VACCINS un médecin français ose parler : Article du Docteur Pierre-Henri Bredontiot dans le Quotidien du Médecin. Faites suivre ad libitum, tout le monde a droit à une information vraie, dénuée de conflits d’intérêts
Aucun vaccin, avec les nombreux toxiques qu’ils contiennent, ne pourrait avoir d’AMM (Autorisation de Mise sur le Marché) aujourd’hui si on leur appliquait les normes en vigueur pour les nouveaux médicaments.
1) On ne compare JAMAIS les vaccins à des placebos réels (substances neutres, inertes) pour évaluer valablement leurs effets secondaires réels ; on donne alors des autres vaccins ou d’autres substances intrinsèquement toxiques comme l’aluminium dans le faux groupe placebo.
2°) Aucune étude des effets secondaires à long terme alors que les maladies auto-immunes post-vaccinales peuvent prendre des mois voire des années à se déclarer !
Gardasil ? Des effets secondaires évalués sur seulement 14 jours après chacune des doses
Engerix B (=(vaccin hépatite B) ? 5 jours seulement !
Twinrix (vaccin anti-hépatite B et A imposé aux professionnels de santé) ? 4 jours seulement selon des documents confidentiels de la firme elle-même.
3°) Autre passe-droit, les vaccins sont dispensés de la moindre analyse pharmacocinétique, contrairement aux autres médicaments.
4°) Enfin, Xième passe-droit dramatique, les vaccins sont aussi dispensés, là encore contrairement aux autres médicaments (et même aux cosmétiques qui eux ne sont jamais obligatoires !) de tests destinés à évaluer leurs potentiels cancérogène, mutagène et tératogène.
Les familles endeuillées, vous les rencontrerez quand vous découvrirez au petite matin un bébé mort de MSN (Mort Subite du Nourrisson) dans la semaine qui suivra l’un de vos vaccins. Ça m’est arrivé, grâce au ciel c’était en garde et je n’étais pas l’auteur.
Mais ça aurait pu tout aussi bien. J’espère que vous n’attendrez pas ce désagrément pour vous mettre à étudier ce que vous injectez.
Lorsque le Japon a décidé de repousser à deux ans les premières vaccinations, on a vu les encéphalites et autres joyeusetés liées au vaccin reculer de 80% et les MSN de 90% dans ce pays.
Depuis, les labos ont repris la main, et les MSN ont repris de plus belle.
« Oui, la population a oublié ce que serait la vie sans vaccin ».
La vie sans vaccin, ce serait cinq fois moins de maladies infantiles qu’on considère aujourd’hui comme normales, alors qu’elles sont le fruit du travail de sape du système immunitaire effectué par les vaccins. Moins d’otites, d’allergies, d’herpès, de pneumonies, de bronchites, d’asthme, d’épilepsie, et de bien d’autres pathologies. Quand tous les enfants auront reçu tous les vaccins (il y en a 270 dans les tuyaux des labos), alors l’état de maladie chez les enfants sera considéré comme normal, puisqu’on n’aura plus de point de comparaison. On peut comprendre que cela réjouisse certaines pharmaciennes (mais pas toutes, je suppose et j’espère). Mais pas moi, ni beaucoup d’autres médecins qui devraient s’exprimer davantage sur ce qu’ils savent. Il est temps que cesse le règne du terrorisme institué par les laboratoires et que les différents Conseils de l’Ordre entretiennent plus ou moins à contre-cœur.
Rougeole : il y a 2.400 cas annuels, donc la complication citée survient au plus 5 fois par an sur 800.000 naissances. Le rapport bénéfice-risque reste nettement défavorable, parce que le vaccin ne les empêcherait même pas toutes, quand bien même il ne la provoquerait pas.
Ce qui est loin d’être improbable, étant donné que les études à long terme ne sont pas faites, et que les laboratoires, à qui on laisse la charge de ces études (scandale suprême !), ont tendance à cacher tous leurs résultats négatifs (à la manière de Monsanto et de Servier).
