Cette opinion du Dr Claus Köhnlein va sans aucun doute surprendre mais c’est un fait avéré que la thérapeutique pratiquée actuellement est souvent exagérée. Des gérontologues avisés ont obtenu des améliorations de santé très significatives en supprimant la moitié des médicaments prescrits aux personnes âgées.
J’ai personnellement eu plusieurs cas dans ma clientèle de patients fatigués, très asthéniques, dont un ami, qui sont morts de la trithérapie prise pour soigner le sida. La charge virale à zéro les spécialistes consultés leur disait qu’il fallait continuer à tout prix le traitement par peur que la maladie ne se ravive. Malgré mon conseil d’ arrêter temporairement afin de récupérer des forces, ces patients dont mon ami, avaient confiance, ont continué cette trithérapie et sont morts des effets secondaires de celle-ci et pas du sida.
Des enfants pour des problèmes ORL ont très souvent une prescription d’ un antibiotique plus systématiquement de la cortisone. Que vient faire ce fameux Solupred prescrit à tous ces gosses? C’est une totale aberration mais une mode incontournable, une habitude ridicule.
Je ne suis donc pas étonné des propos du Dr Claus Köhnlein CAR comme il le dit si clairement, les médecins actuels préfèrent que le patient meure alors qu’ils ont appliqué les protocoles plutôt que ce même patient soit vivant en les ayant enfreints.
Une telle pression les empêche de réfléchir par eux-mêmes car même conscients que le protocole peut être dangereux pour un patient, ils l’appliqueront quand même par peur de se retrouver coupable. Le protocole les protège de toute poursuite puisque le patient est mort en bonne et due forme.
De telles situations ce sont sans aucun doute présentées pour “lutter” contre le SRAS CoV2 et nombre de patients ayant reçu de la cortisone à forte dose et des antiviraux se terminant en “navir” ont dû prendre sans billet de retour la barque de l’ami Charon.