique ne peut les expliquer de manière plausible”, écrivent les chercheurs canadiens. “Si ces observations reflètent un effet biologique réel […] elles soulèvent des questions importantes qui justifient une observation scientifique plus poussée.”» (C’est l’auteure qui souligne)
Merci docteur Alain Joseph pour ces précieuses informations qui vont bien dans le sens de ce qui a été observé dans des villes de Lombardie en février, mars derniers où les formes graves de la covid 19 ont semble-t-il ont entrainé plus de décès qu’ailleurs et où on était en pleine période de vaccination anti grippale…
J’ai toujours été persuadé que ce vaccin était néfaste pour l’arbre respiratoire et l”immunité en particulier des personnes agées (principale cible des firmes de vaccins) qui s’en trouvaient fragilisées. Sauf que nombreuses parmi elles, notamment autour de moi, avaient un peu de bon sens et l’ont toujours refusé, ce qui ne les a pas empêché d’atteindre tous et toutes 90 ans et plus SANS JAMAIS CONTRACTE La grippe saisonnière. Ces personnes recouraient de début octobre à début avril à une dose mensuelle de Thimuline 9ch ou thymusinum 9ch suivi le dimanche suivant de Sérum de Yersin 9ch . Les tuberculiniques et plus fragiles recouraient en plus à cuivre-or-argent oligosol, une mesure à jeun le lundi et jeudi et une ampoule de manganèse cuivre le mardi et vendredi; quelques granules de rhumex crispus pour les frileux ayant tendance à éternuer dès qu’on ouvre une fenêtre ou en enlevant leur pull. C’est tout!
Personnellement , je prends sérum de yersin comme dit plus haut, des membres de ma faille aussi, nous sommes faits comme tout le monde, et depuis plus de 40 ans, nous n’avons jamais la grippe. Il est vrai que nous ne faisons pas la fortune des grands labos et c’est bien pour ça que nous “remercions vivement” Madame Buzyn, Messieurs Veran et Macron d’avoir laisser trainer dans la boue les médecins homéopathes et d’avoir déremboursé l’homéopathie. Acte criminel à mon sens; et en tant qu’ancien prof de lettres, je connais le sens des mots.