Posted on by Gérard Maudrux
https://www.covid-factuel.fr/2023/02/14/ivermectine-et-cancer-reserve-aux-chevaux/
Lorsque j’ai fait médecine, mon seul but était d’apprendre à guérir des patients. J’étais très fier de faire partie d’une génération qui arrivait au moment où la médecine était en plein essor et guérissait les malades. Mon père me parlait de sa tuberculose pulmonaire et me racontait tous les jeunes qui mourraient autour de lui quand il était au sanatorium. Les antibiotiques n’existaient pas et le diagnostic de tuberculose signait très souvent une condamnation à mort. Mon père n’avait qu’un poumon de touché et une seule caverne et il fut guéri grâce à un pneumothorax provoqué. Je pensais qu’il avait eu de la chance et que j’avais bien failli ne pas naître. Et cette trithérapie P.A.S. , Streptomycine, Rimifon était, malgré quelques effets secondaires un beau trio. Cette trithérapie guérissait. C’est aussi grâce à la Pénicilline que j’ai été sauvé d’une péritonite appendiculaire grave – aussi au chirurgien le Dr Henri GOUT, que je remercie – ce qui m’a valu la mise en place d’un mikulicz salvateur lui aussi mais générateur d’une éventration opérée un an plus tard par le Pr JOYEUX René, le père d’Henri. Un sacré bonhomme. Et puis les anti-inflammatoires, antalgiques… ces anti anti qui à l’époque ne me hantaient pas.
Et confiant dans ces résultats, j’étais persuadé que les chercheurs allaient trouver encore et encore des molécules salvatrices qui allaient guérir toutes les maladies graves y compris les cancers. Je savais bien qu’il y avait de l’argent derrière ces découvertes mais je ne m’imaginais pas ce qu’allaient devenir les laboratoires. A l’époque il existait plein de petits labos dont les dirigeants étaient enthousiastes et novateurs. Ils se sont fait phagocyter par des plus gros qui eux-mêmes etc. etc.
Actuellement, les molécules innovantes se comptent sur le bout des doigts. La molécule qui guérit est un vieux souvenir et je soupçonne que sa non rentabilité induit sa non mise sur le marché.
Le blockbuster qui fait fureur et qui semble inépuisable est la “vaccination” de toutes les maladies.
Les guillemets sont incontournables car nous n’avons plus à faire à des vaccins mais à des produits bien plus chers et bien plus dangereux. La donne est inversée. On ne guérit plus, on rend malade en injectant des personnes en bonne santé. Tous les vaccins vont devenir à ARN messager c’est à dire qu’ils ne vont protéger personne et vont laisser les maladies se transmettre et cerise sur le gâteau on va vacciner les mères pour que les anticorps soient présents à la naissance chez l’enfant.
Oui, le monde médical n’est plus le même. Et les laboratoires qui fabriquent les “vaccins”, ceux qui ont été condamnés pour des scandales qui dépassent l’entendement, responsables de milliers de morts programmés, condamnés uniquement à des peines financières (personne n’est responsable, circulez il n’y a rien à voir – les ont-ils au moins payées ?) ne sont absolument pas responsables des effets secondaires de ces vaccins. Et non seulement personne ne dit rien mais les gens continuent à leur faire confiance et à aller réclamer leur piquouse. Vous comprenez ? Moi non. Et si vous avez le malheur de vouloir rendre service en essayant de prévenir ces personnes vous êtes un complotiste. Elle est pas belle la vie !
Alors si vous avez un cancer en traitement, grave ou pas grave, prenez de l’ Ivermectine sans prévenir les cancérologues: 12mg (les 4 petits comprimés de la boîte) au moins deux fois par semaine voire trois fois pendant trois mois (après on adapte). Démerdez-vous pour en avoir. Les bons médecins vous aideront. Ce ne sont pas les “études randomisées en double aveugle contre placebo qui font la médecine, mais l’observation et l’empirisme. Et puis les études Ivermectine-cancer n’auront jamais lieu.
Dr JO