Futura-Santé fait savoir que Sanofi-Pasteur est en cheville avec des chercheurs de l’université de Californie à San Diego, qui “travaillent à la mise au point d’un vaccin… Un tel vaccin pourrait en effet voir le jour d’ici… une petite dizaine d’années. En effet, les scientifiques qui planchent sur le sujet sont encore loin du but. « Le vaccin est actuellement au stade préclinique », souligne-t-on chez Sanofi Pasteur, qui vient de signer un accord avec l’UC San Diego. En attendant, les chercheurs examinent encore toutes les options : doivent-ils préparer un vaccin prophylactique qui protégerait de l’acné donc, ou un vaccin curatif ?
Rappelons que la prévalence de l’acné chez les adolescents s’établit entre 80 % et 90 %. Quant à ses formes modérées à graves, elles concernent 14 % des sujets de 5 à 17 ans. Bien que dénuée de gravité, l’acné peut impliquer un impact psychologique important. Un vaccin serait par conséquent accueilli avec soulagement par de nombreux adolescents.”
Il faudra bientôt inventer un vaccin qui vaccine contre la pléthore de vaccins que les laboratoires veulent mettre sur le marché pour soi-disant prévenir une maladie ou la guérir par un “vaccin curatif”. Par définition un vaccin agit en prévenant par immunisation et ne peut pas être curatif.
Voilà beaucoup d’argent dépensé dans une recherche peu efficace pour les patients mais efficace pour le portefeuille des laboratoires qui persistent et signent.
Je ne vois pas comment on pourrait créer un vaccin contre l’acné alors que cette “pathologie” est souvent du à un changement hormonal? Bref, encore un laboratoire qui veut jouer à l’apprenti sorcier question de s’en mettre plein les fouilles.
Le pire, c’est que des personnes peu informées de telles pratiques tomberont dans le panneau. Un peu comme pour le vaccin contre la grippe… bref, les laboratoires ont encore de beaux jours devant eux.
Je ne vois pas comment on pourrait créer un vaccin contre l’acné alors que cette “pathologie” est souvent du à un changement hormonal? Bref, encore un laboratoire qui veut jouer à l’apprenti sorcier question de s’en mettre plein les fouilles.
Le pire, c’est que des personnes peu informées de telles pratiques tomberont dans le panneau. Un peu comme pour le vaccin contre la grippe… bref, les laboratoires ont encore de beaux jours devant eux.