Il est tout de même impensable que l’AMM des vaccins soit donnée sans le protocole préalable qu’on impose à tout nouveau médicament.
Et pour empêcher ça, vous vaccinez 800.000 enfants par an, avec là aussi des complications, mais bien plus fréquentes et tout aussi graves, de l’encéphalopathie à l’autisme, sans compter 840 effets indésirables possibles des vaccins, eux aussi avec un décalage dans le temps.
Votre problème, c’est que vous ne savez pas compter d’une part, de l’autre que vous ne voulez pas voir les effets indésirables des vaccins, pourtant parfaitement décrits dans la littérature. Vous avez un furieux désir de vous aveugler et d’effrayer…
Ce qu’on peut constater, c’est qu’aucun des vaccinalistes présents ici n’a pris l’initiative de s’informer. Leur ignorance est consternante, et on comprend pourquoi aucun médecin classique n’ose affronter un anti-vaccin (c’est l’autre terme pour désigner ceux qui ont vraiment étudié les vaccins), parce qu’il n’y connait rien, absolument rien, et que ses réponses ne tiendraient pas la route une minute.
Ils se réfugient dans le « tout le monde sait bien que » et dans le narratif des fiches des labos.
Ce qui est simplement lamentable, concernant une pratique qu’ils vont utiliser pendant 40 ans.
Vous pensez que je ne connais pas le baratin des labos et de l’OMS où ils ont placé tous leurs pions ?
Vous pensez que ça a été facile de renoncer à mes trente ans de pratique vaccinale, lorsque j’ai compris que c’était une énorme et vieille escroquerie ?
En passant, évitez de salir Wakefield, dont les travaux ont été repris par d’autres avec les mêmes conclusions. Cherchez un peu par vous-même, et vous verrez que la fraude vient au contraire du CDC : tapez CDC autisme William Thomson.
https://www.lessymboles.com/cnn-revele-la-fraude-du-cdc-lautisme-est-bien-cause-par-les-vaccins/
Évitez aussi de dédouaner le mercure, qui est un neuro toxique surpuissant, actif à doses infinitésimales sur la démyélinisation, et qui n’est présent que pour tenter de stériliser l’abominable mixture vaccinale, concoctée dans des conditions d’hygiène déplorable, incluant des virus (dont le SV40 cancérigène mais bien d’autres), 80 composants qui n’ont rien à faire là (antigel, formaldéhyde, antibiotiques, métaux lourds…) sans compter maintenant les nanoparticules dont on ignore encore le rôle mais qui ne sont présentes que dans les vaccins humains (pas dans les vaccins animaux, allez savoir pourquoi).
Évitez aussi de parler de la dangerosité de la rougeole, maladie bénigne s’il en est, qui n’a été diabolisée que lorsqu’il y eut un vaccin à vendre. La vaccination n’a réussi qu’à décaler l’apparition de cette maladie à des âges où elle était dangereuse (adultes et moins d’un an), les nourrissons ne recevant plus les anticorps maternels nécessaires lors de leur première année du fait de la mauvaise immunisation de leurs mères. Vacciner 800.000 enfants contre une maladie qui ne fait pas un mort par an est une aberration. Quant à ses complications, elles sont bien moins nombreuses que celles du vaccin lui-même.
Enfin évitez de me citer l’OMS, qui est le temple mondial de la corruption.
Les laboratoires ont patiemment infiltré tous les gouvernements et tous les organismes de santé, en France comme ailleurs.
La première question à se poser est de savoir si, au moins, au-delà de sa toxicité, le vaccin polio est efficace.
Et j’ai bien peur que non. En témoigne une étude qui montre que sur 1.433 cas de polio lors de l’épidémie indienne de 2007-2008 :
* 95% des malades avaient reçu au moins quatre doses (du vaccin oral, réputé le plus efficace) ;
* 77% ,7 doses ;
* 3% avaient reçu de 1 à 3 doses ;
* et seul 1% des malades n’avaient reçu aucune dose.
