La mécanique politique est ainsi agencée qu’elle ne laisse guère de place à l’intelligence et que ce n’est jamais qu’un certain degré de médiocrité qui gouverne. CALAFERTE
Ou le siècle à venir sera celui du refus, ou il ne sera qu’espace carcéral CALAFERTE
La plupart des personnes, corps médical y compris pensent que la vaccination est une découverte extraordinaire qui résoud et prévient toutes les maladies. C’est faux.
Historiquement, le principe de la vaccination est lié à une maladie qui s’appelle la variole.
La vaccination est une méthode complètement empirique dont l’efficacité réelle n’a jamais été scientifiquement démontrée. Elle était connue des gens qui élevaient des vaches (vacca) pour avoir du lait. Les personnes qui trayaient les vaches développaient des pustules sur les mains qui ressemblaient à celles de la variole mais qui étaient bien moins graves et ne laissaient pas de marques.
On l’appelait la vaccine ou la variole de la vache (cowpox). D’où le nom futur de “vaccin”.
De même qu’au 17e siècle existait la variolisation, les paysans se sont aperçus que les gens atteints par la vaccine étaient protégés de la variole.
Sur les conseils réitérés qui ont duré 20 ans, du naturaliste John Hunter, Jenner, médecin anglais finit par tenter l’expérimentation sur un enfant de 8 ans, James Phips .
Il lui a inoculé en 1796, du pus prélevé sur la main d’une femme Sarah Nelmes infectée par une vache nommée Blossom, c’est-à-dire une vache “qui est en fleurs”, porteuse d’espoir. Cette « découverte » a permis de découvrir un autre découvreur, à savoir le fermier Benjamin Jesty qui connaissait ce procédé bien avant Jenner, mais cela est une autre histoire.
Quelques temps après, Jenner a injecté à James Phips du pus de variole et la variole ne se développa pas. Il réitéra une autre injection sur James et obtint le même résultat.
Lors d’une variolisation le sujet variolisé avait une réaction fébrile conséquente accompagnée de pustules sur le visage qui disparaissaient avec la fièvre sans laisser de traces. Cette variolisation se faisait à l’automne et sur un sujet en parfaite santé. Cela laissait sous- entendre que les sujets fatigués ou malades ne devaient pas être vaccinés. C’est ce que raconte Lady Wortley- Montagut femme de l’ambassadeur d’Angleterre à Constantinople, dans ses lettres que vous pouvez vous procurer en librairie.
C’est elle qui est à l’origine de la propagation de la variolisation dans toute l’Europe.
Louis XVI et Marie-Antoinette et toutes les cours d’Europe se sont alors « variolisées » avec succès.
Actuellement on conseille plutôt de vacciner les gens atteints de comorbidités c’est-à-dire malades ce qui me semble être une hérésie car on ne doit pas vacciner les personnes malades au système immunitaire affaibli par la maladie. On ne doit pas vacciner les personnes à risque. De même on ne vaccine pas en période d’épidémie. Il faut stimuler le système immunitaire par des traitements avérés et adaptés et une hygiène de vie adéquate et personnalisée.
Lors de la “pandémie” actuelle, tout a été fait en dépit des normes établies et dans le sens contraire de celles-ci.
Le principe de base de la vaccination peut se résumer à deux choses :
- On prend le pus de la variole (qui contient le virus entier), et on l’injecte à un sujet bien portant à un moment donné de l’année (automne). On se sert donc de la cause de la maladie pour créer dans un organisme en bonne santé, une maladie semblable mais atténuée afin que le système immunitaire dans son ensemble puisse entrer en jeu et en particulier mémoriser cette « attaque ». La mémorisation va permettre de repousser ultérieurement toute intrusion pathogène du virus de la variole mimant ainsi de façon parfaite la nature mais avec deux avantages qui sont :
- L’absence de séquelles sur le corps
- Une immunisation définitive contre la maladie, alors que la vaccination n’immunise que pour 10 ans.
