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“Mon ami Michel Mounié professeur de philosophie et spécialiste de l’hérésie médiévale Bogomile Cathare européenne et de son rôle déterminant dans la fondation de nos cultures Nord/Sud malgré de longs siècles de répression, m’envoie ce texte que je soumets à votre réflexion. Il analyse la période covidesque écoulée et en tire une conséquence spiritualiste particulièrement intéressante et quantique./ Et même quand il “ose” approcher la question du divin, il dénoue presque avec bonheur ce que ces longs siècles de répression avaient occulté, ainsi que les conséquences sociales inouïes qui en résultent…

RÉCHAUFFEMENT SOLAIRE, COVID et LIBERTÉ, CHEMIN de la NOUVELLE HUMANITÉ

2e version

Un penseur bulgare nous donne semble-t-il les outils pour comprendre et traverser librement  les épreuves  qui surviennent aujourd’hui autour du Réchauffement solaire et du Coronavirus :

Ces épreuves qui nous arrivent auraient un sens, et elles nous obligeraient à aller vers cette Nouvelle Humanité annoncée dans les textes du Nouveau Testament et de l’Apocalypse de Jean, éclairés et soulignés dès 1920 par ce maître bulgare Peter Deunov, c’est-à-dire à une refondation sociale, politique, scientifique profonde, c’est ce que formule notre penseur qui, dans les Mondes  Bulgares et Slaves comme dans de grandes métropoles a un rayonnement certain.  

A la suite des répressions européennes de la conscience « Renaissante », la science et les forces théocrates (voir ci-dessous),depuis Descartes par exemple, formé dans les premiers collèges jésuites, et depuis les absolutismes jusqu’à nos jours, ont séparé le physique et le mental, la Matière et l’Esprit, et modelé ainsi nos intelligences en un matérialisme absolu. La science nouvelle au contraire voit bien aujourd’hui que le développement organique est une fonction de nos états de conscience, et probablement, nous le verrons plus loin, de notre rapport à l’amour, à la sagesse et à la vérité… Nous serions alors tous invités à entrer dans cette Vraie Science et cette Nouvelle Humanité, où seuls les humbles, les simples, les purs auraient accès, en ce chemin inouï de l’amour et de la vérité, celui de la Vie

Note. Les forces théocrates au sens large, au sein de mouvements donnés, sont celles qui veulent imposer contre les sujets d’un peuple donné,  par la force ou la ruse,  une religion,  des conceptions de la nature ou de la science qui en découlent ou non, une morale ou quelque idéal. Si elles représentent la tentation de certaines individualités de ces mouvements- celle de l’usage de la force ou de la violence- elles n’impliquent pas tous les êtres de ces mouvements qui ne participent pas nécessairement ou définitivement de ce type d’erreurs… (On a vu par exemple François d’Assise lui-même en décalage avec le mouvement éponyme (les Franciscains, les directeurs de l’Inquisition, précisément à cause de l’usage de cette violence…) On parlera alors de forces théocrates (trop souvent) à l’œuvre dans tel mouvement… Si accidentellement dans notre article ou dans nos ouvrages précédents, la confusion était encore opérée dans la dénomination « théocrate » d’un mouvement donné, il faudrait corriger le terme selon le sens indiqué. Quant aux partis modernes qui érigent la force comme système de gouvernement, ils participent d’une certaines manière aux principes de toute théocratie et au vieux rêve d’imposer leur « juste conception »…

I Le Coronavirus et l’enveloppe magnétique du corps humain : nos pouvoirs absolus sur la maladie

La maladie est une fonction de nos modes d’existence.

A) Une enveloppe magnétique recouvre l’organisme humain et le protège de la maladie : son état est une fonction des équilibres mentaux humains

L’organisme humain, selon la pensée deunovienne, comme tous les penseurs d’un naturisme fécond,  est recouvert d’une enveloppe magnétique, une véritable peau du corps mental, (visible à la science occulte dit-il), qui enveloppe tous les organes, toutes les cellules de l’être (y compris d’ailleurs les cellules du poumon ou de la paroi nasale (ou buccale, ou même celle de la conjonctive), etc…)

Cette enveloppe magnétique assure la bonne santé en régularisant la chaleur de l’organisme, par quoi elle nous tient à l’abri des maladies.

Mais nous pouvons nous-mêmes constater qu’il suffit d’une vie injuste, d’une violente dispute ou d’un conflit profond, d’un problème obsédant qui nous tourmente, ou d’une très grande fatigue autant morale que physique, pour déchirer cette enveloppe, et rompre cet équilibre calorique : on n’est pas bien, « on prend froid », avec des phénomènes de vaso-constriction qui l’accompagnent, et les agents extérieurs nous pénètrent alors et déterminent la maladie… Notre santé dépend directement de nos équilibres mentaux ! C’est, au sein même des forces de la nature, par ce rapport à la vérité, caractéristique de l’enfance, à la sagesse et à l’amour non violent, porteur des impulsions de la Vie, que nous entretenons cette enveloppe protectrice. Celui qui est empli d’amour par exemple fortifie ses équilibres caloriques et est pris dans un dynamisme créateur.  Celui qui en est coupé affaiblit la barrière magnétique qui le protège et est livré aux agents pathogènes micro organiques étrangers…

Préalable : difficulté de faire des statistiques et des observations précises des phénomènes en jeu

Pour comprendre plus précisément l’épidémie- ou pandémie selon certains- du Covid 19, il nous faut observer les classes de personnes qui en sont atteintes :

Mais notons au préalable qu’il est difficile de faire des statistiques précises des personnes malades, atteintes dudit virus, dites positives, par rapport à l’ensemble de la population… On visait initialement les personnes cliniquement, c’est-à-dire visiblement malades, atteintes du Covid 19, (et on obtenait à partir de là, et des décès qui en étaient issus,  un taux de létalité donnée- définie par le nombre de décès sur un ensemble donné de malades, différent du taux de mortalité, définie par le nombre de décès d’une maladie sur une population donnée). Les choses étaient donc claires. Mais on s’aperçut alors que de nombreuses autres personnes étaient « contaminées », positives à la présence du Covid 19, mais sans aucuns symptômes cliniques, sans maladie visible, ce sont les porteurs sains ou asymptomatiques, personnes dont on ne connaît pas véritablement le nombre…  Et il semble difficile d’élaborer un taux général de positivité au virus, c’est-à-dire le nombre de personnes testées positives sur le nombre de personnes testées, étant donnée l’incertitude des tests eux-mêmes, l’impossibilité pratique à tester l’ensemble des populations – ou de grands échantillonnages- et alors que le virus semble circuler d’une région l’autre, tandis que, pour compliquer les choses,  deux autres faits troublants viennent s’additionner :  le fait que des personnes testées positives une fois peuvent « guérir » et redevenir négatives… Et, 2e, le fait qu’un important pourcentage des individus  hospitalisés et guéris, un tiers des personnes guéries environ, (nous le voyons plus bas, sur 175 individus guéris dans un hôpital de Chine) n’ont pratiquement pas produit d’anticorps neutralisants, ou même pas du tout, ce qui à l’égard d’une maladie qui n’est pas anodine est étonnant (voir plus bas). Il a fallu refaire plusieurs séries de vérifications, en des temps espacés, pour s’en assurer…

(Un autre flou apparaît également, à savoir si dans les cas généraux de co-morbidités (plusieurs maladies simultanées)  des diabétiques, des insuffisants respiratoires, et du grand âge de certaines personnes en Ehpad ou ailleurs, il faut attribuer ce décès à ce Covid ou à la co-morbidité elle-même et au très grand âge, ce qui modifierait sensiblement, selon les choix, les données de la létalité,  c’est-à-dire le nombre de décès sur un nombre donné de malades du Covid 19… )

Et si la létalité (dérivé du latin létum, la mort)désigne le rapport du nombre de décès sur le nombre de malades réels, ici du Covid, (ou d’une maladie donnée en général), les chiffres changent considérablement selon que l’on appelle malades ceux qui sont réellement, cliniquement malades, et ceux qui sont seulement positifs du Covid sans être malades, et qui le resteront, ceux qu’on appelle « les porteurs sains ou asymptomatiques », sans aucun symptômes (nous le verrons plus bas) ! (Aussi le taux de positivité, le rapport du nombre de testés positifs sur le nombre de tests pratiqués, ne nous enseigne pas grand chose… Cette distinction entre personnes cliniquement malades d’un virus donné et personnes positives à ce virus, ici le Covid 19 entretient de grandes confusions…

Sous le rapport de la létalité proprement dite, la France serait avant l’Amérique, le Brésil, l’Allemagne, championne du monde de la létalité nous dit le Professeur Péronne, mortalité des malades qu’il attribue à la corruption des scientifiques et du Conseil scientifique en France- dont les publications sont à la solde des grands trusts pharmaceutiques- puis au verrouillage des médias,  et par là au refus français conséquent de traitement ( à l’hydroxychloroquine plus antibiotique)… Mais en élargissant le nombre des malades à ceux qui sans être malades, sont positifs au Covid, cette létalité, le rapport des décès au nombre de malades, diminue, mais illusoirement…

Que d’incertitudes.  Nous voyons ici qu’il nous faut sortir des modes de pensée habituels, et de la théorie peut-être trop simpliste de l’immunité, (voir note) pour analyser et comprendre autrement les phénomènes, ce qui nous permettra d’ailleurs de re-comprendre l’ensemble des évènements maladifs en général…

Note : Pour celle-ci, un agent  extérieur agresseur ou « antigène » s’introduit dans l’organisme humain, et  tente de s’y développer, tel notre virus, compromettant l’identité organique. Il suscite alors la réaction des cellules de l’organisme et la phagocytose ou absorption des agresseurs au moyen  des globules blancs du sang, ou leucocytes. Parmi ces globules blancs, les lymphocytes B et T produisent des anticorps spécifiques libres qui favorisent cette phagocytose… L’immunité consisterait donc en une lutte entre un agent extérieur pathogène, micro organique, et un agent intérieur capable de réduire au terme d’une lutte cet agent extérieur, principalement au moyen de la production d’ « anticorps». (La vaccination introduirait une maladie atténuée par une culture microbienne conditionnée, injectée pour susciter à l’avance la production d’anticorps et prévenir la maladie quand elle surviendrait pleinement…)

Populations indemnes du Covid-19 : l’enfance et la jeunesse, les femmes plus que les hommes, les adultes plus jeunes ou même tous les adultes- quel que soit l’âge semble-t-il-  réalisant des conditions intérieures données…  Conséquences :

Par-delà ces incertitudes statistiques, nous voyons manifestement que ce sont les enfants et la jeunesse qui même vivants dans des milieux contaminés sont épargnés par le Covid 19, qu’ils soient négatifs au Covid 19, ou positifs asymptomatiques, et généralement peu ou non touchés par la maladie, et particulièrement les nouveaux nés, totalement indemnes, quoique vivant, surtout dans les premiers mois dans une très grande proximité à leur mère « contaminée » et positive… et ensuite viennent les femmes qui, en termes de décès du Covid, ne sont atteintes qu’à 33% contre 66% d’hommes,  et qui représentent plus des deux tiers des asymptomatiques, ceux qui sont positifs au virus sans être malades,  (Journal des femmes, porteurs sains du Coronavirus, article en ligne, mis à jour le 9/07/20). Et parmi les personnes âgées, sont épargnées des personnes retrouvant consciemment ou non, sans doute par leurs choix culturels, des liens aux états de l’enfance, ce lien profond à la Vérité mais aussi des liens renforcés à l’amour et à une certaine sagesse : Nous avons rappelé combien des conduites violentes ou injustes peuvent rompre nos équilibres magnétiques et caloriques, tandis que « nous prenons froid » : nous avons rappelé comment notre santé,  nos équilibres sanitaires, dépendent de nos équilibres mentaux, et de l’amour en nous comme de la vérité…

Si l’enfant, surtout lorsqu’il est porté dans la chaleur familiale de l’amour, et s’il n’est pas précocement investi de traitements étrangers touchant à ses équilibres vitaux (nous reviendrons plus loin sur ce thème), si la jeunesse en général (et même certains adultes, quel que soit l’âge réalisant des caractéristiques données) et si, dans le même sens, un pourcentage conséquent de  femmes- qui vont pourtant plus au contact du monde extérieur que les hommes et de la circulation virale sont généralement indemnes de ce Covid, cela confirme l’analyse préalable portée plus haut, au-delà de la simple théorie immunitaire, et le rôle de leur aura magnétique. C’est dire tout simplement que leur aura magnétique est intacte. Et nous avons toujours vu les ados témoigner, fièrement, de leur résistance naturelle au froid, image de cet équilibre magnétique, au moment même d’ailleurs où leur entrée dans la vie réelle risque de corrompre cet état idéal…

 Le rôle de l’aura magnétique dans la protection des maladies est scientifiquement expérimentable, mais pour une vraie science, attentive à la totalité du réel- dont le rôle de l’esprit, évoqué ci-dessus, jusque dans l’anatomie et la physiologie- science qui peut s’ouvrir ainsi à des expériences de plus en plus fines et subtiles… Nous y reviendrons.

B) Mise en cause du principe de l’immunité

Faits dérangeants

Ainsi, enfermés dans les modèles mécanistes de la pensée imposés depuis les répressions de la Renaissance (guerres dites de Religion) par les absolutismes (voir note ci-dessous) puis par la Révolution trahie et enfin depuis la 3e République jusqu’à nos jours, on n’est pas à ce jour attentif à cela, à de tels faits qui deviennent pourtant des faits dérangeants, contradictoires sous le rapport de la théorie officiellement adoptée de l’immunité : le fait que la masse significative des enfants, et de la jeunesse en général, dans des conditions évidentes de circulation et de présence du virus, soient généralement épargnés par la maladie, mais aussi les femmes plus que les hommes selon des pourcentages significatifs,  et sans doute, et quel que soit l’âge, des personnes qui ont gardé leur âme de l’enfance, un lien évident à la Vérité, à la sagesse et à l’amour, ce fait nous amène à remettre en cause le principe de cette immunité adopté par la science d’Etats théocrates et inculqué dès l’enfance et l’adolescence à toute personne, dès lors qu’elle devient en âge de penser. Selon ce principe essentiellement simpliste et belliciste (guerrier),  on est attaqué par un micro-organisme pathogène ou antigène et l’organisme se défend, réagit par la production d’anticorps, reconnaissant, neutralisant et éliminant cet antigène. C’est donc sur le principe de l’attaque et la défense, typique des conceptions contemporaines de l’existence, que se conçoivent la vie et la maladie. Mais le fait évoqué ci-dessus que toute une importante classe d’individus, la jeunesse principalement, mais aussi les femmes, et toutes personnes quel que soit l’âge vivant selon des équilibres de vie déterminés, ne soient pas atteints par la maladie témoigne d’un autre type de causalité … 

(Note : Les rois absolus et leurs conseils scientifiques écartaient déjà, à la suite de Paracelse, d’autres penseurs de renom du magnétisme. Ils imposèrent en France, sous la férule jésuite, la chape des Collèges correspondants. Cf. notre trilogie : Introduction à l’Histoire des Pays de l’Europe. En passe d’édition.

Autres faits troublants : asymptomatisme et autres faits.

A quoi s’ajoutent le fait, déjà évoqué plus haut, et connu dans bien des maladies, que de nombreuses personnes dites « contaminées », c’est-à-dire en fait « positives à l’agent correspondant », soient elles-mêmes asymptomatiques (sans aucun symptôme clinique) et ne soient pas « malades » au sens concret, clinique, du terme, ce qui est également et dans le même ordre d’idées, significatif. (On le voit souvent pour le Sida ou la tuberculose, et d’autres maladies. La présence microbienne ou micro organique en général de l’agent dit pathogène n’implique pas, cliniquement parlant, la maladie ! Et l’on ne résout pas le problème en affirmant de ces classes d’individus ou bien totalement épargnés par l’agent pathogène ou bien asymptomatiques, qu’ils sont immunisés parce qu’ils ont un meilleur système immunitaire, ou parce que le dit virus ne peut pas « s’accrocher » et contaminer le sujet en question, ce qui voile un défaut évident d’explication !