En Inde toujours, la disparition du virus polio sauvage s’est accompagnée du décuplement des cas de PFA (paralysie flasque aigüe), avec les mêmes signes mais en plus grave encore. On en dénombre actuellement 50.000 nouveaux cas par an.
Et on ne peut passer sous silence le fait que lors de l’apparition du vaccin, la polio avait déjà réduit le nombre de ses victimes de 99%.
Et c’est le cas pour tous les vaccins : la cavalerie débarque toujours après la bataille, et s’attribue les lauriers de la victoire depuis 100 ans au moins.
L’hygiène et l’eau propre ont vaincu cette maladie. Mais il faut aussi respecter l’hyperthermie qui l’accompagne (les virus -tous les virus- se multiplient de 2 à 500 fois plus vite à 37°C qu’à 39), mais encore la Vit C à haute dose guérit cette maladie, ainsi que le MgCl2 et l’Iode.
Mais qui le sait encore ?
« Des milliards de vies sauvées depuis l’instauration des vaccins ». Si vous aviez vraiment étudié les vaccins comme moi, au travers de dizaines de bouquins, vous auriez compris que c’est un mythe. Je comprends que ça vous ennuie, mais ne venez pas nous parler de santé publique. Non seulement aucun vaccin n’a jamais sauvé personne, mais les enfants qui y sont soumis sont cinq fois plus souvent malades que les autres : et c’est encore bon pour votre petit commerce. Moi, j’ai renoncé à vacciner depuis des années, et ça me coûte une blinde. Pourtant, je ne suis pas maso. Mais j’ai une conscience et je connais mon sujet.
Deux choses qui semblent vous faire défaut.
La chose la plus importante concerne non pas la prévention des maladies, le plus souvent illusoire (sauf en ce qui concerne l’hygiène et les mesures d’isolement), mais leur traitement : nous, médecins, avons ce privilège de soigner, alors que n’importe quel pharmacien va pouvoir vacciner sans même savoir quoi faire en cas de pépin immédiat ou retardé. Nous ne savons plus très bien soigner, et c’est grave. Grave aussi de distribuer les vaccins comme des sucettes. Ainsi, des maladies telles que la rougeole, la typhoïde, la polio, la grippe, se caractérisent par une fièvre initiale élevée. Pourquoi cette hyperthermie ? Parce que c’est la première barrière de défense de l’organisme. Le Pr Lwoff, Nobel de virologie, l’a très bien expliqué à la 11ème minute de cette vidéo qui date des années 70. Tapez INA, Lwoff la virulence des virus et vous la trouverez : elle est capitale. Il explique que les virus se multiplient de 2 à 500 fois plus vite à 37°C qu’à 39°C. Il est donc primordial de respecter cette hyperthermie, voire de la provoquer par des bains chauds. Donc pas d’anti-pyrétiques, sauf chez les petits mais à faibles doses filées si on s’approche des 40°C, mais une surveillance et un contrôle fréquent.
Faire tomber la fièvre exagérément, c’est faire le jeu de l’ennemi, une trahison en temps de guerre. Ensuite, 80% des français sont carencés en Vit D, ce qui affaiblit énormément leur système immunitaire. 2.100 unités de Vit D3 journalières (7 gttes de ZymaD) parviennent tout juste à ramener le taux sanguin à 30, ce qui est un minimum. J’arrête ici. Est-ce que ce sont des propos sectaires, ou de bon sens ? Je vous en laisse juge. Tout ce que je demande, c’est que chaque médecin se lance dans la lecture des ouvrages qui ont un discours différent de la doxa. Ne serait-ce qu’au nom de ce vieux principe : « Primum non nocere ».
Et de cet autre : « Un médecin ignorant sera forcément un médecin malhonnête. Que dis-je… Il l’est déjà ».
