https://www.francesoir.fr/opinions-tribunes/pourquoi-les-vaccinations-intramusculaires-anti-covid-9-ne-peuvent-quechouer
POUR CEUX QUI SONT PRESSÉS ET QUI N’ONT PAS LE TEMPS DE LIRE TOUT L’ARTICLE
8 – Conclusion
Tous les vaccins anti-COVID couramment utilisés sont administrés par voie intramusculaire et sont par conséquent incapables de prévenir une infection des voies aériennes supérieures par le virus Sars-CoV-2.
En fait, dans leurs essais cliniques, aucun des fabricants de ces vaccins n’a même essayé de démontrer l’efficacité contre l’infection ou la transmission [1 8-21 ], et dans la vraie vie, l’absence totale d’efficacité a depuis été documentée dans une vaste étude publiée par le CDC (Center of Disease Control) [22].
Cependant, ces vaccins peuvent conduire à une maladie respiratoire immune sévère, comprenant une réaction de type Th2 et une auto-immunité. Lorsqu’on prend en compte le grand nombre d’effets indésirables rapportés suite à ces vaccins et le faible taux de létalité [nombre de personnes décédées sur le nombre de personnes infectées, différent du taux de mortalité qui est le nombre de personnes décédées sur une population entière] de la maladie COVID-19, que nous avons discuté ailleurs [23], il est clairement plus scientifique et plus raisonnable de rechercher une immunité collective par l’infection naturelle plutôt que par la vaccination.
Commentaire du traducteur
En résumé, d’après ce que l’on sait depuis des décennies, les injections intramusculaires du gène de la protéine Spike (la plus toxique du virus) non seulement ne peuvent pas créer une protection contre une infection ultérieure par voie aérienne (par manque d’IgA sécrétoires), mais peuvent en revanche engendrer une aggravation d’une telle infection (par des anticorps circulants facilitants).
Cantonné à ces aspects immunologiques, cet article ne traite pas d’autres questions importantes :
a) Sur l’inefficacité
– le choix de vouloir immuniser contre une seule protéine du virus (à la différence des virus entiers inactivés), la plus toxique même lorsqu’elle est seule (contrairement à une anatoxine), et qui plus est celle qui mute le plus... ;
– le choix de pratiquer ces injections en pleine période épidémique, alors que l’immunité qui se construit peu à peu n’abolit ni la réplication ni la transmission du virus ; ce qui est le meilleur moyen (connu depuis au moins Charles Darwin…) de sélectionner les variants résistants (échappement immunitaire).
b) Sur la toxicité
l’effet direct de la protéine Spike (synthétisée après infection virale ou après inoculation intramusculaire de son gène) :
– sur les récepteurs ECA2 (Enzyme de Conversion de l’Angiotensine 2), donc sur le tonus vasculaire (donc la pression artérielle), la fibrose, l’inflammation et l’activation des cellules immunitaires ; (Ces récepteurs sont présents sur la quasi totalité des cellules de l’organisme ndlr)
– sur la réparation de l’ADN cellulaire ;
– sur les cellules du système nerveux central (effet prion, maladie neurodégénérative). Ainsi que les effets inconnus (?) des adjuvants (dont l’hydroxyde de graphène).
Au total, pour n’importe quel médecin ou biologiste, oser encore parler de “vaccins” à propos de ces inoculations géniques intramusculaires relève soit de la démence soit de la complicité de crime organisé.
En revanche, d’autres vrais vaccins ne sont pas impossibles :
1) Des vaccins à virus entier inactivé (par exemple de la société franco-autrichienne Valneva) dont le développement n’a guère été encouragé dans l’Union Européenne (il est vrai que le mari de Mme Von der Layen travaille plutôt avec ou pour Pfizer).
2) Un nouveau vaccin développé par l’armée US, qui semble être une poly-protéine recombinante présentant plusieurs formes de protéine Spike, dont on peut espérer qu’aucune d’entre elles ne sera capable de se fixer aux récepteurs ECA2.
3) Et surtout, la bonne nouvelle de cette fin d’année, comme le dit le Dr Robert Malone, inventeur de la technologie d’inoculation intra-cellulaire de portions d’ARNm (à des fins de thérapie génique), est que le variant Omicron se comporte de fait comme un vaccin vivant atténué ! Qui devrait générer une immunité à la fois cellulaire (lymphocytes T) et humorale (anticorps), systémique (IgG) et muqueuse (IgA), avec un minimum de conséquences cliniques (un simple rhume).
S’il se diffuse autant qu’on le dit (et à condition qu’aucun successeur plus méchant, stocké quelque part dans un laboratoire, ne soit lui aussi largué dans le monde), Omicron pourrait bien être l’Omega de l’Opération COVID !
La réponse cinglante de la nature à la cupidité criminelle de certains humains, la chute (hélas provisoire) des Icares hubriques (avec un “h”) déguisés en médecins, qui au lieu d’avoir été des soignants ont été en 2020 des covi-tueurs en refusant de traiter les malades (voire en les euthanasiant activement), et en 2021 des vacci-tueurs en injectant des produits inutiles, inefficaces et toxiques. On ne peut que l’espérer.