Cas de guérison sans production d’anticorps ! Un autre facteur entre en jeu, l’état de l’enveloppe ou barrière magnétique

Et même en cas de maladie avec présence « positive » de l’agent pathogène on a aperçu en Chine un pourcentage conséquent de malades hospitalisés et guéris (un peu moins d’un tiers disions-nous environ sur 175, selon une analyse chinoise citée par France Info, article en ligne, « Positif au Covid, et donc immunisé » ? de Ilan Caro) sans la présence des éléments défensifs invoqués par la théorie immunitaire, c’est-à-dire sans la présence d’anticorps séro-neutralisants chargés de neutraliser l’agent pathogène… (On essaye de dire alors- toujours sur le même modèle- que ce n’est pas l’agressivité du virus qui entre en jeu, mais plutôt la réaction immunitaire excessive du sujet à ce virus, qui serait plus forte chez certains, moins régulée, sinon que nous n’avons même pas de réaction immunitaire chez l’enfance  comme d’ailleurs auprès de cette proportion conséquente (un tiers) de malades hospitalisés mais ensuite guéris !)

Le fait que la présence du Covid 19 sur un sujet donné ne soit pas déterminante de la maladie réelle, cliniquement parlant (asymptomatisme), que d’importantes classes d’individus, (vivant même en milieux contaminés) dont la jeunesse, mais aussi pour une bonne part les femmes, (et certaines catégories d’hommes), soient exemptes de toutes traces de maladie, et que les guérisons de malades- même hospitalisés- puissent avoir lieu, selon des proportions conséquentes, en l’absence de traces de lutte opposant les leucocytes ou globules blancs- et leurs formations d’anticorps- aux antigènes étrangers, nous amène à remettre en cause, comme une simple vue de l’esprit,  qui est certes logique mais qui n’est pas véridique,  la théorie de l’immunité généralement adoptée, qui est l’idée d’une lutte entre un agent intérieur et extérieur. Le simple fait que la masse des populations de l’enfance et de la jeunesse, même adulte, (jusqu’à sensiblement 65 ans) soit indemne de tout Covid aurait dû nous le signifier (surtout lorsqu’elles sont pures de toute intervention étrangère perturbante). 

Conséquences

Tout cela implique donc qu’un tout autre facteur entre en jeu qui, au-delà de la présence de l’agent micro-organique pathogène, neutralise ou non son développement, c’est l’état harmonieux de l’enveloppe ou barrière magnétique initiale ou reconstituée, accordé par la nature à l’enfance selon son mode d’existence propre- vivant semi poétiquement dans la Vérité- et à la jeunesse, et qu’il appartient ensuite à l’homme adulte, mais consciemment cette fois, de conserver. L’hindouisme par exemple pense que dans un état harmonieux de conscience et de reconnaissance, l’homme se relie aux énergies vivantes immatérielles, appelées prânah, contenues dans les « 5 éléments », dans l’air inspiré par exemple.

L’état de cette barrière serait donc évidemment variable ensuite, par exemple selon les classes d’âge, et selon les équilibres mentaux du sujet donné régulant, par son rapport plus ou moins conscient aux énergies « vivantes » de la nature- le prânah- par lanutrition et la respiration profonde, conscientes et reconnaissantes, par la perception lumineuse… la force de ses équilibres magnétiques…  (C’est précisément ce que préconisait le Christ, celui de l’hérésie européenne et slave : prenez ce pain, ce blé, ces fruits, cette boisson…dans la conscience et la reconnaissance du divin (voir plus loin sur ces thèmes), dans la conscience des énergies divines en acte dans ce pain, cette boisson, ce que confirme l’apôtre Paul, à l’occasion d’un repas des disciples du Christ, cité plus loin (I Corinthiens 11/28). (Une autre idée de la science du vivant y est implicitement annoncée, reconnaissant le corps organique comme le corps d’une entité donnée, vivant d’une manière déterminée, dans le rapport aux énergies matérielles et immatérielles de l’univers…)

C) L’immunité repose sur l’état de l’enveloppe ou barrière magnétique : Conséquences

ÊTRE POSITIF ne serait pas ÊTRE MALADE, ENCORE MOINS CONTAMINE ET CONTAGIEUX (Nous dénoncerons le mensonge qui assimile la positivité à la contamination et la contagiosité) 

La vraie question en réalité n’est pas celle de la contamination au sens de la positivité (qui désigne la présence, dans les tissus visés, de l’élément pathogène) mais bien celle du bon état de cette barrière magnétique- ou de sa reconstitution (voir note suivante)- empêchant au niveau de ces tissus ainsi imprégnés le franchissement de l’enveloppe par cette « contamination » (cas des jeunes enfants) ou la mettant hors-jeu, (cas des asymptomatiques et des guérisons sans production d’anticorps) c’est-à-dire celle du bon état de cette enveloppe faisant barrière ou non aux agents extérieurs ou les inhibant :      

               L’existence des « porteurs sains » ou « asymptomatiques » signifie clairement que le microorganisme est là, dans les tissus nasaux pharyngés par exemple (test PCR) et les bronches, ou conjonctifs…(et l’on peut même apercevoir dans certains cas,  à l’analyse, des prélèvements de ce test PCR, des excrétions virales du coronavirus, on peut aussi témoigner, à l’analyse sérologique, de la présence d’anticorps correspondants à la nature de l’agent infectieux) mais l’agent infectieux, quoique présent, ne peut pénétrer ou dépasser efficacement la barrière magnétique, (d’où peut-être la différence entre les tests nasopharyngés et les tests salivaires qui ne valent que pour les symptomatiques, lorsque l’agent pathogène a franchi la barrière), il en est de cet agent comme de certaines plantes données, issues des terrains acides, fougères, hortensias qui ne peuvent prospérer en milieu plus basique, ou l’inverse… C’est la même chose pour les enfants qui au contact des personnes positives, « contaminées », n’en restaient pas moins indemnes… Et non content de ne pas être profondément contaminés, ils ont, quand ils sont (rarement) atteints, des formes bénignes de la maladie (voir note).

Note  C’est dire ici que lorsque pour une raison ou une autre,  l’enveloppe magnétique a été touchée, affaiblie, autorisant la pénétration microbienne ou virale, le fait même de la maladie peut amener particulièrement chez l’enfant une réaction du moi, le magnétisme se reconstitue, les antigènes n’ont plus leur place, ils sont inhibés, ils se dégradent et sont phagocytés, absorbés par les cellules nettoyeuses appropriées (leucocytes, lymphocytes, c’est  là  le véritable rôle de ces cellules) … (C’est un peu ce qui se passe dans une période typique d’évolution de la psyché infantile, avec la rougeole : celle-ci, bien vécue et accompagnée, ramène un équilibre supérieur à la phase préalable du sujet, cf. le livre du Docteur Zur Linden, sans doute réactualisé, éditions Triades devenues ed. Esprit ?). L’infection microbienne vaccinale atténuée- et en des moments non appropriés à l’histoire personnelle de l’enfant- prive l’enfant de la réaction naturelle à la maladie et de l’affermissement du moi qu’elle suscite. 

Il nous faut donc élargir le concept de science de la nature en une intégration des phénomènes plus spirituels et de sens (mais ce n’est pas notre problème ici).  

Conséquences générales 

Dépasser l’ambiguïté des concepts de positivité et de contamination pour éviter de graves confusions : le terme « positif », plus extérieur, désignant la seule présence dans certains tissus du virus (ou plus généralement de l’agent pathogène) n’est pas équivalent au terme « contaminé », plus profond, désignant par l’affaiblissement de la barrière magnétique, le caractère envahisseur de l’élément pathogène se développant au sein de l’organisme.

Ainsi, selon les remarques ci-dessus, nous voyons, 1e que ce n’est pas parce que les micro-organismes pathogènes (antigènes) sont éliminés que nous sommes guéris, c’est parce que nous sommes guéris, notre enveloppe magnétique reconstituée, (cas de la rougeole) qu’ils sont affaiblis sinon dégradés, dévitalisés dans un milieu hostile, ensuite phagocytés, éliminés (fonction véritable des  globules blancs). L’élimination par phagocytose n’est qu’une conséquence de la réaction du moi et de la reconstitution magnétique mettant l’agent pathogène hors circuit…

Notons encore que la véritable peau de l’individu, qui détermine une 2e limite entre le soi et le non soi, c’est cette enveloppe magnétique qui, disions-nous plus haut, « enveloppe tous les organes, toutes les cellules de l’être »et qu’aucun individu pathogène, dans les limites d’une vie juste, harmonieuse, ne peut franchir…

Nous voyons 2e que la positivité, n’est qu’un indice de présence d’un antigène, ici viral, au niveau de certains tissus organiques d’un sujet, (gérés par l’enveloppe magnétique) et de circulation virale externe, elle n’est pas indice de contamination au sens profond du terme (impliquant un état maladif), c’est-à-dire d’un abaissement de la barrière magnétique, abaissement qui seul favoriserait le développement de l’individu pathogène déclencheur de la maladie, elle n’est pas en 2 mots, une contamination au sens strict du terme.

(D’où semble-t-il, la différence d’utilisation entre les tests salivaires et les tests nasopharyngés : le « positif » est perceptible aux niveaux plus externes de l’enveloppe magnétique- tests naso pharyngés- le contaminé, cliniquement symptomatique, (grave, hospitalisé ou peu atteint et non hospitalisé)  est décelable jusque dans les sécrétions plus internes, par exemple salivaires, lorsque l’agent pathogène a franchi la barrière magnétique,  d’où les tests correspondants).

 Ainsi, le concept de positivité en matière de contamination est extrêmement ambigu, si la présence d’un agent pathogène dans les tissus organiques, ici un virus, (et l’on retrouve effectivement des excrétions virales, ou bien des anticorps spécifiques) ne signifie pas qu’il ait pu pénétrer indemne la puissante barrière magnétique élevée par le sujet sain. Quand on le retrouve dans la plupart des cas, c’est comme paralysé, dévitalisé… Il n’y a même pas cette notion de combat, typique de nos conceptions bellicistes : la Nature s’explicite dans les termes de la paix et de l’amour, qui assure à chacun son existence et renvoie l’élément dit pathogène, seulement chargé de rendre les organismes décadents à la poussière, à sa juste place… Nous voyons aujourd’hui à la nième relecture, ce 18/09/2020 avant publication, des personnalités positives, notre 1e ministre, n’être ni fatiguées, ni malades, et passer incidemment leur isolement à la semaine, pour se retrouver négatif à son terme. Ceci n’enlève pas le fait que certaines personnes seront gravement touchées. C’est le cas de la contamination proprement dite, au sens strict, mortifère, (il y a dans l’étymologie du mot contamination la notion d’impureté et de souillure amenant une altération de l’être considéré), c’est celle nous l’avons vu qui résulte d’un affaiblissement de l’équilibre des sujets, qui dans un mode de vie moderne, ont perdu leur lien aux forces vitales en acte dans la nature, (c’est-à-dire aussi leur part de vérité, de vraie sagesse et d’amour qui conditionne ces liens) et qui, abaissant leur barrière magnétique, autorisent dès lors le développement pathogène…

Ainsi, la présence de l’agent pathogène, la positivité, qui peut concerner un ensemble relativement important d’individus, à partir de regroupements festifs ou autres de la vie, et selon la vitesse de circulation du virus, mais sans incidence pathologique n’est donc pas la contamination au sens strict  ni même un indice de contamination, de pénétration des individus pathogènes…

Images 

La positivité à un agent pathogène nous dit seulement que le fossoyeur est passé devant la porte mais qu’il n’a pas trouvé de mort à enterrer et il est reparti ! Ou que la tempête et le vent ont déposé sur nous la poussière, mais cela reste superficiel, qu’il nous appartient de nous laver et nous purifier.   Elle serait un indice de présence et de circulation extérieure du virus, qui est comme telle une condition certes nécessaire à la manifestation de la maladie, mais cette condition n’est pas suffisante… C’est l’abaissement des barrières magnétiques- c’est-à-dire de l’équilibre mental du sujet- qui permettrait seulement leur pénétration et leur développement. Pour garder l’aspect plus grave prêté au mot contamination, (cette idée de souillure), nous dirons que positif, plus externe, n’est pas contaminé (au sens pathogène) plus interne. Et que nous sommes donc ou nous pouvons tous être positifs à la présence du virus, mais peu seront contaminés : la positivité n’étant au fond qu’un indice de la circulation naturelle du virus (d’ailleurs présente ou passée)… n’est pas un indice de maladie ni du risque de maladie qui dépend surtout de l’état de l’enveloppe magnétique des sujets. Le bon état de l’enveloppe magnétique est un indice du rapport de chacun à ses équilibres personnels, à la vérité qui caractérise sa pure jeunesse ou son rapport à l’enfance, à la sagesse et à l’amour …

Ainsi, on peut être positif et n’être pas (cliniquement) malade et encore moins être contagieux si les agents pathogènes reçus par le sujet y sont neutralisés comme il en est dans la plupart des cas… Dire que les foyers de positivité sont des foyers de maladie est donc une affirmation abusive, sinon mensongère.

Retenons cela comme chose essentielle aujourd’hui :

ÊTRE POSITIF N’EST PAS ÊTRE MALADE ET ENCORE MOINS CONTAMINE ET CONTAGIEUX QUAND LES AGENTS PATHOGENES RECUS PAR LES INDIVIDUS Y SONT NEUTRALISES PAR L’ENVELOPPE MAGNETIQUE, particulièrement dans la jeunesse, COMME Il en est DANS LA PLUPART DES CAS ;

Dire à la jeunesse qu’elle menace la sécurité des personnes âgées est un grave moyen de pression sur cette jeunesse, tout à fait mensonger.

(Il est d’ailleurs notoire que la flambée des clusters et déclaration publiques de « contaminations » en fait de tests de positivité de fin juin/courant juillet 2020/début Août, (et de même courant Août ajoutons-nous à relecture, le 22) ne s’achèvent pas dans les 5 à 10 jours principalement sur de nombreuses déclarations de cas graves ni mortalité en série comme au temps de la crise… La multiplication des tests rend compte de la positivité des foules réunies remarquent certaines sommités  mais ce n’est pas là et cela n’a jamais été véritablement contamination ajoutent-ils : il y a très peu de malades. (La « science publique »  s’en sort alors aujourd’hui par une pirouette, en invoquant une mutation du virus. Même argument d’ailleurs lorsque les mortalités de la grippe, dans les saisons précédentes, par exemple dans les Ehpad pourtant vaccinés, montèrent en flèche… On parle donc aujourd’hui, pour justifier ces incohérences, cette contagiosité qui ne débouche pas sur la maladie, des mutations imprévisibles du virus ! Mais pourquoi alors avoir annoncé aux populations du printemps 2020,  des prédictions apocalyptiques si absolues !   La science et le goût du sensationnel ne vont guère ensemble ! (De tels comportements semblent donner raison aux affirmations de Corruption de certains, y compris au sein  de Conseil Scientifique ! )

Et les familles à la rencontre de leurs jeunes ne semblent guère plus touchées… Ainsi, dire à la jeunesse qu’on la laissera ou non se contaminer à condition qu’elle ne voie ni parents ni anciens (le 03 puis 06 Août 2020) est un mensonge car la positivité n’est pas la contamination ni la contagiosité, dès lors que la jeunesse neutralise, précisément par sa jeunesse, l’agent pathogène. Ce mensonge constitue seulement, et au nom de la science, un moyen de pression sur cette jeunesse, étranger à toute scientificité.)