Ceux qui prétendent connaître les vaccins au travers des notices des laboratoires feraient bien de s’informer de ce qu’ils contiennent, et sur les dégâts qu’ils vont causer, mais par des études sérieuses.
C’est un sujet sur lequel moins on est instruit et plus on la ramène.
Et ne me dites pas que vous avez été formés à la vaccination parce qu’au cours de vos études, un représentant des laboratoires est venu vous faire une conférence de 90 minutes, principalement sur le calendrier vaccinal.
Je ne connais personne qui, ayant étudié sérieusement les vaccins, continue à les défendre.
Nous sommes des milliers de médecins intègres à penser la même chose, mais la peur nous retient de parler.
En revanche, le manque de courage s’exprime quand on hurle avec les loups, quand on accuse, quand on diffame sans preuve.
Je pense cependant qu’au milieu de ces vociférations malhonnêtes, nous aurons réussi à ouvrir quelques yeux, et je n’en reviens pas d’avoir pu publier tout ça sur le QDM.
Une révolution serait-elle en cours ?
En ce qui concerne l’aluminium, il y a 5 gènes impliqués dans la non-élimination de l’aluminium, selon le Pr Gherardi. Leur altération touche 1 à 2% de la population. Plus il y a de gènes impliqués et plus l’élimination devient impossible. L’aluminium s’accumule alors dans l’organisme, et comme c’est un grand stimulant du système immunitaire, celui-ci se trouve sollicité en permanence, provoquant en particulier des réactions auto-immunes et des cancers. Allergies, destruction des ilots de Langherans sclérose en plaque, Guillain-Barré, on peut tout voir, et on voit tout. Mais l’aluminium n’est qu’un des aspects négatifs des vaccins parmi bien d’autres, comme ceux provoqués par le formaldéhyde et le Mercure, et autres antigels qu’on y trouve.
Commencez par Michel Georget « Les vérités indésirables » ; un livre qui sera votre cauchemar quand vous aurez compris.
Au passage, la radiation de Joyeux n’est plus à l’ordre du jour, c’était vraiment trop énorme.
Molière se moquait des Diafoirus de son temps, mais c’est de vous qu’il se moquerait aujourd’hui, en vous voyant faire la promotion d’une pratique barbare et moyenâgeuse qui consiste à la base à introduire dans le corps d’un enfant parfaitement sain du pus de vache malade.
Vous parlez de science, mais vous comprendrez un jour qu’il ne s’agit que de commerce, et des plus crapuleux, et le plus tôt sera le mieux.
Profitez ! Dans l’immédiat, la loi est avec vous, malgré les dégâts que vous occasionnez, dont 90 à 99% sont tenus cachés. Les fabricants de vaccins ont même obtenu l’immunité en ce qui concerne les sévices produits par les vaccins. Mais un jour proche, cette loi vous condamnera.
Bien sûr que c’est une question scientifique. C’est pourquoi il faut en débattre, la science étant une donnée extrêmement aléatoire ces derniers temps, et même depuis Galilée et Semmelweiss, qui avaient juste le tort d’avoir raison avant les autres. Or vous traitez la vaccination comme une religion, c’est-à-dire tout sauf de la science, dont il serait interdit de discuter sous peine d’excommunication, et même de bûcher.
Des milliers de médecins savent bien ce que j’énonce, mais se taisent par peur du Conseil de l’Ordre.
Merci à ceux qui ont pris le soin de me lire et de chercher à comprendre mes arguments et mes opinions, que je certifie sincères et confortés par une solide étude préalable…
Merci à ceux qui ont pris 90 minutes de leur temps pour regarder en particulier VAXXED, qui devrait changer définitivement leur façon de voir. Le problème des vaccins est bien trop grave pour être réduit à des querelles d’ego, moins encore à des guerres de position.
