“Mon ami Michel Mounié professeur de philosophie et spécialiste de l’hérésie médiévale Bogomile Cathare européenne et de son rôle déterminant dans la fondation de nos cultures Nord/Sud, malgré les longs siècles de répression, m’envoie ce texte que je soumets à votre réflexion. Il analyse la période covidesque écoulée et en tire une conséquence spiritualiste particulièrement intéressante et quantique.”
RÉCHAUFFEMENT SOLAIRE, COVID et LIBERTÉ : LA NOUVELLE HUMANITÉ EN CHEMIN…
Les épreuves qui nous arrivent ont un sens, y compris celles qui surviennent aujourd’hui autour du Réchauffement solaire et du Coronavirus et nous obligeront à aller vers cette Nouvelle Humanité annoncée dans les textes du Nouveau Testament et de l’Apocalypse de Jean, éclairés et soulignés dès 1920 par le penseur bulgare Peter Deunov, c’est-à-dire à une refondation sociale, scientifique, philosophique, profonde. La science théocrate, Descartes par exemple, formé dans les premiers collèges jésuites, a séparé le physique et le mental. La vraie science voit bien aujourd’hui que le développement organique est une fonction de notre rapport à l’amour, à la sagesse et à la vérité… Nous serons tous invités à entrer dans cette nouvelle pensée et cette Nouvelle Humanité, mais seuls les humbles, les simples, les purs pourront entrer dans le chemin inouï de l’amour et de la vérité, celui de la vie…
I Le Coronavirus et l’enveloppe magnétique : nos pouvoirs absolus sur la maladie
A) Une enveloppe magnétique recouvre l’organisme humain et le protège de la maladie : son état est une fonction des équilibres humains
L’organisme humain, selon la pensée deunovienne, est recouvert d’une enveloppe magnétique, une véritable peau du corps mental, visible à la science occulte, qui enveloppe tous les organes, toutes les cellules de l’être (y compris d’ailleurs les cellules du poumon ou de la paroi nasale (ou buccale, ou même celle de la conjonctive), etc…)
Cette enveloppe magnétique assure la bonne santé en régularisant la chaleur de l’organisme, par quoi elle nous tient à l’abri des maladies.
Mais nous pouvons nous-mêmes constater qu’il suffit d’une vie injuste, d’une violente dispute ou d’un conflit profond, d’un problème obsédant qui nous tourmente, ou d’une très grande fatigue même physique, pour déchirer cette enveloppe, et rompre cet équilibre calorique: on n’est pas bien, « on prend froid », avec des phénomènes de vaso-constriction qui l’accompagnent, et les agents extérieurs nous pénètrent alors et déterminent la maladie… Notre santé dépend directement de nos équilibres mentaux ! C’est, au sein même des forces de la nature, par ce rapport à la vérité, caractéristique de l’enfance, à la sagesse et à l’amour non violent, porteur des impulsions de la Vie, que nous entretenons cette enveloppe protectrice. Celui qui est empli d’amour par exemple fortifie ses équilibres caloriques et est pris dans un dynamisme créateur. Celui qui en est coupé affaiblit la barrière magnétique qui le protège et est livré aux agents pathogènes micro organiques étrangers…
Préalables : difficulté de faire des statistiques précises
Pour comprendre plus précisément la pandémie du Covid 19, il nous faut observer les classes de personnes qui en sont atteintes : Mais notons au préalable qu’il était au début de la pandémie, difficile de faire des statistiques précises des personnes malades, atteintes dudit virus, dites positives, par rapport à l’ensemble de la population, particulièrement en France d’ailleurs, vu que les tests mis en jeu visaient surtout des personnes cliniquement atteintes du Covid, « visiblement malades ». On a toujours tendance (début Août 2020) à tester les personnes à partir de personnes elles-mêmes contaminées avec lesquelles elles sont entrées en contact (ou même des clusters de personnes qui ne représentent pas l’ensemble diversifié de la population mais un type de populations.) Le taux de positivité des tests, qui représente le nombre de personnes testées positives sur le nombre de personnes testées, ne peut donc avoir de valeur générale. Ajoutons à cela l’existence de personnes en un sens « atteintes du virus », positives mais asymptomatiques (sans symptômes de la maladie) personnes qui ne sont pas cliniquement parlant ou réellement malades, qui représentent au moins un quart des personnes contaminées, ou même bien plus… (Personnes contaminées dont on ne connaît pas véritablement le nombre… !) Ce taux de positivité ne nous renseigne donc pas sur l’impact de la maladie réelle, cliniquement parlant ! Ces personnes asymptomatiques sont mêlées aux personnes « négatives », exemptes de tout Covid… On sait également que des personnes positives, cliniquement atteintes du Covid, peuvent guérir et redevenir négatives… Et pour compliquer les choses, on a découvert par exemple, en Chine, que sur 175 malades guéris, 30% n’ont pratiquement pas produit d’anticorps neutralisants, ou pas du tout ! (Ils ont guéri d’une telle maladie sans anticorps… ! Article cité plus bas.) Nous voyons ici qu’il nous faut sortir des modes de pensée habituels, et de la théorie peut-être trop simpliste de l’immunité, (1) pour analyser et comprendre autrement le phénomène, ce qui nous permettra d’ailleurs de re-comprendre l’ensemble des évènements maladifs en général…
- Pour celle-ci, un agent extérieur agresseur ou « antigène » s’introduit dans l’organisme humain, et tente de s’y développer, tel notre virus, compromettant l’identité organique. Il suscite alors la réaction des cellules de l’organisme et la phagocytose ou absorption des agresseurs au moyen des globules blancs du sang, ou leucocytes. Parmi ces globules blancs, les lymphocytes B et T produisent des anticorps spécifiques libres qui favorisent cette phagocytose… L’immunité consisterait donc en une lutte entre un agent extérieur pathogène, micro organique, et un agent intérieur capable de réduire au terme d’une lutte cet agent extérieur, principalement au moyen de la production d’ « anticorps». (La vaccination introduirait une maladie atténuée par une culture microbienne conditionnée, injectée pour susciter à l’avance la production d’anticorps et prévenir la maladie quand elle surviendrait pleinement…)