Que le mensonge apparaisse à de tels niveaux officiels- de la science « d’Etat » et du politique- en contradiction permanente avec la réalité, et laissant présager d’altérations permanentes des chiffres ou d’utilisations intéressées de ces chiffres est une caractéristique de la période que nous traversons actuellement et des mutations profondes qui s’annoncent. La vraie Science est nécessairement au-delà de ce monde du mensonge et même de l’Etat !…

D)    LE PLUS GRAND RISQUE et l’UNIQUE VOIE DE LA LIBERTE SANITAIRE : LE VRAI TRAVAIL 

Quoiqu’il en soit, LE PLUS GRAND RISQUE serait précisément, face au Covid 19,  et à tous les Covid à venir,  plutôt que d’initier aux chemins de la vie visant à régénérer la vie humaine et ses équilibres magnétiques, l’usage universel mais illusoire d’un vaccin complexe qui, certes au nom de quelques cas possibles mais limités de contamination réelle, symptomatique, altèrerait en leur inoculant un état maladif certes atténué et même conditionné par des excipients notoires– quand il ne toucherait pas à l’Adn, au risque d’atteindre la sensibilité de l’individu à la pensée ou à l’amour pour le gain d’une résistance de nature plus animale- altèrerait donc par l’inoculation d’un état maladif quelconque l’équilibre magnétique et mental des individus considérés et compromettrait par là la résistance générale de l’humanité à toute  maladie, y compris face à un retour ou une mutation aggravante du Covid… On constaterait après coup ces risques quitte, pour chaque individu, à en payer le prix, ou au mieux son inutilité, on parlerait de mutation ou autre donnée imprévisible…  Bien des médecins et autres penseurs,  qui n’ont cependant pas accès aux publications de la science « d’Etat » ni aux grands médias contemporains, estiment que cette science ne peut sans risque jouer à l’apprenti sorcier sur le dos de l’humanité…

(Au moins un tiers des populations européennes, naturellement liées à la pensée nouvelle  iraient dans ce sens là- si elles n’étaient extérieurement conditionnées- si l’on considère le registre des oppositions historiques ante Révolution, mais qui n’ont aucune part aux pouvoirs médiatiques).

Le risque de Pogroms dressés par les médias/Le grave risque d’une partie de la population dressée contre l’autre, comme dans les grands Pogroms de l’humanité  et le  Vrai travail à effectuer pour traverser les temps actuels :

Ainsi, toutes les dramatisations publiques reposent sur cette confusion dénoncée ici et ailleurs entre positivité et maladie ou contamination, toutes les décisions des Etats- l’isolement des positifs, le port des masques obligé en lieux clos ou extérieur, avec de sévères amendes, le confinement ou à défaut la vaccination envisagée et obligatoire, sans compter l’application Stop Covid (renvoyant à une déclaration des positifs conçus comme malades sur les plates formes habilitées),  obligation des masques extérieur et confinement- tombent donc à plat et à côté des problèmes posés…

Elles tendent plus gravement, et manifestement inconsciemment,  par un rabâchage permanent médiatique de la « grand messe » de l’idéologie théocrate, ici médicaliste et vaccinaliste,  non seulement à dresser une masse de populations crédules contre l’ensemble de ceux qui ont une option plus pensée, plus critique et « naturiste » à la fois, (attachée à la compréhension de la nature et de ses lois), amenant à des violences incontrôlables, comme il en fut historiquement de tous les grands pogroms oubliés de l’humanité, en Italie, Guelfes contre Gibelins qui firent au total plus de morts qu’on ne le croit (cf nos analyses, Histoire de l’Italie), en Flandre Klauwaerts contre Leliaerts,  ou en France, paroisses des milieux théocrates contre penseurs de la liberté de conscience, ceux de la Renaissance, aboutissant à d’innombrables Saint Barthélémy et autres, massacres de Wassy en 1562, et conséquences parisiennes, puis Saints Barthélémy successives, en 1572, préparées dans les sermons enflammés des églises, et les états passionnels de certains capucins et dominicains particulièrement. (cf nos analyses dans notre Trilogie. Vol I ; Lyon et la Renaissance. (Le problème aujourd’hui, alors que l’on assiste à cette grand messe des médias  verrouillées, ne sera pas alors d’entrer dans les mêmes cycles de violence qui serait un véritable piège.) (Et elles tendent également à opposer les milieux communautaires et réfractaires à la pensée publique, à celle-ci, jusqu’à de véritables lapidations, ce que l’on a déjà vu.)

LE VRAI TRAVAIL : Plus gravement encore si l’on peut dire, toutes ces dramatisations publiques tendent à masquer le vrai travail à effectuer auprès des individus en face des risques croissants de Coronavirus et autres : car il devrait  s’agir avant tout d’aider les populations à retrouver ce lien « vital » à la vie, ou à le renforcer, plutôt que de les amener à craindre, souvent jusqu’à l’angoisse,  les manifestations naturelles de la vie, jusqu’à se soumettre à des manipulations pseudo scientifiques et à leurs conflits d’intérêts  … !  C’est ce lien dont les individus ont été détournés par le fait trop souvent occulté de l’école publique et d’Etat et sa vision théocrate, sinon néo théocrate, imposée du dehors à la conscience de nos peuples. (Les rois absolus écartèrent les penseurs du magnétisme. Descartes par exemple, dans le premier des Collèges jésuites disions-nous qui s’imposeront dans toute la France, au travers des absolutismes, ne pouvait pas concevoir que le mental et la psyché interfère dans la construction organique… ! La Révolution (trahie) et la 3e République consacreront cette rupture…)

 Il s’agira alors pour nous de se déconnecter de ces dramatisations trop souvent formulées par les médias et de repenser en toute liberté notre rapport à la nature et à la vie, de refonder une école, une vraie science, et une société de l’amour où l’homme soit en mesure de se lier aux énergies vivantes en acte dans l’entourage humain comme dans la Nature… (cf. l’Epilogue, vol II. Trilogie)

Il ne s’agira pas ici bien sûr d’entamer une guerre sans merci contre les défenseurs de la vision théocrate, médicaliste et vaccinaliste mais de rappeler doucement et fermement contre le mensonge, la vérité : il s’agira alors seulement de vivre en vérité et en amour. La vraie vie, notre rapport aux puissantes énergies de la nature repose et reposera sur la douceur de l’amour, sur la sagesse et sur la Vérité qui seule nous rendra libre : comme il en est en réalité, et c’est un paradoxe, car c’est l’enfant, c’est l’agneau qui est le plus fort, plus que le dinosaure, lequel ne sut combattre ses propres virus et disparut…

II  Le Réchauffement Solaire ou la Conversion Obligée des Sociétés : « Tous les édifices sans bases solides (seront) en question ».

Préalable

La majorité des savants, américains par exemple,  affirme qu’il y a eu une mutation naturelle des virus respiratoires (habituels en Chine), un virus à base d’Arn 1, de taille moyenne, ayant formé comme des insertions de petits bouts d’Arn (possiblement ou non venus d’un autre virus), dans une espèce de glissement ou de mutation produite par la Nature… et donnant donc le Covid 19.   D’autres affirment  que c’est probablement une manipulation humaine qui a provoqué de telles insertions comme le dit le Professeur Montagné, tandis qu’un « Cover Up général », le mensonge de scientifiques achetés par les grandes firmes dit-il prétend qu’ils sont produits par la Nature…

De même d’ailleurs pour le réchauffement climatique que certains attribuent à la Nature et à un rayonnement solaire d’intensité croissante depuis 1920, un siècle donc,  et en forte augmentation depuis l’an 2000 environ, tandis que la part de la pollution humaine serait minime, d’autres l’attribuent à la responsabilité de l’homme, par exemple par la pollution générant le fameux trou de l’ozone, que les premiers réduisent à une « icône écologique »… Quelle que soit la vérité de l’une ou de l’autre des hypothèses, il demeure toujours possible que des intérêts économiques ou autres ou même que des peurs- peur de ce qui nous dépasse, nous transcende, sans compter la difficulté à le concevoir aujourd’hui- conduisent une part de nos considérations comme une part des réactions tenues face à ces évènements, manifestement importants sinon gravissimes… Mais c’est cette gravité  qui constitue ici l’intérêt général porté à la question malgré de tels désaccords…

Nous penserions nous-mêmes, au vu des considérations ci-dessous,  qu’il y a bien un accroissement du rayonnement solaire– ce qui n’enlève en rien la responsabilité de l’homme dans  les dégâts faits par l’homme,  telle la pollution des villes, ou la déforestation, etc.- et que c’est bien au plan naturel que se sont produites ces mutations de l’Arn 1 du Coronavirus, certes inhabituelles. Et l’étonnement ici de certaines gens, scientifiques de renom et honnêtes est tel qu’ils en viennent à penser que ce sont des mensonges de personnes scientifiques vénales, achetées par les grands trusts, qui prétendent le contraire. En réalité,  il n’en serait rien, ce serait bien naturellement que se sont produites de telles mutations, selon ce 3e point de vue, cosmologique, certes étonnant aujourd’hui,  évoqué ci-dessous, et cela aurait amené des problèmes réels de santé parmi les populations. Cela n’empêche pas que certaines personnes avides, au sein des milieux scientifiques, puissent exploiter par le mensonge cette nouvelle réalité pour en tirer bénéfice auprès de certains grands trusts, au lieu d’éduquer en vérité les populations concernées…

A  L’Approche Cosmologique du Réchauffement Solaire

a).   L’Apocalypse de Jean l’évangéliste, éclairée et soulignée par le penseur bulgare, Peter Deunov 

 Un 3e point de vue, impensable jusque là, apparaît,  le point de vue Cosmologique selon l’Apocalypse de Jean, l’évangéliste, qui risque de nous choquer aujourd’hui si nous n’acceptons pas d’entrer un moment dans des approches relevant à la fois de l’imaginaire et de la réalité profonde. Il s’agit d’ un point de vue cosmologique, tel qu’il a été élaboré dans l’Apocalypse ou Révélation (des temps futurs), de Jean, éclairée et soulignée en 1920 par le maître bulgare Peter Deunov (1864/1944) dans une Conférence sur la Nouvelle Humanité. Il serait bon de voir ce qui serait, paradoxalement avec l’aide de notre imagination, mais aussi selon notre rationalité et selon notre degré actuel de conscience et même de connaissance, pensable :  

Ainsi, notre penseur bulgare rappelait, d’une façon étonnante et presque choquante à nos consciences occidentales, ce passage de la Genèse, dans le jardin d’Eden, où Dieu s’adresse à Adam et Eve,  nous prévenant des lois de l’existence :

                                                           « Vous mangerez de tous les fruits, excepté un seul auquel il ne faut pas toucher, car le jour où vous goûterez de ce fruit, vous mourrez ! » Bible, Gen 2/16-17.

Le fruit interdit nous dit Deunov est l’égoïsme… Et le temps viendrait, aujourd’hui où nous ne pourrions plus surseoir, dans le mensonge, à l’amour ni remettre une telle conversion. Il disait en ce sens, dans cette conférence du 19 Août 1920, dans l’après-guerre, que les prédictions du Nouveau Testament et de l’Apocalypse de Jean allaient se confirmer :

Selon ce texte prémonitoire de Jean, une vague céleste d’entité élevées, descendant du ciel ou du soleil plus précisément, selon la science occulte, (comme les âmes humaines qui descendraient des des planètes et des étoiles), 144000 dit le texte, (Apo 12), nombre qui symbolise par le 9- la somme de ces chiffres- la perfection divine… Ces élus qui sont déjà parmi nous dit-il et auxquels il nous invite à nous joindre,  sont les édificateurs de cette Nouvelle Idée, la Nouvelle Humanité fraternelle et libre. (Dans l’Apocalypse de Jean, c’est cette Nouvelle Jérusalem se tenant dans l’Amour, hors de toutes religions et des Etats… Apo, 21-22.) Ainsi,  cette Nouvelle Vague  arrive du Soleil « comme le mugissement des grandes eaux ou le grondement d’un orage violent » Apo 14, ce qui nous obligera  dit-il à « changer notre cœur de pierre » :

                               « Aucune grande catastrophe ne nous attend… »  ajoute Deunov dans cette conférence, parmi les milliers qu’il a pu donner,   « mais Il est vrai qu’un grand choc surviendra, (qui) touchera tous les édifices sans base solide, tous les arbres desséchés… Une grande Idée vient, une loi, un souffle qui nettoiera tout ce qui est gâté… » Et il donne alors sens à toutes les épreuves qui s’accumulent pour nous aujourd’hui : tremblements de terre, tsunamis, inondations, épidémies…et implicitement notre Réchauffement solaire qui va croissant, pure expression de cette haute activité spirituelle du soleil se tournant vers la Terre :

                              « Lorsque les souffrances croisent votre chemin, n’en cherchez pas la raison. Je dis : le Soleil– ce centre d’une haute spiritualité ajoutons-nous, image ou rejeton de l’éternel soleil divin selon Platon- est la cause de tous les malheurs et de toutes les joies sur la terre. Il fait naître toutes les inondations, toutes les épidémies. Il provoque les tremblements de terre, il est à l’origine de tout ce qui se passe dans la Nature entière… Mais le Soleil dit : « En faisant preuve de Sagesse, vous pouvez utiliser raisonnablement mon énergie– d’abord spirituelle- et alors je répandrais sur vous toutes les bénédictions ; mais si vous ne faites pas preuve de sagesse, je vous infligerais les plus grandes souffrances… », p 83, du livret de conférences, Beauté de la Vie. Conférence sur la Nouvelle Humanité, 1920. (Car « les souffrances sont nécessaires au développement de l’homme ») …

                                Ainsi, « tous ne mourront pas mais tous devront se transformer » comme affirmait et prédisait l’apôtre Paul. Nous pouvions librement nous adonner à l’amour, le vrai amour, mais nous ne l’avons pas fait. Nous nous enfermons, sous les coups de boutoirs des répressions théocrates, dans nos égos, qui ont engendré ces guerres mondiales, ces inégalités croissantes, ces graves crises socio économiques et politiques…

Et viendrait alors cette vague annoncée, cette décision du Cosmos tout entier, pour nous obliger à ne plus surseoir à l’amour (à ne pas remettre à plus tard) et à la fraternité des êtres… Nous résisterons un moment, mais ces effets pourraient durer ou s’accroître : et si ces  effets s’accroissent, les inondations- pensons tout près d’ici aux terribles épisodes cévenols qui s’accentuent- les tempêtes et les tremblements de terre,  la densité des épidémies et du rayonnement- et les incendies à des échelles planétaires- dans les années à venir nous y obligeront. Le Réchauffement solaire est engagé depuis déjà un siècle et va en s’accroissant depuis l’an 2000 environ. Notre conversion à l’Amour devient nécessité.

Voilà les grandes lignes de l’affirmation de Deunov sur ce thème…en 1920, qui nous semble totalement impensable aujourd’hui… tout comme est impensable aujourd’hui l’idée de Dieu, ou du Christ que le deunovisme réintroduit sans cesse, ou l’idée de l’Amour au nom duquel tant de crimes ont pu être commis disons-nous ou même celle de fraternité et liberté au nom de laquelle la Révolution trahie a commis tant de morts et réintroduit un monde de soumissions : tout cela nous semble devenu dérisoire aujourd’hui !

C’est pour nous aujourd’hui chose impensable, mais il convient précisément de voir pourquoi ce que de profondes cultures ancestrales ont porté, ce que le christianisme des origines a affirmé, relayé dans toute l’Europe médiévale par l’hérésie bogomile cathare, pourquoi tout ceci n’est même plus pensable aujourd’hui ! Et de voir ce qui l’est vraiment, rationnellement, et de façon utile et même vitale !

 b). Les raisons historiques de notre défiance envers toute pensée cosmologique

Ce sont paradoxalement les enseignements théocrates, (qui veulent imposer une religion, une conception du monde), trop souvent au travers des mouvements religieux historiquement répressifs, franciscains/dominicains puis jésuites ou néo jésuites- qui ont fondé les absolutismes-  enseignements qui prônent le matérialisme de la nature,  prolongés par la Révolution (trahie) dans les églises et dans l’école obligatoiredès la 3e République jusqu’à nos jours, ce sont eux qui ont amené- avec nos guerres mondiales-  la perte de la foi ancestrale et libératrice de nos peuples, celle d’une haute conscience du divin en acte dans cette Nature. Et les églises, comme l’école matérialiste sectaire, ont su nous détourner,  jusqu’au dégoût, de la pensée, même réfléchie, de ce divin et de l’Idée même de Dieu (comme de celle de Christ)… D’où cette profonde chute de notre humanité aujourd’hui, par exemple cette impossibilité à penser le rôle de l’esprit dans les phénomènes organiques et matériels et cette attitude égocentrique de l’homme, qui l’amène à disposer brutalement de tout !