Les faits que l’on connait aujourd’hui ne permettent plus d’en rester aux données d’il y a cent ans. La santé de nos patients est tellement importante que nos certitudes doivent sans cesse être remises en question…
J’espère vous avoir fait prendre conscience que quand des intérêts aussi colossaux sont en jeu, vous ne devez faire confiance qu’à votre propre jugement, à condition qu’il soit étayé par une solide étude des faits.
C’est l’ignorance qui est notre ennemi et qu’il faut combattre.
« La pression exercée par la vaccination sur les souches de bactéries pathogènes peut favoriser la colonisation du microbiote par des sérotypes moins communs mais qui pourraient se révéler tout aussi pathogènes à l’avenir ». Vous trouvez ça encourageant ? Vous allez sauter sur ce vaccin, qui ne subira aucune étude à moyen ou long terme, alors que les pneumovax sont déjà réputés inefficaces et dangereux, alors qu’on ne saura les dangers de celui-là que dans quelques années ? Êtes-vous aussi fou que ceux qui les concoctent ?
Le Pr Fischer est payé très cher pour mentir à tour de bras, et est un festival de conflits d’intérêts à lui tout seul. Mais il n’est pas tout seul dans son cas.
Un médecin qui renonce à vacciner perd environ 20.000 euros de CA par an, parfois bien plus. Le vaccin représente 12% du chiffre d’affaires d’un généraliste et 33% de celui d’un pédiatre.
Lequel est le plus crédible, du soi-disant expert, ou du médecin qui renonce ?
Et depuis quand entre-t-on dans une secte pour perdre de l’argent ?
Cherchez plutôt les relents de secte là où l’argent coule à flot.
Pr Fisher (taper Fisher conflits d’intérêt) :
PDF : 2.3 Vous participez ou vous avez participé à des travaux scientifiques et études pour des organismes publics et/ou privés entrant dans le champ de compétence, en matière de santé publique et de sécurité sanitaire, de l’InVS. Doivent être mentionnées les participations à des travaux scientifiques, notamment la réalisation d’essais ou d’études cliniques ou pré-cliniques, d’études épidémiologiques, d’études médico-économiques, d’études observationnelles sur les pratiques et prescriptions, etc.
Réponse Fisher : « Je n’ai pas de lien d’intérêt à déclarer dans cette rubrique ».
3. Activités que vous dirigez ou avez dirigées et qui ont bénéficié d’un financement par un organisme à but lucratif dont l’objet social entre dans le champ de compétence, en matière de santé publique et de sécurité sanitaire, de l’InVS. Le type de versement peut prendre la forme de subventions ou contrats pour études ou recherches, bourses ou parrainage, versements en nature ou numéraires, matériels, taxes d’apprentissage. Sont notamment concernés les présidents, trésoriers et membres des bureaux et conseils d’administration.
Réponse Fisher : « Je n’ai pas de lien d’intérêt à déclarer dans cette rubrique ». Et il y a 6 items du même genre.
Un professeur avec une bonne notoriété plus ou moins usurpée, qui se fait inviter sur les plateaux de télévision peut se faire 500.000 euros par an, versé sur des comptes aux îles Caïman ou autre paradis fiscal.
Le Figaro : « En dix ans, entre 1996 et 2005, les dix plus grands laboratoires mondiaux ont consacré, selon les calculs de deux autres chercheurs canadiens, Leo-Paul Lauzon et Marc Hasbani, 749 milliards de dollars en marketing et administration. C’est 2,6 fois plus que ce qu’ils ont consacré aux frais de R & D (Recherche et développement) sur la même période, et un peu plus que ce qu’ils ont investi dans leurs outils de production ».
Actuellement, on pense que ce budget tourne autour de 200 milliards par an. Une bonne partie de cet argent va directement dans la poche des sommités médicales et des agents infiltrés au coeur des gouvernements, de l’OMS et des autorités de santé.
Une autre partie atterrit dans la poche des médecins de terrain, sous des formes détournées. Personnellement, j’ai choisi de faire mon métier honnêtement, et je n’ai vu aucun visiteur médical depuis dix ans.