Nous sommes dans le principe isopathique de l’homéopathie, dans la loi de l’identique.
ET un inconvénient qui est que certains sujets variolisés pouvaient en mourir ; d’où la recommandation de l’époque de n’intervenir que sur des sujets en parfaite santé. La technique, bien appliquée entraînait peu de morts.
- La découverte empirique d’une immunisation identique en utilisant le pus de la vaccine, plus exactement la lymphe du pus, c’est-à-dire d’une maladie semblable à la variole (Cow pox), mais bénigne, apporta un net progrès à ce principe d’utiliser la cause d’une maladie, en l’occurrence le pus variolique, pour la prévenir. La médecine classique parle alors d’immunité croisée. D’autres médecins y voient à juste titre, le principe même de l’homéothérapie.
La vaccination ( du mot vacca) était née et nous ne pouvons réfuter le rôle positif qu’elle a eu sur l’éradication de la variole – associée à l’isolement des personnes atteintes et proches, et non à un confinement dans tous les cas inutile.
La vaccination est donc basée sur l’empirisme, c’est-à-dire sur l’observation et pas du tout sur des études randomisées en double aveugle contre placebo qui d’ailleurs n’ont jamais été réalisées.
Actuellement, les vaccins ne sont absolument pas soumis aux règles de base de mise sur le marché obligatoires pour tout médicament (pas d’études contre placebo, pas de pharmacocinétique, pas de tératogénèse …) Personne ne s’en est jamais ému et d’ailleurs personne ne s’émeut du fait que les « nouveaux vaccins » qui ne protègent pas contre la maladie et n’empêchent pas de la transmettre soient illégalement imposés à la population alors même qu’ils sont en expérimentation.
Ce ne sont des vaccins ni dans leur conception ni dans leur résultat préventif qui est non seulement nul mais délétère. L’ARNm n’est pas l’ARNm du virus. Il est fabriqué en laboratoire.
La plupart des gens croient en la vaccination comme un dogme, corps médical y compris, faisant fi du moindre bon sens et ce qui est pire pour le corps médical de connaissances historiques.
Il est vrai que parmi ce dernier, des médecins « reconnus » osent mentir à la population avec un aplomb qui me fait frissonner de honte et qui rougit le serment d’Hippocrate lu en jurant lors de leur soutenance de thèse.
En isolant les bactéries et les virus présents dans l’organisme lors de maladies données, les chercheurs eurent l’idée de prendre ces pathogènes et de les injecter après les avoir atténués ou tués afin d’éviter des réactions délétères mais en permettant à l’organisme de créer des anticorps protecteurs prêts à réagir en cas de futurs contacts avec ces pathogènes. On a dû multiplier ces pathogènes en laboratoire en les cultivant sur des cellules de toutes sortes (reins de singe, fœtus humains). Puis on a utilisé des protéines isolées et fabriquées. Ensuite, on s’est aperçu que les antigènes protéiniques purifiés ne permettent pas d’induire la sécrétion d’anticorps en quantité suffisante et qu’il était nécessaire d’ajouter des adjuvants tels que le phosphate de calcium puis les sels d’aluminium plus toxiques mais plus rentables que le phosphate de calcium, pour le laboratoire Merck en particulier. Enfin qu’il fallait injecter une deuxième dose et une troisième dose car contrairement à l’immunité naturelle, l’immunité artificielle ne dure pas.
En fait ces injections répétées ne peuvent jamais remplacer une infection naturelle et traduisent pour certaines maladies l’échec vaccinal. Avec l’infection naturelle, l’immunité est à vie et le sujet immunisé ne transmettra jamais la maladie et ne l’attrapera plus.
Il faut savoir que le principe de la vaccination se discute pour chaque maladie et que c’est loin d’être une thériaque.