Mais, après des siècles d’enfermement dans l’égo, les manifestations contemporaine de la réalité, le réchauffement solaire, les tempêtes y compris sociales et les épidémies nous rappellent que le monde physique s’inscrit dans la profondeur de la réalité cosmique comme le savaient nos peuples médiévaux d’avant les répressions puis les penseurs de la Renaissance… (les Rabelais, Maurice Scève, Vinci, Kepler…)

c) Accéder par l’imaginaire et notre imagination, cette « reine du vrai », à une autre vision du monde, la vision cosmologique de ce monde, librement imaginée…

Consentons un moment à quelques images et à l’imaginaire, et d’autant qu’il serait presque naïf et infantile de croire que, dans la profondeur de l’Univers infini et si sage, l’homme terrestre ne soit que l’unique rejeton d’une infinie évolution, commencée il y a des milliards de milliards d’années-  bien avant le Big-Bang, qui n’est pas lui-même venu de rien et nous renvoie évidemment à de longs temps antérieurs- là même où, selon les légendes des plus anciens initiés,  des entités supérieurement élevées, selon ces milliards de milliards d’années- on les appelle les Dieux, ou bien les anges, archanges… séraphins, etc.- ont su peu à peu s’ouvrir aux rayonnements des énergies divines, former leur corps de hautes énergies, invisibles certes à nos yeux animaux actuels et porter, dans l’infini amour de Dieu,  le monde et le vaste univers, notre petit microcosme dans l’infini macrocosme … (Et même si nous ne le percevons pas avec nos yeux animaux si grossiers, tout un monde subtil nous dépasse et nous entoure et construit sans cesse l’infini univers en son étonnante beauté…)

Et c’est le rayonnement, la pensée divine de ces entités élevées qui, pour une part, constituerait le rayonnement solaire des soleils de l’univers, en liens directs avec les énergies divines de l’Esprit, avec « l’éternel soleil de l’amour divin ». (Platon lui-même disait que le Soleil est un rejeton, une manifestation du Bien.) Et s’il y a de la matière dans le Soleil- de même qu’il y a de la matière dans la constitution de nos corps- cela ne prouve pas qu’il ne soit que matière comme le remarquait Aristote.(Pas plus que l’humanité de l’homme ne se réduit à sa seule corporéité…) La matière solaire est un support ou un substrat du corps d’énergie subtile des entités supérieures elles-mêmes qui nous adombrent sans cesse, bénissent les vivants et la déesse Terre, en lien avec l’Amour divin,  et dont les pensées, en un rayonnement divin,  nous illuminent.  (Voir ci-dessous sur la notion de divin ou sur l’idée de Dieu.) De même d’ailleurs, les hommes au grand rayonnement émettent une aura lumineuse… (On a pu dire que l’amour prêté aux Dieux est une image de l’amour humain, mais c’est une grave erreur, c’est l’amour des mondes supérieurs qui, nous bénissant sans cesse, nous permet d’exister ainsi que tous les vivants, tandis que notre amour n’en est qu’une faible image !) Des légendes d’Afrique ou bien des anciens initiés Incas nous parlent de ces mondes supérieurs, ou bien la mythologie grecque, mais souvent déformées, réduites à des images humaines, (anthropomorphisées en quelque sorte), les vieux textes de nos religions occidentales parlent d’anges, d’archanges, principautés, forces, puissances,… trônes, chérubins, séraphins, soit de 10 hiérarchies, et bien au dessus d’eux encore d’entités très anciennes régissant les mondes et nos propres appréhensions de ce monde, (telle la conscience du temps ou de l’espace)…

Monde divin et histoire de l’humanité

C’est ce monde du divin, plus près de nous que nous le penserions, au sein même de la Nature dont il est l’essence même, qui inspirerait également et orienterait les grandes évolutions de l’humanité, au travers de ces grandes cultures et de leurs envoyés, voyons les écrits de la Baghavagîta en Inde,  le lointain souvenir d’Hermés en Egypte ancienne, il y a peut-être 10000 ans Av/Jc, de Zoroastre dans la vieille Perse, 4000 Av/Jc, ou d’Orphée fondateur de la Grèce antique 2000 ans avant J-C, et sans doute le Christ, au principe de nos cultures et nos évolutions actuelles (Christ qui n’est sans doute pas le Christ des églises trop humaines…), etc…

L’idée du Christ : Il est d’ailleurs question dans les Contes et dans les légendes, comme dans les écrits Bibliques- recueils d’anciennes traditions- d’une humanité aux grands pouvoirs divins, c’est l’Homme divin de la 10e hiérarchie, avant la chute dans l’égoïsme d’une partie de celle-ci, les 2/3 peut-être de cette humanité primitivement divine, il est question de cette chute de l’humanité perdant ainsi tous ses pouvoirs divins, ses palais, ses organes supérieurs, ses connaissances profondes : des Contes médiévaux nous le disent fort bien, (cf notre ouvrage « le christianisme bogomile cathare au fondement de nos cultures (européennes) à la lumière des contes médiévaux, européens et slaves »)  tandis que l’un de nos grands  frères, divins, d’une haute culture ancestrale, qui n’avait pas connu cette chute, ce Jésus Christ, s’unissant à l’amour et à toute la puissance divine, vint sur la terre pour « inventer » au travers de ses épreuves, et pour nous enseigner, le chemin de notre élévation…)

Que tout un monde élevé se tienne au dessus de nous, se penche sans cesse sur nous comme ce ciel étoilé de Van Gogh penché sur cette humanité et faisant écho aux petites lumières dans les chaumières- un cyprès élancé tient lieu du lien mystique, véritable clocher d’une église cosmique que la nature établit entre l’homme et la grandeur des mondes-  et nous invite à nous éveiller à ces grands mouvements célestes, et à tout l’Amour qui emplit tout ces mondes, c’est  pensable… C’est pensable et c’est même expérimentable à celui qui s’efforce de faire un chemin vers ces mondes de l’Amour…

d De l’Imagination à la Réalité : l’Idée de Dieu, du Christ, de l’Amour… et de la mort à vaincre !

Mais si tout ceci serait de l’ordre du possible, ou du pensable à des esprits libres, voyons en quoi l’idée de Dieu, l’idée d’un Christ, et l’idée même d’un pur Amour s’inscrit selon le deunovisme dans l’ordre de la réalité, sinon de la nécessité…

L’idée de Dieu

Il ne s’agit pas de croire en un sens subjectif, ni de ces convictions humaines au nom desquelles on a commis tant de crimes et sacrifié l’Amour. Le Dieu dont nous parlons n’est pas seulement dans le profond univers qui nous construit et nous adombre de toute sa grâce, la grâce d’un ciel profond et bleu, ou le scintillement des étoiles qui parle à notre âme,  il n’est pas seulement dans les premiers rayons de l’aube puis l’éclat du soleil matinal qui témoigne d’un monde de lumière penché sur nous, rayons matinaux qu’il nous faut percevoir pour engendrer en nous avec la joie, des pensées idéales, de généreux sentiments, des actions nobles, ou dans la belle eau pure et dans l’air pur qui nous donnent leur pureté et leur force et dans les fruits sacrés, dans le blé, dans le pain emplis des rayons cosmiques de l’amour, qui nous délivrent leur bonté, pour peu qu’on les reçoive avec reconnaissance, il n’est pas seulement hors de nous, dans le mystère d’amour de cet univers, il est en nous dit Deunov :

                  1)       « Dieu n’est pas une forme quelconque extérieure à l’être. Dieu est la Source de la Vie (en nous, comme en tout être). Quelle est la plus grande bénédiction de la Vie ?  Toutes les impulsions, toutes les joies causées par le sentiment intérieur d’exister, de vivre. Vous vous levez le matin, régénéré, alerte, vous regardez le soleil se lever…Et vous vous réjouissez d’avoir quelque petite idée à réaliser pour le travail du nouveau jour qui commence »…

Dieu serait ainsi dans l’impulsion qui appelle la mère à se lever le matin de bonne heure, afin de préparer les habits des enfants, et leur déjeuner du matin, ou qui appelle le boulanger à faire du bon pain, le médecin à comprendre et résoudre l’énigme de l’un de ses patients… ou l’éducateur attaché à apaiser et trouver des chemins pour celui qu’il approche, Il est dans la conscience de l’enseignant qui œuvre à l’élévation de l’enfance et la jeunesse, avec application, ou dans la liberté du chercheur de vérité, dut-il entrer en contradiction avec le monde.  Il est au cœur de celui qui arrose une petite plante oubliée, avec amour….

Il est encore cette impulsion dans le tréfonds de notre être qui nous appelle à apprendre, à atteindre des buts, des connaissances, un métier, un rôle intelligent et utile dans la société, et à travailler avec cœur, à accomplir autant de petits biens et cela, c’est la Vie en nous dit encore Deunov. La Vie n’est pas une chose matérielle que nous pouvons observer extérieurement, nous la connaissons seulement comme cette impulsion à accomplir des buts, des tâches correspondantes, à nous donner du sens, et par exemple à relever nos proches, elle est notre Commencement, le Verbe divin en nous, « qui de tout être (est et) était la Vie »… (Prologue de Jean, Evangile.)

La Vie est « la lumière des hommes », qui nous est donnée, pour peu que nous la recevions, que nous la servions aussi et ne la troublions pas disions-nous,  par des conduites injustes sinon impures, c’est-à-dire étrangères à notre vouloir originel. Par quoi cette force qui faisait notre jeunesse s’étiolerait… Elle est présente en tout être jusqu’à la fin de sa vie, mais c’est lorsque nous la troublons par des violences, des injustices  que cette Vie divine se retire, s’éloigne, des addictions se forment qui sont autant d’obstacles à l’accueil de la Vie en nous, on perd notre jeunesse, notre idéal, la force même de toute existence : « on vieillit », dans le cœur et dans l’âme,  par-delà l’âge des tissus. Les Dieux disait Socrate quittent l’homme (lorsqu’il est) injuste !

La Vie se retire alors, et les Coronavirus et autres microorganismes prennent le dessus sur notre organisme défaillant, accomplissant justement, leur rôle de fossoyeur… !

2) Dieu est à la source de tous les êtres et de la vie en eux et ils reposent sans cesse en Lui, en Sa Conscience :

                                « Quand on parle de Dieu, on doit inclure dans Sa conscience tous les êtres du plus petit au plus grand. Dieu veille de la même manière sur tous les êtres. La Source de la Vie jaillit de Lui-même– en chacun– et Il prend soin de cette vie. Il n’existe aucun être aussi grand, aussi noble, aussi bon, aussi secourable que Dieu. La Vie de l’Univers entier est contenue en Dieu. » (L’homme juste et bon, quelles que soient ses épreuves, reçoit par exemple et de fait sans cesse des aides intérieures comme extérieures et atteint à ses buts…)

(Dieu est Amour. Il est à la Source de toute Vie, et cette vie s’effectue comme Amour, Sagesse et Vérité)

 (Et lorsque nous L’accueillons pleinement,  en cette vie,  il vient construire en nous une demeure, un corps de pures énergies, un corps de vie divine comme le corps des anges lumineux ou comme le corps renaissant, ce corps princier de lumière, dans le Conte de la Belle et la Bête, c’est l’initiation.  L’homme de la vie divine, connaît à la fois la vie physique et la vie divine ; Tout en étant dans ce corps physique, il a « appris à mourir »  comme l’enseigne le platonisme, au sens de se détacher dans sa vie même de ce corps physique en prenant appui sur ce nouveau corps d’énergies, mais il apprend cela tout en résidant dans ce monde physique et en y apportant la seule loi de l’univers céleste, la loi d’amour… (Il voit le monde qui nous entoure,  invisible à nos yeux animaux, comme les poètes et comme les anges, et comme eux il peut traverser dit Deunov des espaces infinis en quelques millièmes de secondes et visiter les systèmes solaires, les galaxies !)

La Vie et la Mort

Et nous serions sans cesse Vivants et rempli de joie, de lumière et d’amour si nous savions L’accueillir en nous, si ne nous en détournions pas nous-mêmes par notre manque de vigilance face à d’infinies tentations  auxquelles nous cédons,  qui obscurcissent en nous ces impulsions de l’amour, de la pensée et de la vérité :

                                             car, « quand un élément impur commence à s’infiltrer en (l’homme), immédiatement la mort progresse d’un pas dans son existence. Plus l’impureté augmente, plus la mort pénètre dans sa vie. La mort et l’impureté sont directement liés. » 

La mort n’existe pas.

Quand à la mort « ordinaire », elle n’existe pas : face à l’affirmation du Christ venu nous enseigner à vaincre la mort, la mort au sens définitif n’est qu’un mythe créé par les forces théocrates,  surtout à partir des XIIIe/XIVe siècles en Europe, nous l’avons montré, (Volume I de notre Trilogie, Lyon),  la mort et la peur de la mort, sur laquelle on s’appesantit encore aujourd’hui : La conscience, l’amour en nous, la pure pensée, ne sont pas d’essence matérielle et n’ont rien à voir avec la disparition du corps matériel. On a besoin de notre corps actuel pour accomplir nos tâches, mais la mort en soi n’est rien. Elle est le moment où nous laissons notre vêtement usé pour en prendre un autre, une quarantaine ou 50 années plus tard, une poignée de minutes « en temps divin » si l’on peut dire… Plus que de la mort du corps, craignons la mort de l’âme qui nous prive de toute élévation en Dieu et à la vie divine : c’est de cette mort dont le Christ disait : «  Laissez les morts enterrer leurs morts »…

Le Christ

Quant à ce Christ, nous l’avons évoqué plus haut : 

Jésus Christ serait un grand frère spirituel, qui n’a pas connu la chute, un être d’une très haute culture venu de  l’univers profond,  et qui s’est incarné dans un corps humain, avec toutes ses dérélictions, ses tentations mais qui,  résistant à celles-ci,  et s’unissant, par-delà ses terribles épreuves, à l’Amour, à la Sagesse, et à la Vérité divines, et à Dieu,  en reçut l’onction divine : il devint, Christ, c’est-à-dire, étymologiquement parlant, revêtu par l’Esprit Divin, par Dieu… Il devint Christ, sa parole est dès lors la Parole Divine, la Parole de Dieu,  sa manifestation la pure manifestation de Dieu… On ne pourrait aujourd’hui dit Deunov, le clouer sur la croix…Les clous eux-mêmes  fondraient sous sa nouvelle puissance…

Mais il disait lui-même : « Pourquoi m’appelles-tu « bon maître » ? » Il n’y a de bon que Dieu seul ! »  En deux mots, le Christ des églises théocrates est Fils de Dieu et Christ en soi,  tandis que celui de l’Evangile est Fils de Dieu  et Christ parce qu’il le devient : Il aurait sans doute pu comme Satan se laisser aller à la tentation et chuter. Mais il a résisté et il devint Christ, il a reçu l’onction divine, tous les anges, archanges, etc., toutes les entités les plus hautes,  se sont unies en lui,  parce qu’il s’est uni, par delà les épreuves,  à l’Amour, à la  Sagesse, et à la vérité divines… Face aux violences et aux trahisons qu’il dut subir, il a gardé l’Amour de Dieu, il a même pleuré et prié pour les criminels qui le sacrifiaient… « Père, pardonne-leur, ils ne savent pas ce qu’ils font » ! Il  est devenu dès lors la pure manifestation de Dieu, sa Parole est la parole de Dieu et son Amour est tout l’Amour de Dieu manifesté : par quoi il a formé son corps d’énergies spirituelles et de vie.  Et par Lui ainsi ressuscité, et par les êtres angéliques qui le soutiennent,  l’Amour, la Sagesse, la Vérité divines enveloppent le monde et nous inspirent pour peu qu’on les accueille…

Le Christ aujourd’hui

Peu importe en un sens si le Verbe- la Parole- est par lui venu au monde, et « si le monde ne l’a pas reçu » : il a éveillé et il éveille en nous constamment ce profond Verbe enfoui depuis la chute de notre humanité, c’est le divin en nous, au fondement de notre essence primitive. La question de l’amour n’est pas encore la visée de l’Ancien Testament ni de la conscience grecque, malgré les presciences socratiques… Elle vient avec le Christ qui désigne donc une mutation profonde, d’ordre cosmologique : par lui, l’Amour, le Divin, vient dans les consciences terrestres… Il nous appartient seulement de l’accueillir !