Mais je ne suis pas triste, sire…
Accuser de sectarisme (ou de complotisme) un contradicteur dont on ne parvient pas à démolir les arguments est le comble de la bassesse : c’est l’argument désespéré des gens qui n’ont plus rien à dire.
Je ne vous permets pas non plus de me traiter de charlatan. Je n’écris ce que je sais que parce que j’ai passé neuf ans à étudier le sujet, un sujet dont vous n’avez lu que de la pub.
Mais puisque vous parlez de secte, la vaccination est une religion, une secte, avec ses grands prêtres et ses marchands du temple, ses bibles et ses crédos mensongers, ses fanatiques et ses assassins.
Je sens bien que ça vous démange de me dénoncer au Conseil de l’Ordre. A mon âge, ce ne serait pas si dramatique, et c’est vrai que les risques sont moindres pour moi, alors que d’autres confrères qui en savent autant se taisent parce qu’ils ont peur. Et ils ont raison, même si ce n’est pas très courageux.
Mais je vais vous raconter une petit anecdote.
Un autre confrère a tenté de s’occuper de mon cas il y a 8 ans, un cardiologue qui en savait aussi peu que vous sur le sujet et qui m’a dénoncé auprès du CNO (Conseil National de l’ Ordre) après une série de commentaires de ma part sur le site de Marianne.
Le président de mon CDO m’a alors annoncé que j’allais être convoqué devant les 23 membres du Conseil départemental. Je lui ai dit que j’étais ravi de cette opportunité de parler pendant une heure devant 23 éminents confrères, en le prévenant toutefois qu’à la fin de mon exposé, la moitié d’entre eux refuseraient de vacciner désormais.
Il a dû me prendre au sérieux puisqu’il a limité les présents à lui-même, le secrétaire, et moi.
Après une heure d’entretien, où ils ont lu mes dossiers, emprunté mes livres, le Président m’a dit textuellement : « Vous avez raison : on vaccine trop, et trop tôt. Mais soyez plus modéré ».
Je lui ai dit que je n’en ferais rien, et, vous le voyez, je n’en fais rien. La conclusion est que mes confrères savent parfaitement que j’ai raison, mais qu’ils ont peur de parler. Lorsque vous saurez vous aussi, vous aurez peur, également. Mais au moins vous saurez ce que vous faites…
« J’ai honte », « I have great shame » avoue William Thompson, l’expert de la principale étude sur l’autisme et la vaccination1. L’étude de référence qui réfute tout lien possible avec le vaccin ROR, révélait en réalité un risque « astronomique ». « Vaxxed, du mensonge à la catastrophe » expose un des plus grands scandales de notre époque.
« Vaxxed » 2, est un documentaire qui vient fracasser tout l’édifice des mensonges déployés par l’industrie. Le sujet est on ne peut plus choquant : « J’ai honte » « I have great shame ». William Thompson, l’expert du CDC, l’organisme scientifique le plus respecté de la planète, en charge de la plus importante étude sur l’autisme et la vaccination, confesse avoir menti et manipulé les données, sur ordre de sa hiérarchie. Tout y est : les noms, les preuves, les documents, les enregistrements. Si un seul mensonge apparaissait dans ce film, cela aurait mobilisé une armée d’avocats.
Ce film est une bombe. Une fois vu, on ne peut pas l’effacer de sa mémoire, un peu comme dans Matrix, si on a osé prendre la pilule rouge… « Vaxxed » est accablant pour tous les acteurs associés aux politiques vaccinales : la hiérarchie du CDC, les membres du congrès américain, les journalistes, les juristes, les journaux scientifiques.
Personne n’y échappe, pas même Bill Gates. Ces révélations sont tellement choquantes, qu’après l’avoir vu, ne pas mettre la sûreté des vaccins en question revient à de l’inconscience.
Oui, de l’inconscience…