Dans un mail envoyé aux médecins, signé par le professeur Jérôme Salomon, le Haut Conseil de la Santé Publique recommande:
“Le HCSP recommande, de manière générale, qu’aucune antibiothérapie ne soit prescrite chez un patient présentant des symptômes rattachés à un Covid-19 confirmé (en dehors d’un autre foyer infectieux documenté) du fait du caractère exceptionnel de la co-infection bactérienne.”
Cette recommandation est une conception ancienne où le terme antibiotique était réservé aux seuls antibactériens, OR on sait depuis un certain temps que des molécules dites antibactériennes peuvent aussi être antivirales. Ce qui est le cas non seulement de l’hydroxychloroquine qui est antiparasitaire et antivirale, mais aussi de l’azithromycine et d’autres antibiotiques (le targocid, l’ivermectine…), sans oublier l’action antibactérienne et antivirale des huiles essentielles.
“L’azithromycine a l’avantage d’être un antibiotique, mais d’avoir aussi une action sur les virus et une activité anti-inflammatoire sur le parenchyme pulmonaire”, expose dans Le Parisien Denis Gastaldi, médecin à Morhange en Moselle. Cela veut dire que le terme antibiotique (anti bios) doit être réservé aussi bien aux antibactériens, aux antiviraux et aux antiparasitaires.
Mais soyons rassurés, le HCSP et son directeur de la Santé, le Pr Salomon qui ne semblent pas au courant des dernières avancées de la science, ne font qu’une recommandation et n’oseraient pas interdire à un médecin la prescription d’un médicament connu même si ce médicament est prescrit hors AMM. Le HCSP et le Pr Salomon (qui a fait le serment d’Hippocrate), connaissent bien l‘article 8 du code de déontologie sur la liberté de prescription des médecins.
Donc nous, médecins généralistes nous nous en tiendrons (devant une covid 19 avérée, c’est à dire diagnostiquée), au traitement préconisé par Monsieur le Pr Didier Raoult à savoir hydroxychloroquine et azithromycine (seul traitement de référence dans le monde) et en l’absence d’hydroxychloroquine
(qu’il vaut mieux essayer de se procurer), au traitement du Dr Denis Gastaldi et de ses confrères, à savoir l’azithromycine seule, et ce pour le plus grand bien des patients afin qu’ils n’aggravent pas leur pathologie, qu’ils ne se retrouvent pas aux urgences et qu’ils guérissent.
L’épidémie est passée mais il peut exister des petites séquelles à droite où à gauche. Si la personne atteinte est positive au SRAS CoV 2, trouvez un médecin intelligent qui vous prescrira le traitement bithérapique conseillé fortement par Mr le professeur Raoult.