« Le Christ ressuscité travaille maintenant dans le monde, dit Deunov, mais personne ne le voit… Il remplit le cœur (et l’âme) des hommes de bons et nobles sentiments…Il ne renaîtra pas comme dans le passé : Il a pris corps dans le passé et il renaît maintenant dans le cœur et l’âme des hommes…. Ouvrez votre âme, il y naîtra ! Quand il naîtra dans ton âme, tu deviendras utile pour les autres et pour toi-même… C’est l’éveil de l’âme humaine, la résurrection. Et tous se donneront la main comme des frères… Le vieil ordre s’en va !

L’AMOUR. Nature de l’Amour : L’Amour n’est pas humain, il est chose divine

Dieu dit le Nouveau Testament est Amour, et l’Amour préside à toute réalité, y compris la structure et les tensions de l’atome, comme à toute existence… Il s’agit donc, selon les enseignements et la médiation du Christ d’aimer : 

                                                 « Dieu a tant aimé le monde qu’Il a envoyé son Fils unique afin que quiconque croit en lui- en ses enseignements, sa parole, et en sa puissance, lui qui enseigne et répand l’Amour dans les cœurs- soit sauvé et ne périsse pas, qu’il accède à la Vie… » Et ce que le Christ enseigne commence par l’Amour :

                                                  « Tu aimeras ton Dieu de tout ton cœur, de toute les forces de ton intellect, de toute ton Âme et de tout ton esprit, et ton prochain comme tu t’aimes toi-même, dans ta divinité… » Par quoi nous en recevons les rayons, et l’Amour ainsi mis en pratique devient Sagesse et Vérité… (Mais pour nous, ce rôle de l’amour ne nous dit grand-chose, car nous ne voyons pas qu’il n’est pas chose humaine.)

Mais l’amour n’est pas chose humaine : il est dit que Dieu seul est Amour, et lorsqu’il est dit que nous devons nous aimer, il ne s’agit pas d’aimer, humainement parlant, nous n’en avons pas les moyens, excepté à « aimer » ceux qui nous aiment ou nous flattent, (mais est-ce de l’amour), il s’agit seulement en observant les qualités divines d’un être, même notre ennemi, d’accueillir du dehors en quelque sorte, cet élan subtil qui naît en nous, intime et chaleureux, qui nous mène vers lui, et de trouver ainsi l’Amour, cet élan qui procède du Christ, qui me voue à devenir attentif, à donner et partager afin que l’être considéré s’épanouisse en amour et vérité. Et cet élan humble et bienveillant, attentif et généreux, ne procède pas des « Il faut », il faut de la bienveillance, « il faut partager nos richesses, nos savoirs, nos énergies », cet « il faut » qui a scellé tous les idéalismes et leurs échecs et toutes les embrassades dans les églises, parfois à contre-cœur, et toutes les répressions au nom de quelque morale du devoir- combien de temps durera-t-il ?- cet élan vers autrui résulte de l’Amour qui naît en nous et procède du Christ, c’est-à-dire de Dieu, par quoi il nous emplit de ce Divin, au moment même où il aime et il donne, cet Amour qu’il faut apprendre à cultiver en nous….Trouver l’Amour car c’est lui qui donne et partage, qui élève et travaille en vue du bien des autres, par pur amour et non pas parce qu’il le faut ! L’Amour de Dieu, de soi-même et de son prochain, l’Amour est une réalité subtile, spirituelle, divine, il est un rayon divin qui contient tout, la patience, l’ignorance du mal, le service, l’intérêt pour autrui, l’humilité et qui nous donne force et chaleur, la pure santé et la Vie… C’est pour cela que l’apôtre Paul a pu dire que tout ce que je donne, distribue, partage sans l’Amour ne me sert à rien, pas même de donner tout ce que je possède aux affamés ou de me faire brûler vif au nom de quelque idéal apparemment altruiste ! (Epître I, Corinthiens. (Cet Amour, altruiste, divin, est souvent traduit par le terme de Charité… mais dont le sens est appauvri chez nous,  par des siècles de charité trop humaine.) Ce partage sans l’amour cache sans doute et nécessairement quelque intérêt, et est donc de courte durée :

Nous n’avons pas par nous-mêmes, sans l’Amour, c’est-à-dire sans le Christ, les moyens de nos rêves, celui de liens humains et fraternels… Sans quoi il y a longtemps que tous les socialismes se seraient réalisés et que la paix serait venue au monde…  mais quand le Christ pénètrera dans nos âmes, c’est-à-dire l’amour, quand nous l’accueillerons en nous et que nos âmes s’éveilleront, tous se donneront la main comme des frères… 

Tout le reste n’est que répression, par quoi nous serions vite déçus…La constitution des Tiers Lieux ne se fera pas hors l’Amour…Et non pas en des tiers de la vie, mais dans un 100%, cent pour cent de la vie et de l’amour !)

Trouver l’Amour, au sens réaliste et divin de ce souffle intérieur, chaleureux,  qui anime les bien-aimés,  l’amitié ou l’amour de la mère envers sa progéniture et fait battre leur cœur, ici c’est à un degré supérieur, l’amour envers tous les êtres, envers les proches, les êtres rencontrés, mais plus subtil encore et puissant à la fois dit Deunov,  et qui renaît sans cesse dès lors que nous nous exerçons à en connaître les qualités divines et la divinité, et ce précieux amour s’effectue de lui-même envers tous les êtres, même ses ennemis,  comme partage, comme service et comme aide gratuite, mais non pas parce qu’il faut aimer, partager, rendre service, mais seulement par Amour… !

 Les conditions de l’Amour : Et cet amour d’essence plus qu’humaine qui naît de Dieu, et qui nous rend visite, plus particulièrement aujourd’hui avec cette venue intime du Christ dans les consciences, qu’il nous appartient non de créer mais d’implorer, de recevoir et de cultiver en toute intelligence…obéit à des conditions de pureté intérieure et de douceur : « Heureux ceux qui lavent leurs robes (leurs organes spirituels), ils pourront disposer de l’Arbre de Vie… » dit le final de l’Apocalypse. Cet amour est réalité, d’essence plus qu’humaine, un rayon divin, un souffle puissant et subtil à la fois qui conditionne l’apparition de la Nouvelle Humanité et qui, dans une reconnaissance sans borne, la fonde et lui donne la Vie… Ceux qui le refusent restent dans les limites de l’humain, dans une vie humaine et ses échecs… C’est par un tel Amour seulement, qui « aime sans attendre d’être aimé », qui ignore comme l’amour les défauts de ses proches– défauts qui ne sont que des parasites extérieurs à ces proches- et qui ne voit que leurs qualités divines, « qui oublie leur faute comme Dieu les oublie et (leur) souhaite (en son regard) tout le bien comme Dieu le leur souhaite », que les âmes s’éveilleront et que le vieil ordre s’en ira dit Deunov ! 

C’est dans l’idée de Dieu, dont un esprit rationnel et libre (libre des formes théocrates de l’enseignement dominant) peut accéder à la réalité que réside la nécessité de cette conversion des sociétés à l’Amour. L’histoire immédiate témoignera de cette vérité…

Aimer Dieu,  et le Divin en chaque autre

Et l’homme, en connaissant ainsi l’Amour qui l’emplit  de vie, de chaleur et de sens, connaît et aime Dieu, dont il est constamment né et re-né.… il s’aime alors lui-même, pure émanation divine et devient en mesure d’aimer ses proches et de là tous les êtres, et de connaître au travers de leurs luttes et leurs souffrances, leurs qualités divines, et leur divinité, et de les aimer… pour l’Amour de Dieu ! 

Conséquences

L’avertissement de l’Apocalypse de Jean aurait donc un sens : Il y aurait véritablement un Dieu Un, dont tous les êtres sont comme l’émanation vivante- et notre existence, chaque existence en témoigne- un Dieu Un qui nous aurait fait don de la vie afin que nous le servions, le manifestions dans la joie, mais dont nous nous serions plus ou moins coupés, il y aurait tout un monde d’entités élevées vivant en Lui, c’est-à-dire vivant dans l’Amour, la Sagesse et la Vérité par quoi ils soutiennent l’univers entier, formant le monde divin et nous appelant, au travers du Christ, en des périodes données, à renouer avec ce divin dont certaines forces nous ont ou nous auraient séparé… Nous vivrions précisément cette époque où l’humanité devra se convertir au divin et à l’Amour et amorcer de nouvelles phases d’évolution vers une conscience supérieure… Mais là, c’est à chacun d’en éprouver la véracité et d’en  décider.

Peter Deunov au travers de l’Apocalypse nous parle précisément de la descente du divin sur la Terre, auprès des consciences, effectuée en vue de cette élévation.

B) La Conversion Obligée  à la Nouvelle Humanité : on ne peut remettre à plus tard notre conversion  à l’amour et  à la fraternité de tous les êtres.

Les profondes mutations cosmologiques en cours nous obligeraient ainsi à de profondes mutations intérieures et sociales, dont une conversion à l’Amour sans mensonges : le réchauffement solaire amène particulièrement des formations virales agressives. Il nous appartiendrait, comme il appartient à l’enfance mais consciemment cette fois de nous lier à la Vérité ainsi qu’à la Sagesse et à l’Amour, à ces rayons évoqués du divin  et de recevoir, dans nos respirations, nos perceptions lumineuses (d’une aube et d’un soleil matinal), nos nutritions, par le seul fait de cette conversion intérieure à l’amour et à sa reconnaissance, tous les éléments élevés (positifs) des énergies solaires, de l’air aussi, de l’eau et de nos fruits vivants, de la nature entière, c’est le prânah vivant comme le pressentait l’Inde ancienne et comme l’annonce d’ailleurs le Christ des Evangiles. Il nous appartient par là, par ce lien conscient aux énergies vivantes en acte dans la Nature, d’en recevoir tout l’amour, de renforcer par là nos équilibres magnétiques et notre résistance à tous les Coronavirus tandis que nous manifesterons tout cet amour au monde et le libèrerons ! Car nous ne pourrons plus surseoir à l’Amour comme l’annonce la conférence du 19 Août 1920…

Ainsi, nous considèrerons plus sérieusement les affirmations de l’apôtre Paul selon lequel « tous ne mourront pas mais tous devront se transformer ». Si les effets du rayonnement solaire, cette vague mugissante d’entités élevées selon l’Apocalypse de Jean, qui descendrait du ciel, et du soleil exactement pour nous obliger à l’amour et à la fraternité des êtres, si ces effets n’avaient aucune incidence sur nos comportements alors,  devant notre passivité,  ils pourraient s’accroître : les inondations, les tempêtes et les tremblements de terre, et la densité, la charge des épidémies dans les années à venir nous y obligeraient. Le Réchauffement solaire est engagé depuis déjà un siècle et va en s’accroissant depuis l’an 2000 environ. Notre conversion à l’Amour devient semble-t-il nécessité et n’acceptera aucun faux semblant.

a). Les mesures extérieures ou politiques sont des aliénations de la vie réelle, et un véritable voile à la nécessité de l’inéluctable conversion intérieure des individus

Face au Réchauffement Solaire, face au Covid 19 et autres risques épidémiques, face à la nécessité d’une conversion intérieure qui élèvera d’elle-même nos barrières magnétiques et renversera notre société périmée, toutes les mesures extérieures et d’Etat obligatoires, d’isolement ou médicales, mesures à grand spectacle, qui impressionnent les populations et l’enfance, tests, confinement général ou restreint, déconfinement sous la baguette de l’Etat-orchestre, masques obligatoires sous peine d’amendes, contrôles policiers, vaccination généralisée, couvre-feux- menaces sur la convivialité- et confinement local, qui divise, le tout au nom de la peur de la maladie dramatisée, amplifiée, sur médiatisée, ces mesures 1) obèrent la vie réelle et 2) risquent de masquer la nécessité de notre conversion intérieure, seule garante d’un rétablissement de nos équilibres magnétiques (face aux risques épidémiques accrus), et souvent au profit de la mise en place d’un état policier…

1). Ces mesures obèrent la vie réelle : Port obligé du masque et Vaccination. Retour sur le danger évident des vaccinations.

Au nom de la santé des proches, la famille, les parents, grands parents, et l’ensemble des autres, c’est-à-dire d’un outil clé de culpabilisation,  ces mesures d’Etat obèrent d’un côté la vie réelle et touchent à l’équilibre magnétique de l’individu : non seulement elles affectent son rapport à la nature, la possibilité de respirer librement un air pur, par exemple par l’obligation du port du masque, par le confinement ou par l’isolement, mais elles risquent de corrompre, avec la vaccination, en lui inoculant un état maladif, « atténué et conditionné par des excipients notoires », l’équilibre magnétique des êtres que seul l’amour, la sagesse et la vérité peuvent rétablir. Au risque d’affaiblir cette barrière, face à tous les Covids à venir, et autres maladies… Nous avons vu plus haut comment la théorie de l’immunité enseignée dans les écoles est faussée. La vaccination en général, comme la vaccination Covid, surtout sur la jeunesse est un péril pour l’humanité, issu de la conception théocrate, particulièrement  jésuite, de la nature :

Rappelons ici que l’homme est un être conscient : lorsque le Christ disait « Prenez ce pain, ces fruits, cette boisson, dans la conscience et la reconnaissance du divin, des énergies vivantes qui y sont manifestées »,  il énonçait nous dit Deunov la loi de conscience et de reconnaissance garantissant seule le lien à ce divin,  aux énergies de la Vie divine qui s’expriment dans la Nature jusque dans la constitution de l’organisme. Notre force, notre santé, notre liberté, réside ou résiderait en cela, ce que les églises théocrate ont nié en imposant nos modes de pensée actuels. Et l’apôtre Paul le confirmait, lors de repas ordinaires des chrétiens : « Celui qui mange et boit, mange et boit sa propre condamnation s’il n’y discerne le Corps (le corps divin, du Christ, l’aspect divin de l’aliment, chargé des énergies divines). C’est pour cela qu’il y a parmi vous beaucoup de malades et d’infirmes…et que certains mêmes sont morts… » (au moins dans l’âme).  (Epître I Corinthiens, 11/28).

Vaccination

C’est ainsi, dans la respiration d’un air pur, la nutrition, (et la boisson), la perception lumineuse des rayons solaires matinaux, que l’homme, percevant ces énergies vivantes contenues dans la nature, ou prânah, à des conditions de conscience et de reconnaissance, restaure ses équilibres énergétiques, et son enveloppe magnétique. Ces mesures extérieures au contraire,  masques, distanciation,  confinement, isolement,  s’avèrent non seulement inutiles et néfastes si elles privent l’humain de son rapport vital aux forces de la nature, d’une bonne respiration, une promenade matinale aux rayonnements de l’aube, elles risquent au contraire, par la vaccination en général comme la vaccination Covid, en lui inoculant un état maladif, « certes atténué et conditionné par des excipients notoires »,  de rompre avec cet état d’équilibre qui liait le sujet conscient et reconnaissant aux énergies subtiles de la Nature… Et c’est alors, en touchant à la barrière magnétique de l’individu, que la vaccination ouvre à un faisceau de maladies diverses et multiples, (puisque il n’y a plus de barrière aux invasions microbiennes), maladies apparaissant souvent sans aucun rapport visible, pour une science matérialiste,  avec le vaccin utilisé… (Par quoi elle fait l’économie de statistiques embarrassantes : Il faudrait voir ici les statistiques anciennes des associations de lutte contre la vaccination obligatoire qui témoignent de la survenue de ces diverses maladies consécutives à la vaccination ainsi que de risques évidents d’autisme). La vaccination compromettrait par là  disions-nous plus haut « la résistance générale de l’humanité à toute  maladie, y compris face à un retour ou une mutation aggravante du Covid… ».

