Rôle de l’ANSM
L’ANSM est l’autorité compétente en matière de pharmacovigilance: Elle veille à la sécurité de l’emploi des médicaments et contribue à leur bon usage. Elle assure la mise en œuvre et coordonne le système national de pharmacovigilance.
Malheureusement ce n’est pas le cas. En effet L’ANSM publie sur son site les informations suivantes:
“Plaquenil et Kaletra : les traitements testés pour soigner les patients COVID-19 ne doivent être utilisés qu’à l’hôpital “
OR il s’avère que le Pr Didier Raoult a publié un article démontrant que le Kaletra ou Lopinavir-Ritonavir ne fonctionne pas en cas d’atteinte par le SRAS CoV 2:
LE TRAITEMENT LOPINAVIR-RITONAVIR NE FONCTIONNE PAS !
Le traitement Lopinavir-Ritonavir ne fonctionne pas !
Etude sur une cohorte de 199 patients.
pdf article to download: A Trial of Lopinavir–Ritonavir in Adults Hospitalized with Severe Covid-19
L’ANSM ne tient pas compte de cette étude et de la conclusion du Pr Raoult et continue à recommander le Kaletra qui coûte une fortune par rapport au Plaquenil et alors même que toute la population est au courant. Pourquoi? Voilà ce qu’elle écrit:
“Nous rappelons qu’à ce jour, aucun médicament n’a apporté la preuve formelle de son efficacité dans le traitement ou la prévention de la maladie COVID-19. C’est pourquoi l’utilisation du Plaquenil (hydroxychloroquine) ou du Kaletra et de son générique (lopinavir/ritonavir) pour la prise en charge des patients atteints de COVID-19 doit se faire prioritairement dans le cadre des essais cliniques en cours.
L’ANSM met le Plaquenil et le Kaletra sur un même pied d’égalité sans tenir compte des recommandations du Pr Raoult et sans mentionner l’azithromycine alors qu’elle sait pertinemment que le Kaletra ne fonctionne pas.
Gens de la loi, comment appelez-vous cela ?
Cependant, conformément à l’avis du Haut conseil de santé publique du 24/03/2020 (HCSP) et au décret du 25 mars 2020 (pris en application de “la loi d’urgence pour faire face à l’épidémie du COVID-19″ ), le recours à ces médicaments peut s’envisager à titre exceptionnel et uniquement dans le cadre d’une prescription et d’une dispensation aux patients hospitalisés.
Exceptionnel!! et uniquement !! Vous avez bien lus!
En aucun cas ces médicaments ne doivent être utilisés ni en automédication, ni sur prescription d’un médecin de ville, ni en auto-prescription d’un médecin pour lui-même, pour le traitement du COVID-19 .
Pourtant, des informations recueillies par les centres régionaux de pharmacovigilance (CRPV) font état d’utilisation de hydroxychloroquine, seule ou en association, en ville. Nous alertons les professionnels de santé et les patients sur les risques connus liés à l’utilisation de ces médicaments, dont le risque cardiaque, qui, sans suivi médical approprié, peuvent conduire à une hospitalisation.
PIRE !!! interdiction d’utilisation par les médecins de ville et MENACES sur les risques “qui peuvent conduire à une hospitalisation” ! Gens de la loi, comment appelez-vous cela ?
Et ce n’est pas fini!
Ce risque cardiaque pourrait être fortement potentialisé par l’association d’hydroxychloroquine avec d’autres molécules, comme l’azithromycine, ainsi qu’en raison de troubles métaboliques spécifiques à la maladie COVID-19 (hypokaliémie).
Voici pour information les effets secondaires du Kalitra association moléculaire non efficace pour lutter contre le Covid 19, que veut vous fourguer notre gouvernement
Effets indésirables rapportés chez les adultes au cours des études cliniques et lors du suivi après commercialisation | |
Classe de systèmes d’organes | |
Fréquence | Effets indésirables |
Infections et infestations | |
Très fréquent | Infection respiratoire haute |
Fréquent | Infection respiratoire basse, infections cutanées dont cellulite, folliculite et furoncle |
Affections hématologiques et du système lymphatique | |
Fréquent | Anémie, leucopénie, neutropénie, lymphadénopathie |
Affections du système immunitaire | |
Fréquent | Hypersensibilité dont urticaire et angio-œdème |
Peu fréquent | Syndrome inflammatoire de reconstitution immunitaire |
Affections endocriniennes | |
Peu fréquent | Hypogonadisme |
Troubles du métabolisme et de la nutrition | |
Fréquent | Anomalie du glucose sanguin dont diabète sucré, hypertriglycéridémie, hypercholestérolémie, perte de poids, perte de l’appétit |
Peu fréquent | Prise de poids, augmentation de l’appétit |
Affections psychiatriques | |
Fréquent | Anxiété |
Peu fréquent | Rêves anormaux, diminution de la libido |
Affections du système nerveux | |
Fréquent | Céphalée (dont migraine), neuropathie (dont neuropathie périphérique), étourdissement, insomnie |
Peu fréquent | Accident cérébrovasculaire, convulsions, dysgueusie, agueusie, tremblement |
Affections oculaires | |
Peu fréquent | Altération de la vision |
Affections de l’oreille et du labyrinthe | |
Peu fréquent | Acouphène, vertiges |
Affections cardiaques | |
Peu fréquent | Athérosclérose comme infarctus du myocarde(1), bloc auriculo-ventriculaire, insuffisance de la valve tricuspide |
Affections vasculaires | |
Fréquent | Hypertension |
