https://www.youtube.com/watch?v=K5CtlE9ILmE
Écoutez ce débat entre Martin Blachier et Idris Aberkane en présence de Fabrice Di Vizio. Il est très intéressant mais j’ai été frappé par l’occultation complète du rôle des médecins généralistes lors de cette épidémie. Aucun des trois n’en parle et pourtant il me semble que là se trouve le nœud du problème.
En effet, il semble que ceux-ci (les généralistes), aient eu leur cabinet vide pendant l’épidémie à tel point que certains ont mis la clef sous la porte.
Car selon moi, ce sont eux qui auraient dû être les garde-fous qui empêchent la propagation du virus ou des virus. Les médecins généralistes ont purement et simplement été court-circuités – et ils ont accepté cet état de fait – de leur rôle de soignant. Comment ont-ils pu accepter? Cela reste pour moi, un mystère mais pas une énigme.
Certains, qui ont réagi en vrai médecin sont immédiatement montés au créneau. Réaction saine et salutaire pour les patients qui ont bénéficié de leurs soins. Je pense bien entendu au Dr Jean-Jacques Erbstein et son livre témoignage “je ne pouvais pas les laisser mourir“.
Le Dr Erbstein et deux de ses confrères ont constaté la mort en réanimation de patients atteints par le SRAS CoV 2, à qui ils avaient conseillé de rester chez eux avec du doliprane selon les recommandations officielles. D’un commun accord ils ont décidé de prescrire seul, le macrolide azithromycine, conseillé par le Pr Raoult avec l’hydroxychloroquine, interdite de prescription et classée toxique par la charmante Agnès Buzin sur la demande de Sanofi (étonnant non?), à 200 patients symptomatiques : aucune hospitalisation, aucun mort. Vous avez dit bizarre?
Cette observation sans randomisation, sans aveugles et sans belle place, a donné naissance à un livre au titre évocateur: Je ne pouvais pas les laisser mourir, que je vous conseille de lire.
Tester, pourquoi pas mais est-ce bien utile en dehors d’une curiosité purement statistique. Personnellement, les statistiques ont toujours acnéisé ma peau et je tiens, même à mon âge, à garder une peau de pêche. Si, si.
Que doit faire un patient en bonne santé apparente qui brusquement se sent envahi par les symptômes de la grippe? (qui sont des symptômes très fréquents dans de multiples maladies).
1. Consulter son médecin
2. Suivre ses instructions après avoir subi un interrogatoire et un examen clinique approfondis – exit les consultations de 10 minutes-.
Les recommandations protocolaires officielles faites au médecin sont un fil conducteur mais en aucun cas un traitement unique, restent des “recommandations”, et ne doivent absolument pas se substituer au bon sens du médecin qui seul doit juger du traitement adéquat.
Le sujet malade doit donc rentrer chez lui, se mettre au lit, et s’isoler dans une pièce – en général sa chambre-.
C’est ce que me faisait faire ma mère quand j’attrapais la grippe enfant. L’entourage évitait de me poutounouger et aérait la pièce où je me trouvais de façon régulière. Je vous passe sous silence les traitements auxquels j’étais soumis qui n’ont pas été mis à l’épreuve de l’EBM mais qui étaient très efficaces. Je rappelle malgré tout aux médecins curieux et aux “antiquinine” modernes que les médicaments contre la grippe contenaient de la quinine (Cequinil).
N’en déplaise à Martin Blachier mais la quinine est antiparasitaire, antivirale et immunomodulatrice et est un des plus grand médicament de la pharmacopée surtout si elle reste en décoction à partir de Cinchona rubra ou calisaya de qualité.
Quant à l’entourage on peut conseiller des traitements préventifs non officiels ou prescrire un macrolide aux personnes détectées comme fragiles et surveiller. On peut conseiller aussi qu’une seule personne masquée s’occupe du malade, les autres restant à distance. Déclarer des cas contacts ne sert pas à grand chose si ce n’est à un traçage politique.
Suite à cet isolement le patient guérit (dans 95% des cas) ou s’aggrave en développant des symptômes connus car rabâchés par les medias. Là encore intervient le médecin traitant qui doit avoir précisé à son malade qu’il doit le contacter si les symptômes évoluent, quitte sans nouvelles, à appeler lui-même le malade (conscience professionnelle oblige mais disparaît à la vitesse V).
Interpellé par ces symptômes évolutifs et anormaux, le médecin DOIT se déplacer à domicile pour examiner son patient et lui prendre sa saturation en O2. S’il ne le fait pas c’est une non assistance à personne en danger en période d’épidémie. Il est vrai qu’il est plus facile de lui dire, sans se déplacer, d’aller aux urgences afin de les encombrer.
S’il se déplace, il doit décider après examen sérieux de la démarche à suivre. Soit il baisse les bras et oriente son patient vers les urgences, soit il se dit qu’il n’a pas fait 10 ans d’études pour être un robot. Il prescrit alors un macrolide et s’il est malin il rajoute du Plaquenil qui passera alors ou non la barrière du pharmacien. D’après l’ expérience du Dr Erbstein l‘azythromycine suffit quand elle est prescrite au bon moment à enrayer l’évolution vers une aggravation grave.
Nous connaissons maintenant une autre molécule à 100% efficace même à un stade avancé qui est l‘Ivermectine et qu’il est plus facile de prescrire. Cette molécule agit même à des stades avancés et de multiples études ne font que confirmer l’observation des médecins de terrain.
EN CONSÉQUENCE, Il suffisait que les 101355 médecins généralistes français se remuent le popotin et montent au créneau pour que cette épidémie soit rapidement jugulée.
OR il en a été tout autrement et cela pourrait faire l’objet d’une étude approfondie. Pourquoi la plupart de ces 101355 médecins ont-ils été les complices des instances de santé et ont-ils accepté l’inacceptable?
Les urgences et les réanimations ont été submergées car les médecins généralistes ont été volontairement écartés et que depuis 20 ans les lits hospitaliers sont supprimés et le personnel est insuffisant en nombre et très mal payé.
Quant à la discussion sur la justification de la vaccination, elle ne devrait même pas avoir lieu. Sur le plan scientifique ces vaccins n’ont AUCUNE utilité, sont délétères à court et long terme et ne vont rien résoudre. Ils vont être prorogés tous les six mois et arriveront toujours avec une rame de retard à cause des variants sur lesquels on va développer de la fausse science pour justifier de nouveaux vaccins. C’est de la poudre aux yeux. C’est du simple marketing qui cache sans doute autre chose car l’argent, nerf de la guerre, ne peut pas tout expliquer.
La rentrée de septembre va dévoiler beaucoup de choses et les fêtes de fin d’année ne seront pas tristes. Qui vivra verra disent les français, wait and see et vogue la galère, mais dans quelle galère sommes-nous et où nous amène t-elle?
Je viens d’apprendre que le CNOM (Conseil National de l’Ordre des médecins) veut radier le Dr Maudrux. C’est la preuve manifeste de l’installation d’une dictature de la pensée. A quand la radiation définitive de ce Conseil de l’Ordre ? Cela finira bien par se produire.
https://www.francesoir.fr/opinions-tribunes/ordre-des-medecins-police-politique