Vous avez le droit de vous renseigner sur les poissons. Pour cela cliquez sur ce lien.
C’est très difficile de s’y retrouver. Bon courage!
https://www.crenolibre.fr/prendre-rdv/20433_alain-joseph-naturopathie-homeopathie Le Dr Alain JOSEPH consulte en visio avec crenolibre et en présentiel à Paris et Montpellier. Le prix de la consultation de une heure est de 60 euros (remboursement partiel par mutuelle). Tel secrétariat: 06 34 99 55 86
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C’est très difficile de s’y retrouver. Bon courage!
En effet
Les poissons d’élevage, même bio, sont parfois… disons pour utiliser un terme poli, répulsants.
Moi qui suis un baromètre instantané à tout ce qui entre en contact avec une muqueuse quelconque, en particulier mes papilles gustatives, il m’est souvent arrivé de mettre un poisson bio au compost à peine posé dans l’assiette. Certains poissons dits “MSC” ne sont pas garantis, en Suisse en tous cas, comme étant des poissons sauvages, certains le sont et d’autres pas.
Il devient dès lors très difficile de s’y retrouver, les étals présentent très peu de poisson vraiment sauvage, et celui-ci, dans le pays où je vis, est 4 x plus cher que le poisson d’élevage.
Alors, le poids peut être un critère d’achat pour s’assurer un vrai poisson sauvage, parce qu’un loup ou bar sauvage, pèse au moins 1k500 alors qu’un loup d’élevage ne pèse que quelques centaines de grammes. Quant aux dorades d’élevage, de provenance à majorité de Grèce et qui fournissent toute l’Europe, même les bio !, ce sont des vrais nids à poisons, les contrôles étant réalisés par… la mafia du pays.
Il devient très difficile de trouver un poisson “convenable” et sauvage, ou alors… à prix d’or. Et même en tenant compte de la pollution de la mer (métaux lourds etc…) ceux-ci sont pourtant bien plus sains que les meilleurs poissons d’élevage même bio.
En effet
Les poissons d’élevage, même bio, sont parfois… disons pour utiliser un terme poli, répulsants.
Moi qui suis un baromètre instantané à tout ce qui entre en contact avec une muqueuse quelconque, en particulier mes papilles gustatives, il m’est souvent arrivé de mettre un poisson bio au compost à peine posé dans l’assiette. Certains poissons dits “MSC” ne sont pas garantis, en Suisse en tous cas, comme étant des poissons sauvages, certains le sont et d’autres pas.
Il devient dès lors très difficile de s’y retrouver, les étals présentent très peu de poisson vraiment sauvage, et celui-ci, dans le pays où je vis, est 4 x plus cher que le poisson d’élevage.
Alors, le poids peut être un critère d’achat pour s’assurer un vrai poisson sauvage, parce qu’un loup ou bar sauvage, pèse au moins 1k500 alors qu’un loup d’élevage ne pèse que quelques centaines de grammes. Quant aux dorades d’élevage, de provenance à majorité de Grèce et qui fournissent toute l’Europe, même les bio !, ce sont des vrais nids à poisons, les contrôles étant réalisés par… la mafia du pays.
Il devient très difficile de trouver un poisson “convenable” et sauvage, ou alors… à prix d’or. Et même en tenant compte de la pollution de la mer (métaux lourds etc…) ceux-ci sont pourtant bien plus sains que les meilleurs poissons d’élevage même bio.