Je ne suis pas inquiet l’homéopathie survivra ( Dr A. C. Quemoun)

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Attaquée depuis plus de deux cents ans la thérapeutique par les semblables se marre à gorge déployée. Accrochés à leur certitude comme un enfant accroché à son ballon il faudra bien que les détracteurs lâchent le ballon ou s’envolent avec, puisque le ballon, vous l’avez compris c’est l’homéothérapie, la thérapeutique par les semblables. Pour les médecins à l’esprit normal, c’est à dire ouvert aux autres et à leur expérience, la thérapeutique ne peut pas se cantonner à des médicaments moléculaires (que nous ne reniions pas) mais force est de constater qu l’ère pastorienne a développé une recherche anti-infectieuse qui a délaissé toute approche visant à modifier le terrain et à étouffer les travaux du Pr Antoine Béchamp et à travers lui ceux du Dr Samuel Hahnemann. Or il est une évidence qui ne peut être discutée, c’est que le terrain prédomine et domine le microbe. Seules les thérapeutiques holistiques telles que l’homéothérapie, la phytothérapie, l’aromathérapie, l’oligométallothérapie, l’acupuncture et d’autres approches qui n’utilisent aucun produit dit médicamenteux, tiennent compte du terrain afin de rendre le microbe muet sans le tuer. On retrouve cela dans l’utilisation des protéodies du Pr Joël Sternheimer physicien quantique et musicien qui utilise les ondes musicales pour bloquer les maladies cryptogamiques des plantes et en particulier de la vigne. Il est regrettable que la période que nous vivons soit perturbée par cette éternelle opposition entre médecins et chercheurs ouverts qui acceptent les faits et médecins et chercheurs (cherchent-ils vraiment?) sûrs de leur savoir, de leurs connaissances, de leurs titres, imbus de pouvoir, têtus, formatés, qui pourtant ne passent pas plus de temps sur cette terre (qui est la nôtre – à tous -) que la seconde égrenée par une montre.