Sans doute parce qu’en plus du virus et de la bactérie existe tout un écosystème dans lequel baigne le virus et/ou la bactérie, que la vaccination met de côté. La véritable « mémoire immunologique » ne peut pas être reproduite par un vaccin. Les immunologistes sont en fait dans le flou et font comme si la vaccination était une panacée réplicable à toutes les maladies alors que personne ne sait comment fonctionne la vaccination et encore moins comment fonctionnent les nouveaux vaccins
C’est un leurre qui arrange leur égo et le portefeuille des laboratoires.
L’infusion d’Artemisia annua est plus efficace, avec moins d’effets secondaires qu’un médicament à base d’artémisinine extraite de l’Artemisia. La décoction d’écorce de Quinquina rubra ou calisaya est plus efficace que la quinine fabriquée en laboratoire depuis Pelletier et Caventou.
Cela signifie qu’injecter une protéine Spike dans un organisme ou injecter le gène qui code pour cette protéine afin que les cellules de l’organisme la fabrique est de la pure folie théorique et que ceux qui acceptent ces injections sont des cobayes qui risquent de le regretter.
Enfin l’histoire des vaccins montre clairement que ceux-ci sont toujours arrivés « après la bataille », c’est-à-dire que les maladies et les morts causés étaient chaque fois en régression au moment de la vaccination obligatoire ou fortement conseillée. C’est ce qui se passe avec “la Covid”, mais là nous sommes dans une autre dimension d’hypocrisie et de fourberie.
Il faut donc que les immunologistes et les médecins compétents et honnêtes regardent la vérité en face et reconnaissent l’apport limité de la vaccination dans l’éradication des maladies et surtout qu’ils sachent que celle-ci ne peut pas être généralisée à toutes les maladies en dehors d’un appât du gain faramineux doublé d’intentions sataniques.
La vaccination est imposée dans l’esprit de la population comme une croyance et sert de prétexte à la mise en place d’un sauf-conduit vital sans lequel toute action, tout mouvement devient impossible. Nous sommes en présence d’une camisole de force qui se dénoue à l’aide d’une piqure administrée à l’aide d’une aiguille et d’une seringue au contenu dangereux.
Même si on vous fait croire que se vacciner chaque année va vous donner un sauf-conduit pour « vivre comme avant », vous savez pertinemment dans votre for intérieur que c’est faux.
Nous avons maintenant une société fondée sur le passe sanitaire, concurrent de Dieu et définissant une organisation à laquelle l’individu doit se soumettre sous peine d’exclusion. La maladie est devenue une conséquence d’une faute commise si on applique pas les gestes barrières, masques, distanciation, gel hydro-alcoolique, châtiment reçu de la désobéissance et qui sera évité par la vaccination qui n’empêchera pas de continuer à obéir et qui sera source de récompenses: le pain et les jeux c’est à dire les restaurants et les spectacles ainsi que les voyages sous contrôle. Le libre arbitre est supprimé. Le robot peut avancer, gambader, mais attention à lui s’il n’obéit pas.
Alors, ne jouez pas au matador en vous sentant supérieur à ceux qui résistent.
Je sais que beaucoup de vaccinés auraient refusé cette vaccination s’il n’y avait pas eu cet odieux chantage.
Vous devez aider les résistants à combattre cette dictature au moins en respectant leur combat et en les aidant moralement, en évitant les conflits et la séparation de la population recherchée par les gouvernants, en les soutenant en silence.
Espérons que la force de la liberté va noyer ce passe sanitaire dans la profondeur des abymes de l’océan.
« Je te salue vieil océan!” Aide-nous.
Dr JO
Dr Jo tu touches un sujet sensible et au vue des retours actuels sur les réseaux sociaux il est grand temps d’alerter car les pro vaxx ou plutôt ceux qui en veulent au non vaccinés Covid deviennent virulents. Cet exposé bien mené, hélas, n’attendra pas les media écoutés par ceux qui devraient l’entendre. Mais assurément il faut continuer et la parole est importante. Je profite de ce petit mot pour rendre hommage à un homme à la parole bienveillante, Monsieur Pierre Rabhi qui va cruellement nous manquer. Qu’il continue de nous illuminer !