Peu fréquent | Thrombose veineuse profonde |
Affections gastro-intestinales | |
Très fréquent | Diarrhée, nausée |
Fréquent | Pancréatite(1), vomissement, reflux gastro-œsophagien, gastroentérite et colite, douleur abdominale (haute et basse), distension abdominale, dyspepsie, hémorroïdes, flatulence |
Peu fréquent | Hémorragie gastro-intestinale dont ulcère gastro-intestinal, duodénite, gastrite et hémorragie rectale, stomatite et ulcères buccaux, incontinence fécale, constipation, bouche sèche |
Affections hépatobiliaires | |
Fréquent | Hépatite dont augmentation des ASAT, ALAT, γ-GT |
Peu fréquent | Ictère, stéatose hépatique, hépatomégalie, angiocholite, hyperbilirubinémie |
Affections de la peau et du tissu sous-cutané | |
Fréquent | Rash incluant éruption maculopapulaire, dermatite/éruption cutanée dont eczéma et dermatite séborrhéique, sueurs nocturnes, prurit |
Peu fréquent | Alopécie, capillarite, vascularite |
Rare | Syndrome de Stevens-Johnson, érythème polymorphe |
Affections musculosquelettiques et systémiques | |
Fréquent | Myalgie, douleur musculosquelettique dont arthralgie et douleur dorsale, anomalies musculaires comme faiblesse musculaire et spasmes |
Peu fréquent | Rhabdomyolyse, ostéonécrose |
Affections du rein et des voies urinaires | |
Peu fréquent | Diminution de la clairance de la créatinine, néphrite, hématurie |
Affections des organes de reproduction et du sein | |
Fréquent | Dysfonctionnement érectile, troubles menstruels, aménorrhée, ménorragie |
Troubles généraux et anomalies au site d’administration | |
Fréquent | Fatigue dont asthénie |
CONCLUSION : KALITRA = POUBELLE
ATTENDEZ, c’est pas fini !! Lisez bien ce qui suit !!
On est en plein cynisme!! Lisez braves gens et réfléchissez ! Je ne développe pas les paroles qui suivent et vous laisse le soin de le faire!
Quelques cas d’effets indésirables graves nous ont été rapportés et sont en cours d’analyse. Dans ce contexte, nous appelons à la responsabilité de chacun pour éviter des hospitalisations inutiles consécutives à un mésusage de ces médicaments et permettre aux soignants de prendre en charge les malades COVID-19 dans les meilleures conditions. En lien avec le réseau des centres régionaux de pharmacovigilance partout en France, nous surveillons de manière rapprochée les cas d’effets indésirables qui peuvent nous être rapportés.
Et ça continue de plus belle !
Afin d’accompagner les soignants dans la prise en charge à l’hôpital des patients présentant une maladie COVID-19 qui ne sont pas inclus dans les essais cliniques, nous avons élaboré ( ils ont du temps à perdre… ) deux documents d’information pour chacun des deux traitements Kaletra et Plaquenil : un protocole d’utilisation thérapeutique à l’attention des professionnels de santé hospitaliers, ( vous ne rêvez pas !!) ainsi qu’une fiche d’information à l’attention des patients concernés et de leur entourage. Ces documents précisent le rationnel d’utilisation de ces traitements ( c’est eux qui détiennent la vérité et qui continuent à vous tuer!!) dans le cadre de la maladie COVID-19, informent sur les données disponibles et rappellent le bon usage de ces médicaments (posologie, contre-indications, risques…).
Si vous voulez lire en entier l’information de l’ANSM cliquez sur le lien situé en haut ou ci-dessous
En conclusion, l’ANSM, le ministère de la santé et le gouvernement font part, le 31 mars 2020, aux citoyens français, deux mois après les recommandations de Mr le Professeur Didier Raoult qu’ils ne peuvent pas être soignés par l’association hydroxychloroquine – azythromycine adoptée dans le monde entier, et que leurs médecins traitants sont tous incompétents et inaptes à diagnostiquer et traiter cette maladie.
Ils continuent à insister lourdement sur l’utilisation du Kaletra qui n’a AUCUNE EFFICACITÉ dans cette maladie. Pourquoi ?
En conséquence j’appelle les français à réfléchir à cette situation et à l’attitude gouvernementale qui perdure malgré les solutions efficaces connues et proposées vis à vis desquelles ils font la sourde oreille pour des raisons qui désormais ne nous échappent plus.
Nous ne pouvons pas rester chez nous confinés sans rien faire.
Je suggère que dans toutes les villes de France les citoyens sortent dans la rue masqués (avec les masques que vous avez, fabriqués ou pas)) et fassent une marche silencieuse de protestation avec des pancartes en faveur de la bithérapie hydroxychloroquine-azithromycine et en faveur des médecins généralistes que l’on prend comme vous pour des pantins!
NOUS NE SOMMES PAS DES MOUTONS DE PANURGE !
Je ne suis pas un organisateur.
Qui est capable et prêt à pouvoir organiser sérieusement de telles manifestations APOLITIQUES ?
Contactez-moi!
Bonjour Docteur,
Merci pour tout ce que vous faites pour éveiller nos consciences.
Monsieur Silvano TROTTA est un lanceur d’alerte qui fait des vidéos sur YouTube, peut-être pourrait-il aider? (voir sa vidéo “La Peur doit changer de Camp !”) : https://www.youtube.com/watch?v=p06gCcNjW5k
Son adresse mail est disponible dans la description de la vidéo.
Cordialement