En supposant, selon la vieille science théocrate, et contre la réalité même, que notre corps est indépendant de nos états de conscience, nos contemporains inoculent directement dans ce corps, par delà ses barrières naturelles,  des substances totalement étrangères qui altèrent la relation constructive naturelle de l’organisme à notre conscience, et ouvrent la porte au dérèglement magnétique et de là à toutes maladies ! (Nous parlons du magnétisme vivant dont le magnétisme physique n’est qu’un aspect physique et mécanique  externe…)

Les polyvaccinations antérieures sur l’enfance prépareraient ainsi le terrain de toutes sortes de maladies, y compris de l’épidémie coronavirale et de ses mutations futures !

Il serait bon d’élaborer au moyen d’instances relativement neutres quelques statistiques auprès des milieux les plus vaccinés, milieux de la santé et de leurs proches, quand bien même ils ne seraient pas au contact des malades. Et, même assez jeunes, le Covid peut devenir pour eux une fatalité pesante, une menace de maladie traînante et imprévisible.

Sans compter la tentation des vaccinations modernes, celle de passer à des modifications de l’Adn évoquées plus haut…qui en prêtant à l’organisme un Adn plus animal altèrent sans même qu’il s’en aperçoive son degré d’évolution humaine…  

L’homme équilibré, conscient et reconnaissant,  dans de bonnes conditions d’économie sociale et familiale et d’hygiène  connaît naturellement, tout le monde l’éprouve,  de solides états de santé : donnons-lui de telles conditions, une économie saine, une haute culture dans des Etats de paix, plutôt que des vaccins…

Ces mesures, tel le port du masque, témoignent en outre faussement qu’il n’y a pas de Dieu… (La laïcité et les enseignements dans le cadre de cette laïcité, notre conception de l’atome par exemple, est un masque comme nous l’avons montré en notre Large Epilogue, qui détruit délibérément, sur la base d’un évident mensonge, la conscience immédiate de l’Idée de Dieu… (Epilogue, Vol II, Trilogie)

Ces mesures altèrent les rapports de l’enfance au visage de l’humain et à sa chaleur, y compris physique, les échanges sociaux naturels sont faussés, l’enfance est culpabilisée, convaincue de contaminer les anciens alors qu’il n’en est rien, nous l’avons montré,  l’école devient un lieu de soumission, sur des emplacements désignés, distanciés !

Et plus gravement le masque dont elle revêt les visages, y compris celui de la maîtresse ou du maître, témoigne indirectement qu’il n’y a pas de Dieu, et de l’idée que la Nature est mal faite et source potentielle de mal,  (Cf Note ci-dessous) et qu’il faut, comme il faut se protéger de la jeunesse et de l’enfance, s’en protéger ! Nous avons vu combien cette approche est dubitable, sinon mensongère et malfaisante… Non, les enfants ont besoin de vrais maîtres et maîtresses, capables de vérité et d’amour, et sûrs de la vérité et la beauté du monde, et non de douteurs de la vie et d’enseignements issus de dogmes qui préparent à ce doute,  et non de ministres incapables de ressentir de telles choses,  et nous affirmons que le maître de la classe – comme ses propres élèves-  devrait parler et vivre le corps et le visage libre, celui de l’amour et de la vérité !  La mobilité naturelle à l’enfance et à la vie même, la construction sociale de l’âme enfantine est touchée,  et le rapport vital à la nature déjà minimal est généralement affaibli.

Note : Vous direz ironiquement qu’il n’y avait pas de Dieu  lors des grandes pestes et tant d’autres qui survinrent, principalement à partir de 1348/50 puis de façon récurrente ?! Mais ce sont précisément les périodes qui couronnèrent l’achèvement de la grande répression théocrate européenne des 12e/13e siècles, tandis que tous les « bons hommes » et toutes les consciences pensantes furent décimées, toute la conscience du Dieu vivant éradiquée, toute la culture d’amour bogomile cathare des 12/13e siècles et leurs communes fraternelles anéanties… La grande répression Italienne et ses 100 000 morts, et les grands bûchers symboliques de Sirmione, Vérone, vers 1280, ou la grande division des peuples délibérément créées par l’église, entre Guelfes et Gibelins en Italie, ou entre Klauwaerts et Leliaerts en Flandre, entre Crochets et Cabillauds en Provinces Unies, plus tard catholiques et protestants en France particulièrement, etc. en témoignent… (opposition qui perdure dans nos oppositions entre partis de droite et de gauche).  Ces oppositions générales en Europe marquent l’époque de l’emprise des forces théocrates sur notre histoire…  Les populations renoncèrent au Dieu de l’Amour et la fraternité pour celui de la division et de la hiérarchie, les économies chutèrent brutalement… Outre les carences nutritionnelles et hygiéniques, la perte de l’amour engendre au niveau individuel l’abaissement des équilibres magnétiques et l’emprise des maladies ! C’est également à cette époque, celle de la grande peste,  vers 1350,  que s’installe la petite glaciation et les rudes hivers !

Ces mesures paralysent en outre évidemment dangereusement l’activité, c’est une évidence, la consommation puis les économies, particulièrement les plus fragiles, toutes entrent dans des états de dépendance,  et les hommes qui les soutiennent, voyons les contrats précaires,  les embauches partielles, les intermittents, les chômeurs qui dépendent de la manne de l’Etat. De nombreuses jeunes familles vivent dans la souffrance et la crainte, comme le soulignait Barenboïm, le musicien,  si notre mémoire est bonne, parfois jusqu’au suicide… Sans compter toute la vie culturelle elle-même qui est touchée, et les importants divers milieux artistiques qui la produisent. Nous condamnons au nom d’une pseudo science, toute notre humanité !

D’une façon générale ces décisions étatiques introduisent de mesures en mesures l’idée du droit des états à disposer des individus et de leurs corps, c’est-à-dire de leur liberté, ce qui est inconstitutionnel et non conforme à l’esprit de nos lois. (Jusqu’à l’idée récente totalitaire d’un contrôle de l’isolement exercé par des agences correspondantes !)

2). Et plus gravement,  ces mesures extérieures masquent la Nécessité d’une Conversion Intérieure

Mais, plus gravement, ces mesures extérieures à grand spectacle, masques, confinement, isolement, distanciation,  menaces sur la jeunesse accusée de contaminer l’entourage, et même l’idée d’une vaccination généralisée, « mais dont tous ne pourront pas bénéficier » dit-on hypocritement, pour susciter une vague de vaccination sur les peuples conditionnés par l’idée du manque ! On en appelle même ce jour (autour du 20/09) en jouant sur la peur, face à l’ancien refus de la vaccination grippale,  à une vaccination en masse de la grippe, pour éviter une superposition des deux atteintes virales !  etc… Mais toutes ces mesures non seulement  font oublier les problèmes de fond posés par les évènements récents, les gilets jaunes, etc…(cf notre article Gilets Jaunes, Vol II de notre Trilogie), elles entretiennent la peur et masquent très gravement la nécessité de cette conversion mais intérieure celle-là, déterminée par les plus hautes intelligences cosmiques, par ces profondes mutations cosmologiques et cet accroissement correspondant du rayonnement solaire, conversion dont aucune mesure extérieure, d’isolement ou médicale, ne nous dispensera…

Tout comme le Réchauffement solaire et ses conséquences climatiques, tremblements de Terre, tsunamis, terribles inondations et tempêtes, la densité des contaminations nous obligera à cette conversion intérieure dont le cours des enseignements officiels a occulté la nécessité, tandis qu’il favorisait cette dépendance aux contaminations extérieures…

On ne pourra même plus envisager d’enfermer des nations,  l’humanité entière dans une bulle, et les priver du rapport vital à la nature et à l’altérité, du rapport à l’art et la musique- déjà affaiblis- sans compter les conséquences économiques désastreuses et condamner la vie réelle et les échanges réels, au risque d’une mort collective, dans l’âme et dans le corps de cette humanité, on ne pourra même pas imaginer de soumettre l’humanité à des interventions médicales généralisées, telles la vaccination, avec ce risque de corrompre précisément l’équilibre magnétique des êtres que seul l’amour, la sagesse et la vérité peuvent rétablir. Et alors même que des traitements palliatifs semble-t-il efficaces (à la chloroquine) existent… (Voir Note ci-dessous sur la mort). On ne pourra pas faire sombrer ici l’humanité dans cette voie risquée, isolement, perte du rapport à la nature et à l’autre, vaccination généralisée, sous prétexte de sauver ceux qui refuseront cette conversion à l’amour, la seule voie de toute guérison réelle des personnes jeunes ou âgées…(Et là même où l’hôpitalen temps de crise a privilégié, à leur détriment, les soins aux plus jeunes ! ) La culpabilisation des refusants (qui refusent le masque, la vaccination) ne tient pas Protégeons l’enfance comme la jeunesse de ces délires ! Ne les culpabilisons pas. Respectons leur corps et leurs équilibres, apprenons-leur les lois de l’élévation et de la vie, celles de l’Amour, évitons de compromettre cette vie  même en les vaccinant outrancièrement. Laissons les vivre dans leur rapport naturel à la Vérité et préparons-les à une vie de conscience et d’amour. Favorisons les Nouvelles Ecoles qui vont dans ce sens.  Cf. notre Epilogue en vol II de notre triologie… Allons dans les commerces et les écoles qui tolèrent au moins les voies diverses…

Et ceux qui prendront sur eux de soutenir tous les mensonges pseudo scientifiques et de masquer à notre humanité l’urgence de s’ouvrir à la Vie naturelle, à l’amour et à la fraternité  prendront sur eux et sur leurs familles une grave responsabilité, sans pouvoir véritablement ralentir le phénomène…

(Note. Sans compter que la mort, comme le sommeil,  est une étape nécessaire à notre évolution, et que la mort au sens définitif n’est qu’un mythe créé, alimenté par les forces théocrates – et par les concepts initiés en l’école obligatoire- et que seule importe la vie ou la mort de l’âme. Mais nous craignons aujourd’hui la mort, comme les enfants nerveux craignent de se coucher, le soir venu… Et on oublie que le soir de la vie, comme tous les soirs, augure de matins fabuleux !)

b)  Nécessaires Mutations sociales et Politiques.

Ainsi, nos modes de pensée, et même notre conscience de la laïcité sont illusoires, reçus de la pensée théocrate, qui nous appellent à méconnaître et à occulter il n’est qu’à voir notre Epilogue Vol II, le mystère, la divinité même en acte dans la Nature- que nos poètes connaissaient encore au XIXe siècle-  comme dans notre individualité même jusque dans notre organisme et qui négligeant l’exigence d’un rapport conscient aux énergies cosmiques et finalement l’exigence d’amour qui nous maintien en ce monde, nous met en un véritable danger, individuel, social et politique !  

Il nous faut nous ouvrir au Nouveau qui vient,  à l’Amour et à la Nouvelle Pensée, c’est-à-dire la pensée libre (de toute empreinte théocrate),  qui caractérise le  Nouvel Enseignement.

Nous avons montré dans nos ouvrages comment les forces théocrates ont avili, appuyées sur les Inquisitions au Moyen Âge, puis les Absolutismes, (en France particulièrement et en Europe en général) et au final sur la Révolution trahie, tout l’idéal d’un Dieu des consciences et d’amour, tous les idéaux de fraternité, de paix et de vraie science qui avaient depuis longtemps élevé nos Peuples, porté dans la liberté et l’entraide nos anciennes Communes actives et fraternelles. La force de nos cultures en avait résulté. Mais- en 1789- la confiscation des Communes primitives et fraternelles, et de leur autonomie revendiquée (Cahiers de Doléances) au profit d’un parlementarisme étroit (jacobin), l’aliénation des populations déracinées aux partis, l’esprit de guerre et de domination de quelques poignées de parlementaires, les graves cataclysmes mondiaux ainsi engendrés et ces millions de morts de ce XXe ont laissé, dans l’après-guerre, avec un enseignement d’Etat matérialiste sans précédent- qui masque même cette histoire comme la grandeur de la Nature- ont laissé donc les âmes humaines exsangues et vides, et induit la chute manifeste hors de l’amour. Ces âmes humaines sombrent aujourd’hui dans « une culture du droit et du manque d’amour », dans l’égoïsme et la recherche du plaisir devenus règles de vie, jusqu’à ces crises socio-politiques contemporaines sans issues, ces inégalités mondiales, ces violences sans fin tandis que notre jeunesse aimée est toute désemparée… (Cf notre trilogie, l’Introduction à l’Histoire des Pays de l’Europe).

En contradiction avec l’Univers, le Cosmos tout entier, l’humanité actuelle serait  alors, aujourd’hui,  tenue de changer son cœur de pierre, et d’entrer dans une Nouvelle étape de son évolution.

1). Signification historique de la notion de Nouveau : l’Idée fondamentale du Nouvel Enseignement, qui marquera les civilisations à venir, c’est la fraternité de tous les êtres humains

Il ne serait donc plus permis de s’enfermer dans nos égos : la nouvelle vague qui vient annonce la Nouvelle Idée : Le Nouveau dans l’histoire, c’est la naissance et la fondation d’une nouvelle culture sous des impulsions spirituelles manifestes. Les cultures se sont historiquement succédées, toujours sous l’impulsion de grands maîtres, voyons Hermès en Egypte, Zarathoustra (Zoroastre) en Perse, Orphée en Grèce,  apportant chaque fois à l’humanité quelque chose d’essentiel, un acquis pour l’humanité entière. Chaque culture était donc un pas nouveau pour cette humanité, un degré de son accomplissement. On est passé par exemple de la conscience grégaire, tribale, semblable à la conscience des abeilles fondues dans le tout de la ruche, à l’éveil à la conscience individuelle qui est la nôtre aujourd’hui… L’Egypte par exemple a donné la conscience de la Loi (en opposition à la tradition tribale), la Perse, la conscience du bien et du mal, les Grecs la Conscience individuelle du juste et de l’injuste…Toutes ces cultures (sans compter les évolutions antérieures) ont toutes une naissance, une apogée, et une fin…

Mais aujourd’hui cette nouvelle évolution, nous appelle, sur les bases des acquis antérieurs de la conscience, à laisser ce qui est vieux, à former consciemment cette humanité aimante et fraternelle.  C’est là l’idée fondamentale du Nouvel Enseignement, c’est la fraternité… (Il n’est surtout pas question de secte, c’est toute l’humanité qui est concernée), et le monde d’En Haut ne nous en laisserait pas le choix : nous devrons changer notre cœur de pierre pour un cœur plus sensible sans quoi nous ne serions plus en mesure de transformer les énergies émanées du Soleil.  Notre culture s’est enfermée dans l’égoïsme, la violence, et le mensonge, voyez même ces évêques en vêtements sacerdotaux et limousine de luxe, abritée des mauvais coups,  au lieu d’aller secourir en habits de simplicité les plus pauvres : c’est l’amour qui seul devra nous distinguer et assurer notre protection, comme le remarque Deunov…

2).Vivre selon la  Loi d’amour, sans mensonge, celle de la Nouvelle humanité

Ainsi, la Nouvelle Humanité arrive et demande que chaque être humain maîtrise son égoïsme, sans mensonge, et qu’il soit juste, sage et bon… « Qu’il soit honnête au point de ne jamais sacrifier les intérêts des autres à son propre profit, mais toujours ses intérêts en vue du bien de son prochain… Les gens meurent aujourd’hui parce qu’ils servent cette vieille culture selon laquelle l’homme est un loup pour l’homme. Mais le Christ nous dit : « Vous êtes tous mes frères… », nous rappelle Deunov.

