https://www.youtube.com/watch?v=-cbu6QDTLa8
Une soirée au bar Omerta où on fume
et on boit.
Y sont quelques volutes d’amertume
mais on boit
On y déblatère de covid posthume
et on boit
Chacun, cune, peut se servir de sa plume
si elle boit
Trempons-la donc dans une belle écume
de bière ou bien mieux dans un beau costume
de vin à la robe qui nous embrume
d’un Single Malt tourbé sur le bitume
Un Montecristo pour toute fortune
Que Prats et Dédé Berkoff sans cesse hume
Rémi tel un Guillaume vise la lune
Brunel protège les vendeurs de légumes
Béatrice à cheval sur deux pays
De nom Rosen amoureuse transit
de la France, va et désobéit
N’aimant pas beaucoup les épidémies
Nous avons passé une belle soirée
Avec des gens qui adorent voler
Qui aiment écrire et qui aiment jouer
Et surtout qui aiment la vérité
Merci à tous, merci Dédé Berkoff (d’aider Berkoff)
A la revoyure, amis !
Dr JO
” Au dernier verre”, Béatrice Rosen, Charles Prats, Rémi Tell, Sylvie Brunel,
Quatre invités se joignent, chaque semaine, à la fête.
Pour cette première, OMERTA a reçu :
👉🏻 Charles Prats, magistrat et écrivain
👉🏻 Béatrice Rosen, actrice et chroniqueuse chez TPMP
👉🏻 Remi Tell, chroniqueur, président du collectif “Peuple Libre” et auteur du pamphlet “La Chute de Prométhée”
👉🏻 Sylvie Brunel, auteur de “Nourrir : cessons de maltraiter ceux qui nous font vivre”
Belle plume mon Ami et je ne sais dans quoi tu l’avais trempée ce jour-là mais cela lui fut profitable. La poésie semble être un acte de délivrance, de dévoilement de soi, de ses sentiments mais ne pourrait-elle pas devenir une arme de charme pour renverser la pauvreté de communication d’aujourd’hui ? Et même plus devenir la messagère des réveillés et de plus elle peut se chanter … Je te souhaite une belle journée à plume plutôt qu’à poil ! Bises
Merci Isa de ton commentaire qui laisse entrevoir une âme de poétesse. La poésie a beau être en déshérence il existe encore des êtres qui en sont imbibés. J’ai retrouvé dans ce “dernier verre” les effluves qui imprégnaient mon âme d’étudiant dans une taverne célèbre dite “Le Pet au diable” , en l’honneur de Villon et tenue par le plus grand troubadour du XXème siècle, j’ai nommé Jean-Pierre Lesigne.
Mais quoique tu penses, la poésie ne peut pas réconcilier les gens car si tous meurent, tous n’y sont pas sensibles.
Un lien direct vers les “Viveurs de temps à contretemps”