(« Vous êtes tous mes frères… » : Prenons cela en vérité, ne le prenons pas à la manière du sermon des églises trop humaines : vous êtes mes frères, cela veut dire : « Je ne vous juge pas, ni ne vous renverrais devant aucune justice humaine ou religieuse, à la différence de ces églises.  Je sais que vous provenez de Dieu, en votre fonds ultime, et que tôt ou tard, quels que soient vos défauts, vous vous relèverez, et je serais toujours là pour vous aider en cela- gratuitement bien sûr, c’est un des critères du Nouveau-  et surtout si vous êtes en un grand danger… je porterais des habits ordinaires, ceux de l’amour, je saurais voir vos qualités, je vous aimerais, je vous aiderais matériellement s’il le faut,  et je vous parlerais dans le ton de l’amour et dans la vérité »… Ce Christ ne « pontifie » dans aucune église de pierre mais se tient seulement parmi ses proches et par l’humanité entière, il est capable de les guérir  par son seul amour, mais préfère surtout les mettre sur le chemin de la vérité afin qu’ils guérissent par eux-mêmes, comme font les bons médecins !)

Vivons selon la loi d’amour :

-. Dans les couples et la vie maritale.  Deunov disait : « Hommes et femmes, vivons selon la loi d’amour… » que l’homme et que la femme,   attentifs aux qualités de l’autre, oubliant ses défauts, (qui ne sont que des parasites provisoires) et tenant leurs promesses, s’aiment sans le dire, et se soutiennent mutuellement,  (c’est ainsi que le Christ descend sur la terre !), qu’ils soient un pilier l’un  pour l’autre,  « mais ils doivent posséder leur liberté intérieure et ne pas se réduire à l’esclavage »…  Il est juste qu’ils accomplissent leurs tâches universelles, délibérément, seuls ou avec l’appui de l’aimé(e), et les sympathies de leurs proches… Ils tendent à fonder leur relation sur une culture d’amour et non sur la sexualité, (cf note ci-dessous), qui ne constitue aucunement le ciment de leur relation- voyons la modernité et ses divorces- et ils tendent plutôt, peu à peu, sans violence contre soi-même et sans aucun refoulement,  à se libérer de toute addiction sexuelle, en évitant par exemple de se laisser investir intérieurement  par ces nombreux fantasmes étrangers qui « allument » cette sexualité et dépossèdent l’homme de lui-même ; Le refoulement serait alors vain et déséquilibrerait  le sujet… Leur vigilance intérieure est donc décisive, et cette faculté- la vigilance-  se développe rapidement…

(Sur la sexualité : Le plaisir limite la relation à l’essence- divine- de l’amour, et à la vérité : « le bien n’est pas le plaisir » disait en ce sens Platon, bien qui réside dans la relation à l’amour, la sagesse et la vérité divines, et « le plaisir est un clou pour l’âme »… Nous  pouvons l’expérimenter, nous voyons aisément que l’usage général de la sexualité en vue du bonheur n’a pas apporté le bonheur attendu à nos cultures contemporaines… Voir notre note sur le plaisir et le bonheur.)

 Ainsi, « un seul être aimé est suffisant », en un plan marital s’entend, un être que l’on a apprend  à aimer, à force d’intelligence et de cœur,   mais cela n’est pas incompatible avec le fait que chacun des aimants aient des sympathies, des liens profonds,  des relations mais platoniques avec d’autres personnes qu’ils peuvent aimer de pur amour. (Et si la relation avec l’aimé(e), parfois difficile,  est celle d’un lien karmique à régler, particulièrement par les temps actuels où l’évolution s’accélère, par suite d’une violence commise sur celui ou celle-ci, raison de plus pour apprendre à aimer celui que l’on n’a pas su aimer par le passé, par quoi on se libère seulement de ce karma…)

Il nous suffit d’aimer le divin en chaque autre, même nos ennemis ou des gens « difficiles », pour que nos cœurs s’adoucissent. Chaque être humain est le visage de Dieu. Si nous ne pouvons aimer notre prochain ni nous sacrifier pour lui, c’est que nous n’aimons pas Dieu dit Deunov : « Que les jeunes hommes et jeunes filles tiennent donc la parole qu’ils se donnent et qu’ils se tiennent prêts à n’abandonner jamais l’être à qui ils ont fait cette promesse. Et ainsi dans tous les domaines ! C’est comme cela que le Christ  pénètre dans le monde C’est ce que prêche la Fraternité », ces 144000. Et si nous avons échoué en cela, nous le réparerons dès que nous le pourrons, même dans une autre vie…

-. Au niveau général des Etats et des Peuples : « Tout doit être changé dans le monde : Aucun peuple n’a le droit d’exercer de violence sur un autre peuple, aucune société ne peut utiliser la force contre une autre, aucun homme n’a le droit d’en contraindre un autre ». La Nature ne le permet pas, et pas plus ajoutons-nous au nom d’un Etat dit démocratique, (et d’un bien être collectif), conception qui résulte d’un détournement de la véritable pensée comme de la libre expression des individus en leurs communalités autonomes. L’école doit nous rendre à la beauté de la Nature et à sa profonde Vérité, (cf. notre Epilogue, Vol II, Trilogie) : « Tous doivent vivre aujourd’hui- sans mensonge- selon cette grande loi d’Amour » dit notre penseur. Le monde n’a pas su faire un bon usage de son libre arbitre quand il le pouvait. Il va dans le précipice. Et il devra changer quoiqu’il en coûte ! La vague solaire redoublera s’il le faut : « Tous ne mourront pas dit l’apôtre Paul, mais tous seront changés », ils se délivreront de leur égoïsme, leur cœur de pierre s’adoucira !

-. Au plan de la vie individuelle : « On ne peut se contenter dans une vie que de boire et manger » !  C’est lorsque nous connaîtrons l’amour et que nous ne vivrons plus au détriment des autres, avec de bons salaires, tandis que de pauvres journaliers tissent nos vêtements, assemblent nos portables, et extraient, en Afrique ou ailleurs, pour un morceau de pain, les minerais dont nous tissons notre richesse, nos appareils et nos ordinateurs, nos salaires d’ingénieurs, nos biens luxueux, nos voyages et nos bains de langue, c’est seulement lorsque nous nous sacrifierons et travaillerons en vue du bien d’autrui et de nos proches, et que l’amour sans mensonge emplira nos cœurs en vue de leur élévation, quand bien même seraient-ils de difficiles délinquants, des criminels même- ainsi devenus car ils n’avaient pas les mêmes conditions d’existence que les nôtres- (le vrai Christ pleurait pour ces criminels) – c’est lorsque nous leur parlerons en vérité et, plein d’amour, de la vraie vie, et que nous les aiderons, même matériellement à cela, c’est alors que nous concevrons et que naîtra cette fraternité de tous les êtres,  en un seul Dieu, dont la vérité, la sagesse et l’amour sont les rayons… 

C’est alors seulement, par-delà toutes les religions, que nous atteindrons à la plénitude et à la vie. Nous ne mourons au sens réel, concret, que parce que nous perdons notre pureté, notre amour, dit Deunov, nous nous laissons aller à l’anxiété et au doute… C’est dans l’amour- la porte étroite- que nous vainquons la mort ! Et dans la pureté qui le préserve, quelles que soient nos épreuves… C’est là le seul enseignement du Christ : la mort à vaincre, ici et maintenant, par l’amour !  (Cf. Ev Jean, 11/26).  Quant à ceux qui meurent, le Christ nous dit, nous l’avons vu,  « laissez les morts enterrer leurs morts… ! (Les morts dans l’âme, et proches d’êtres morts… Nous devons aujourd’hui apprendre à nous relever.)

Nous avons tout un redressement à faire pour transformer notre cœur de pierre et redonner sens à notre évolution vers des états supérieurs immédiatement accessibles. Ceux qui s’opposeront à cette conversion, les dinosaures, seront par là même en disharmonie avec les lois de la Nature. Ils s’affaibliront et entreront dans des cycles inférieurs de l’évolution…

Donnons donc leur chance à tous les êtres, quels que soient leurs crimes passés, ne cédons pas nous-mêmes à la tentation de la violence, nous ne vaudrions pas mieux qu’eux.

Mais dès que nous déciderons, “lorsque nous tournons (ou tournerons) notre regard vers l’autre” dit Deunov, “d’oublier ses fautes comme Dieu les oublie, et de lui souhaiter tout le bien comme Dieu le lui souhaite, “ comme le fait l’Amour, et de servir ainsi Dieu (même) dans les pires conditions, “alors l’Amour s’amplifiera et jaillira en tous lieux et chacun connaîtra l’Amour”, l’Amour-Dieu… ” Les péchés et les faiblesses disparaissent devant l’Amour de Dieu “dit encore Deunov. Voilà la porte étroite menant immédiatement à la vie divine, voilà la clé de l’évolution…

3). La Nouvelle Humanité,  la société future,  l’Economie Nouvelle  de l’Amour

Il est dit dans l’Apocalypse ou Révélation de Jean, celle des temps futurs- « qu’il n’y aura plus de Temple », c’est-à-dire de religion extérieure, que cette Nouvelle Jérusalem de l’Amour « se passera de l’éclat du Soleil et de la Lune », symboles des lois extérieures des Etats, et des religions elles-mêmes extérieures, « car la gloire de Dieu l’a illuminée, et car l’Agneau– symbole de l’amour, la fraternité- lui tient lieu de flambeau », Apo, 21/22… L’amour seul dirigera ses pas et ses actes, et la douceur, qui est la forme extérieure de l’amour dit Deunov. Ainsi, un monde de l’Amour est annoncé- où les gens connaîtront leur fraternité- et s’imposera comme la seule loi de l’évolution future…

Et c’est lorsque nous nous attellerons, les uns les autres, comme dans ces Communes fraternelles et actives- Communes de l’amour initiées depuis le Moyen Âge, mais tellement combattues par les forces théocrates (cf notre trilogie)- au bien de tous les êtres, nos frères et nos sœurs, c’est dans l’amour, la sagesse et la vérité que nous connaîtrons notre liberté !

 L’Economie nouvelle de l’Amour et ses communes informelles d’entraide

Nos économistes s’inquiètent au sujet du développement post Covid,  au regard de la seule économie concevable pour eux, l’économie de l’intérêt, l’économie des égos : pour limiter le chômage mondial en son développement post-Covid exponentiel, il faudra relancer l’économie mondiale disent-ils, au risque de retomber dans les mêmes travers, celui d’une économie non durable, accompagnée, paradoxalement, d’un nombre de chômeurs de plus en plus assurés… Et elle recommence précisément par cela : les licenciements, (outre les fermetures d’établissements), la mise au rebut des intermittents, intérimaires et toutes sortes d’auxiliaires habituellement précieux, et les activités culturelles, marginalisées ! C’est l’économie non durable de l’exclusion et de la guerre comme conséquence, on ne peut envisager sérieusement aujourd’hui de recommencer ! Mais l’autre économie sera l’économie de la Vie, celle de l’Amour, de la Sagesse et de la Vérité, où chacun se mettant au travail en vue du bien d’autrui (c’est-à-dire dans la production de valeurs véritables, cf ci-dessous), aura toujours un plein emploi, seul gage du partage équitable des biens de l’humanité et trouvera dans le tout des nouvelles Communes de l’amour toutes les assurances sur la vie, celles que donne l’amour ! Car l’économie de l’amour qui est aussi l’amour pour tous les êtres et la Nature entière est évidemment le seul gage d’une économie durable et de plein emploi… (Cf notre Large Epilogue, livre II de l’Intro à l’Histoire des Pays de l’Europe).

Nous avons montré, dans ce large Epilogue en notre Vol II, qu’un tel travail en vue du bien de tous et de l’accomplissement de l’humanité, c’est-à-dire une production des véritables valeurs nécessaires à cet accomplissement requiert le travail de la totalité des êtres humains comme l’organisme a besoin de la totalité des cellules qui le composent et qui produisent chacune une activité spécifique : le chômage y est alors, naturellement, inconcevable… Il faut par exemple peu d’hommes pour faire un pain industriel, mais beaucoup d’hommes pour faire un bon pain, un blé véritable, des familles d’hommes qui portent dans l’amour de telles cultures, et de même pour élever les âmes humaines. L’amour des mères par exemple, qui conditionne dès la conception d’ailleurs, puis durant la grossesse et l’enfance, l’élévation de leur progéniture, n’est pas mécanisable…  (Pas plus l’enseignement des véritables maîtres d’écoles, poètes et musiciens, et penseurs de la vraie science).

Toute l’humanité est ainsi requise à la production en Amour, sagesse et vérité de cette humanité.

Dans les nouvelles Communes évoquées qui se créeront, où chacun se fera pour tous tandis que tous se feront pour chacun, selon l’amour et selon leur génie propre, selon les capacités extraordinaires de chacun, se créeront en toute liberté les nouvelles écoles de l’Amour et la pure production de l’homme et des vraies valeurs nécessaire à son accomplissement… On y produira de bons pains, un bon enseignement fait par des maîtres aimants et libres, (cf notre Epilogue, Vol II) une vraie culture attachée à l’accomplissement de tous les êtres, et chacun travaillant selon son génie propre en vue du bien de tous et de l’amour, recevra aussi, indépendamment de tout échange,  l’amour de tous ses proches qui assureront sans cesse sa protection sociale, sa retraite, et le protègeront en cas de difficulté… L’amour, ce rayon divin, est la mère de tous et tous l’honoreront sans cesse…

Dans ces nouvelles Communes, l’entraide permanente et l’amour seront ainsi la protection, la sécurité sociale et individuelle de chacun…

Dans ces communes de l’amour, une entraide permanente entre tous les âges, la protection sociale et la sécurité seront spontanées, assurées naturellement par l’amour des uns envers les autres,  et la retraite et l’accompagnement permanent des plus fragiles, par la seule loi d’Amour et de vraie justice.  La vraie culture, la poésie, la musique y seront constamment enseignées, et les hommes, élevés à l’amour, à la sagesse et à la vérité, qui sont en eux les rayons du Divin, s’emploieront à aider, matériellement s’il le faut, tous leurs proches et à les élever.  Ils s’emploieront ensuite, autant que possible, à entraider les Communes voisines, les banlieues en péril, tellement déracinées et puis abandonnées, et celles des pays en difficultés, et l’Amour, le vrai amour, d’essence divine, leur donnera toute puissance…

Mais si tout doit se résoudre dans et par l’Amour, d’essence divine, qu’il nous faudra trouver au fond de nos consciences, voyons aussi que ceci n’est pas un idéal utopique car nous n’aurons pas le choix !

Ainsi, Cultivons l’Amour en nous, voyons dans l’autre ses qualités divines, oublions ses défauts qui les accompagnent comme les puces et les poux accompagnent le vivant… Si ces défauts, ces puces et ces tiques viennent en lui, c’est bien parce qu’il est vivant dit Deunov, au sens divin du terme, (il procède en ses qualités mêmes, de Dieu),  ils ne viennent pas sur les morts ! Ses défauts sont son affaire, et l’expression de son travail à faire. Notre tâche est d’aimer… Voyons plutôt ses qualités, d’essence divine ! … Ouvrons-nous à l’Amour, laissons Le jaillir en nous : « Apprenons à aimer sans attendre d’être aimé », et nous serons heureux, par-delà les épreuves… (voir cette note ci-dessous sur le plaisir), car cet amour en nous est un rayon divin, qui ne supporte aucune altération.  « Implorez-Le, accueillez-Le, Aimez le divin en vous-même et hors de vous, aimez Dieu qui se tient dans toutes les consciences de l’Univers infini et qui nous tient dans Sa conscience à chaque instant dit Deunov…  Aimons-nous nous-mêmes et aimons notre proche, cet amour qui est à la mesure de cette estime envers nous-mêmes : Aimons-nous nous-mêmes, car le Dieu est en nous et nous sommes en Lui et par Lui qui se tient et soutient toutes les consciences…

Ne nous opposons pas non plus au mal, qui nous chargerait de toutes ses dettes…dit Deunov. Laissons-le passer son chemin, c’est ce que savent tous les grands sages, voyez les Stoïciens. Nous savons ce qui est juste, et nous l’accomplissons, dans la foi consciente et dans l’intériorité divine : l’homme du divin devient l’expression, l’indice du nouveau droit informel, celui du pur amour envers Dieu, envers ses proches comme envers soi-même. C’est un homme doux et calme, et sûr du merveilleux avenir qui point.

Vous me dites : comment pouvez-vous être si tranquille, là où tant de forces s’emploient au mensonge, à inféoder l’humanité et à assurer leur domination sur le monde ?! Mais le sage répond : « Votre angoisse nous signifie seulement que vous ne pensez pas… » Voyez les premières lueurs de l’aube et le soleil se lever, vous comprendrez qu’il suffit de rester positif pour que le monde vous apparaisse dans toute sa beauté et dans sa vérité, tout le reste, ce ne sont que fantasmes,  les tempêtes et les coups de vent d’un théâtre d’ombre : C’est Épictète qui disait que la tempête n’est qu’une imagination, la seule chose réelle, c’est la peur, c’est la tempête en vous, qu’il vous appartient de calmer…

                                     « Avant de penser et de réfléchir, on est malheureux. Dès que l’on pense, on retrouve son bonheur.
Alors tout ce qui est impossible devient possible » ! Deunov, 900 pensées. Et l’on sait tout le bien qui se prépare a travers nos épreuves…

Après la tempête viennent les éclaircies lumineuses et paisibles… Les gouttes d’eau irisées lancent des arcs en ciel, les fleurs murmurent leur joie profonde, les oiseaux gazouillent et les abeilles reprennent leur course parfumée… nous comprendrons par exemple plus tard que ce réchauffement solaire et climatique n’est qu’une manifestation de l’Amour en qui se prépare le nouveau qui vient, la Nouvelle Humanité…et un bonheur inouï, qui n’a jamais été connu ni entendu… La Vie s’écoulera en nous et nous rajeunira,  et les maladies, tel notre Coronavirus,  n’y auront plus leur place….

(Une méthode pour avancer sûrement  dans cette voie de liberté, c’est de lire chaque jour quelque beau texte initié, qui vous donnera force et joie, dont les textes de Deunov, ses « 900 pensées », ou bien « La Beauté de la Vie », ou les paroles du Christ et de la Bible, et d’autres encore,  en s’attachant toujours et seulement, par la force de votre esprit, à ce qui est vrai et beau ! (Par les traductions, transcriptions, etc… les hommes altèrent toujours un peu ou plus radicalement les grands textes originaux)…

(Note sur la question du plaisir.  L’homme n’est pas un Bonobo ! )

Un ami cher me répond alors : pourquoi nous élever au pur amour, pourquoi « aimer sans attendre d’être aimé » qui est peut-être le pur gage de l’amour mais qui nous prive ainsi des plaisirs de la vie ? Nous répondrons et vous nous comprendrez si vous avez été un jour amoureux, qui n’est cependant qu’une image du véritable amour- celui qui se cultive et se multiplie sans cesse : vous comprendrez que la plus grande des joies est d’aimer, (plus encore que d’être aimé, les jeunes le savent très bien), et que la question du plaisir passe vraiment en second plan, même si la nature nous l’accorde dans le moment de la conception ! La société moderne nous ayant désappris d’aimer, nous appelle à la satisfaction du désir sexuel et à la culture du plaisir, pour le plaisir, pour compenser en quelque sorte le vide laissé par ce même manque d’amour !

Mais la recherche du plaisir pour le plaisir, chez les singes Bonobos aussi, comme chez les humains malheureux, est une conduite d’échec, visant à masquer leurs angoisses face à des contradictions qu’ils ne résolvent pas pour autant ! (Cf articles courants, en ligne, Bonobos). Et l’homme ne se modelant pas sur les conduites animales ou d’échec des autres hommes, et sur des comportements de violence inénarrables, inscrit ses conduites, y compris la conception de l’enfant aimé, dans le pur amour, dans la sagesse et dans la vérité…qui l’emplissent de toute plénitude. Il est vrai, outre sa précieuse sexualité, que l’homme a un intellect développé, appuyé sur un cerveau complexe, capable de capter des pensées créatrices nouvelles, émanées des êtres élevés, invisibles à ses sens grossiers, qui l’entourent, et par là du divin, et de les adopter par le fait de son libre arbitre, il a encore  un puissant cœur, faculté du sentiment, appuyé sur son pôle rythmique- cœur physique, poumon, circulation- capable de former de là le subtil rayon de l’Amour, et une volonté universelle, capable de construire ses justes désirs dans le temps, appuyée sur l’estomac et les membres… 

L’apparition de l’homo sapiens est d’ailleurs marquée par l’apparition du menton, signe de cette volonté, qui le distingue des animaux et des autres hominidés, qui lui permettent l’accomplissement dans le temps d’un juste vouloir, universel, conformément aux impulsions profondes de son être et de son intime participation au divin, qui est son essence originelle. L’être humain peut ainsiconcevoir et accompagner, dans le pur amour, de futurs héros de l’humanité (que la mère aimante peut, dès le stade embryonnaire, élever d’une façon décisive en lui communiquant les plus grands idéaux…(Cf note ci-dessous sur la femme)  Le plaisir proprement sexuel comme celui de la nutrition reste chez l’être humain tout à fait relatif et ne prend, dans l’amour et la volonté créatrice, aucune forme addictive ou faussement compensatoire comme c’est le cas dans nos sociétés modernes… )

Conclusion : Aimer Dieu, Aimer le divin en nous-même comme notre essence profonde, et le Divin en chaque autre

Et l’homme, en concevant ainsi l’Amour de Dieu, cette profonde conscience universelle et cosmique qui lui a fait et qui lui fait don de la vie et de la santé à chaque instant, qui lui fait ce don permanent de la pure pensée et de l’amour, de la sagesse et de la vérité, par la parole de ses proches et des grands maîtres,  par la nature entière, par les rayons solaires, par l’air, par l’eau et par les fruits et le pain qui le nourrissent, qui le construisent et qui l’emplissent ainsi sans cesse, intérieurement, de toute son humanité comme un puissant mystère, l’homme, à force d’éprouver et de concevoir sa propre humanité et celle de ses proches, devient un récepteur permanent de l’amour divin, il aime Dieu dont il est constamment né et re-né et En qui il repose,  il s’aime lui-même, pure émanation divine, et devient alors en mesure d’aimer ses proches et de là tous les êtres, et de connaître au travers de leurs luttes et leurs souffrances, leurs qualités divines, et leur divinité, et de les aimer… 

Il aime Dieu, il Le côtoie, il L’implore, il Le reçoit et s’En emplit… et pour lui, ce pur amour, cette chaleur en lui l’emplit d’une telle plénitude- touchant ainsi à sa pure essence, divine- qu’elle le libère véritablement de tout désir extérieur et l’appelle, comme la mère aimante, comme un véritable père, à œuvrer sans cesse- peu importent ses douleurs et ses épreuves- à l’accomplissement des êtres aimés et à l’humanité entière

La Société Nouvelle

Ainsi, dans une culture consciente et reconnaissante de l’Amour en acte dans l’univers,  de plus en plus conscients de cet amour, et reliés à celui-ci-  par leurs méditations, leurs prières et par leurs exercices aussi, (nous pensons à la Paneurythmie deunovienne, l’été, sur les massifs de Rila, en Bulgarie, par quoi les humains d’origines et de sensibilités diverses se relient, fraternellement, l’été venu, aux énergies et aux rythmes du grand Univers, avant de s’éparpiller ensuite dans les diverses régions de la Terre), emplis de cet amour divin,  les humains formeront-ils ces nouvelles Communes de liberté, communes informelles semblables à ces Communes médiévales de l’Amour, communes actives et fraternelles, évoquées dans notre Large Epilogue (Vol II de notre Trilogie) : ils s’entraideront les uns les autres et s’élèveront les uns par les autres, produisant dans l’amour les valeurs nécessaires à cet avènement de la Nouvelle Humanité, à commencer par l’assistance aux femmes et la reconnaissance, femmes qui porteront en leur sein les Nouveaux Héros de l’Humanité future… (A ce moment seulement, paraîtra cette nouvelle Humanité attendue… Cf note Appendice, sur la mission de la femme). Elles les élèveront ensuite avec l’aide de tous leurs proches assemblés, ils formeront les nouvelles écoles de l’Amour, de la Sagesse et de la Vérité, où la poésie, la musique seront les fondements de la vraie science, et les  pavés du chemin de notre élévation initiatique et fraternelle, et ils entraideront l’humanité entière… (cf sur l’Ecole,  notre Large Epilogue, en Vol II de notre Introduction à L’Histoire…)

Petit Epilogue : La Nouvelle Humanité apparaîtra rapidement, telle une 6e Race de l’Amour…

Pour terminer cette analyse, qui concerne le sort actuel de l’ensemble des individus des Pays de l’Europe et du Monde, et l’évolution actuelle en cours, qui a également trait à leurs états de vie et de santé, nous citerons ce passage du final du texte traduit de la Conférence de Deunov (Béïnça Douno) sur la Nouvelle Humanité, donnée le 19 Août 1920 à Véliko Tirnovo, en Bulgarie, il y apparaît que le fameux Réchauffement est une haute manifestation de l’Amour nous amenant à des états supérieurs :

« Je crois (dit-il en 1920) qu’un grand réchauffement se prépare qui fera fondre les glaces. Il y aura de grandes évaporations dans les montagnes, des flots clairs et purs se mettront à couler. Ensuite viendra une végétation luxuriante, les graines semées depuis des milliers d’années  (sur une Nouvelle Terre un jour émergée dans le Pacifique ?) germeront, grandiront, fleuriront et produiront des fruits… Et les Peuples… se tendront la main. Cette Nouvelle Culture que personne n’osait espérer viendra dans le monde. Et vous tous serez des citoyens de cette nouvelle culture, cette Nouvelle Humanité ! »

« Le Christ vient de nouveau et il vous invite à nouveau à reprendre ce Nouvel Enseignement, mais gardez-vous de refuser sous n’importe quel prétexte, comme firent ceux que le Christ invita, il y a 2000 ans… » (qui refusaient cette nouvelle culture). Et les Hommes de la Nouvelle Humanité prendront seulement « ces braves gens qui gardaient le bétail depuis 5 siècles, comme serviteurs de Dieu et les utiliseront  pour construire ce grand édifice divin, ce Temple de la Nouvelle Humanité… » « Et quand nous aurons construit notre temple de la Nouvelle Humanité, la Sagesse et l’Amour viendront alors enfin sur la terre. Il y aura de la musique, de la poésie, de l’art. Et seulement alors viendra la justice pour tous et l’ordre règnera… Seulement alors viendra l’entente entre les peuples… Et seulement alors nous pourrons nous donner le baiser sacré qui nous fera ressentir la joie des anges. » Conférence sur La Nouvelle Humanité, Extraits, du recueil de 12 conférences, La Beauté de la Vie, Beïnça Douno (Peter Deunov), maître Bulgare, 1864/1944. Maison d’édition Bialo Bratstvo.

Ainsi, l’humanité est à un tournant que les évènements cosmiques actuels pleins de sens nous appellent à prendre dit notre penseur : Nous sommes tous invités, mais gardons-nous de demeurer dans l’idée de la vieille école, la vieille science et la vieille politique… avec ses personnages importants. Car ce sont les autres,  les humbles et les simples, les purs- ceux qui écartent tout ce qui s’efforce en eux de rompre avec l’Amour, avec la Vie-, les véridiques, qui constitueront la Nouvelle Humanité qui se prépare déjà. Il nous appartient, pour notre joie, notre plus grand bonheur, de nous engager dans ce Nouveau qui vient, c’est-à-dire dans l’Amour comme unique loi des existences et de l’Univers entier, l’amour porteur de vie et gage de notre élévation  et de la manifestation du Royaume divin sur la Terre…

« Heureux les purs, car ils verront Dieu ». Matthieu.  « Heureux ceux qui lavent leurs robes  (qui se purifient, par l’Amour). Ils pourront disposer de l’Arbre de Vie, (la Vie divine), et pénétrer dans la Cité (la Nouvelle Humanité, présente au Ciel et sur la Terre) par les portes ! » Final de l’Apocalypse de Jean, 22/14

Michel Mounié,   2e Version du 21-22/09/2020

APPENDICE  Sur le rôle actuel de la femme, selon Peter Deunov : Il est dit dans l’Apocalypse de Jean (Apocalypse 12), que c’est la femme, certes dans la maîtrise de l’égoïsme humain qui la perturbe encore aujourd’hui et lui occasionne bien des problèmes, et dans le véritable Amour qui unit seul les Bien aimés, c’est la femme qui enfantera la Nouvelle Humanité, attachée à la libération de ses proches ! (Un dragon, le Mal, le père du mensonge, voudrait s’emparer de l’enfant- la nouvelle Humanité- qui va naître…) C’est de celle-ci qu’il est dit selon des versets trop souvent déformés que « le talon de la femme (le bien) écrasera la tête du serpent (l’intellect dénaturé, privé de son rapport à la conscience) », le mensonge…

« C’est seulement dans le sein de la mère que l’homme peut être changé et apprendre à vivre dans l’Amour de Dieu. Tout seul, il ne peut rien. Seules les mères peuvent recréer l’homme et le rééduquer. (A cause de sa longue chute dans l’égo, dont les grandes guerres mondiales et l’après guerre.) En suivant la loi qui agit dans la Nature vivante (et non mécaniquement), la condition des femmes devra donc être améliorée… Les femmes enceintes et les nouveaux nés doivent vivre dans un environnement plus favorable… »

C’est la femme, qui engendrera une nouvelle humanité, initiée dès sa conception à l’héroïsme de l’amour. L’éducation et le libre arbitre personnel, ne déterminent que 25% plus 25% dans l’évolution de l’être humain. C’est la conception de l’enfant, dans le pur amour des amants, et c’est la mère qui préparera l’enfant, au stade embryonnaire, en l’appelant intérieurement à ce grand destin auquel il lui appartient aujourd’hui de se rendre : afin qu’il devienne un héros de l’amour et de la fraternité qui arrive. Et seule la mère aimante (à 50%, si nous parlons en chiffres) a ce pouvoir d’ouvrir nos futurs héros à une telle lumière et à la vraie Vie. (Ce que l’éducation véritable complètera) …

Ouvrages de l’auteur, Michel Mounié : Après quelques conférences et la publication de l’ouvrage : « Le Christianisme Bogomile Cathare, au fondement de nos cultures… à la lumière des Contes européens et slaves », 616 p, grand format,  voir la trilogie en passe d’édition : Introduction à l’Histoire des Pays de l’Europe, Vol I Le bogomilisme européen fondateur, Lyon, la Renaissance merveilleuse, Rabelais, Scève, Vol II, Communes fraternelles et Révolution française trahie, Vol III Pays de l’Europe, Causes Guerres Mondiales, Pays Bas, G.B. etc…), Flandre, Bruges, Gand et Lille, France sous Saint Louis, Italie, du Moyen Âge à la Renaissance, Vinci, pur bogomile.

 

 

                   

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By docteurJO

Médecin de campagne puis Médecin de ville, acupuncteur, ostéopathe, vice Président de l'I.H.S (Institut Homéopathique scientifique), retraité depuis 2011. Je tiens ce blog qui a pour but de relayer en matière de santé, l'information des lanceurs d'alerte sur l'agriculture, la nutrition, la destruction des écosystèmes planétaires, les dérives de l'industrie pharmaceutiques, etc...

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