Populations indemnes du Covid-19 : l’enfance et la jeunesse, les femmes plus que les hommes, les adultes plus jeunes ou même tous les adultes, quel que soit l’âge semble-t-il, réalisant des conditions données…
Par-delà ces incertitudes statistiques, nous voyons manifestement que ce sont les enfants et la jeunesse qui même vivants dans des milieux contaminés sont épargnés par le Covid 19, qu’ils soient négatifs au Covid 19, ou asymptomatiques, peu ou non touchés par la maladie, et particulièrement les nouveaux nés, totalement indemnes, quoique vivant, surtout dans les premiers mois dans une très grande proximité à leur mère contaminée et positive… et ensuite viennent les femmes qui représentent plus des deux tiers des asymptomatiques, (Journal des femmes, porteurs sains du Coronavirus, article en ligne, mis à jour le 9/07/20). (On parle également, en nombre de décès du Covid, de 33% de Femmes seulement, contre 67% Hommes)- et parmi les personnes âgées, sont épargnées des personnes retrouvant consciemment, sans doute par leurs choix culturels, des liens aux états de l’enfance, ce lien à la vérité, mais aussi à l’amour et à une certaine sagesse : Nous avons vu combien des conduites violentes ou injustes peuvent rompre nos équilibres magnétiques et caloriques, tandis que « nous prenons froid » : nous avons vu comment notre santé, nos équilibres sanitaires, dépendent de nos équilibres mentaux.
Si l’enfant, surtout lorsqu’il est porté dans la chaleur familiale de l’amour, si la jeunesse en général (et même certains adultes, quel que soit l’âge réalisant des caractéristiques données), et si, dans le même sens, un pourcentage conséquent de femmes- qui vont pourtant plus au contact du monde extérieur que les hommes et de la circulation virale sont généralement indemnes de ce Covid, c’est que leur aura magnétique est intacte. Et nous avons toujours vu les ados témoigner, fièrement, de leur résistance naturelle au froid, image de cet équilibre magnétique…
Le rôle de l’aura magnétique dans la protection des maladies est scientifiquement expérimentable, mais pour une vraie science, attentive à la totalité du réel- dont le rôle de l’esprit, évoqué ci-dessus, jusque dans l’anatomie et la physiologie- science qui peut s’ouvrir ainsi à des expériences de plus en plus fines et subtiles…Nous y reviendrons.
B) Mise en cause du principe de l’immunité
Faits dérangeants
Ainsi, enfermés dans les modèles mécanistes de la pensée imposés depuis les répressions de la Renaissance (guerres dites de religion) par les absolutismes (1) puis la Révolution trahie et enfin depuis la 3e République jusqu’à nos jours (1), on n’est pas à ce jour attentif à cela, à de tels faits qui deviennent pourtant des faits dérangeants, contradictoires sous le rapport de la théorie officiellement adoptée de l’immunité : le fait que la masse significative des enfants, et de la jeunesse en général, dans des conditions évidentes de circulation et de présence du virus, soient généralement épargnés par la maladie, mais aussi les femmes plus que les hommes selon des pourcentages significatifs, et sans doute, et quel que soit l’âge, des personnes qui ont gardé leur âme de l’enfance, un lien évident à la Vérité, à la sagesse et à l’amour, nous amène à remettre en cause le principe de cette immunité adopté par la science d’Etat et inculquée dès l’enfance et l’adolescence à toute personne, dès lors qu’elle devient en âge de penser. Selon ce principe essentiellement simpliste et belliciste, on est attaqué par un micro-organisme pathogène ou antigène et l’organisme se défend, réagit par la production d’anticorps, reconnaissant, neutralisant et éliminant cet antigène. C’est donc sur le principe de l’attaque et la défense, typique des conceptions contemporaines de l’existence, que se conçoivent la vie et la maladie. Mais le fait évoqué ci-dessus que toute une importante classe d’individus, la jeunesse principalement, mais aussi les femmes, et toutes personnes quel que soit l’âge vivant selon des équilibres de vie déterminés, ne soient pas atteints par la maladie témoigne d’un autre type de causalité …
(1) Les rois absolus et leurs conseils scientifiques écartaient déjà, à la suite de Paracelse, d’autres penseurs de renom du magnétisme. Cf. notre trilogie : Introduction à l’Histoire des Pays de l’Europe. En passe d’édition.
Autres faits troublants : asymptomatisme et autres faits.
A quoi s’ajoutent le fait, déjà évoqué plus haut, et connu dans bien des maladies, que de nombreuses personnes dites « contaminées », c’est-à-dire en fait « positives à l’agent correspondant », soient elles-mêmes asymptomatiques (sans aucun symptôme clinique) et ne soient pas « malades » au sens concret, clinique, du terme, ce qui est également et dans le même ordre d’idées, significatif. (On le voit souvent pour le Sida ou la tuberculose, et d’autres maladies…) La présence microbienne ou micro organique en général de l’agent dit pathogène n’implique pas, cliniquement parlant, la maladie ! Et l’on ne résout pas le problème en affirmant de ces classes d’individus ou bien totalement épargnés par l’agent pathogène ou bien asymptomatiques, qu’ils sont immunisés parce qu’ils ont un meilleur système immunitaire, ou parce que le dit virus ne peut pas « s’accrocher » et contaminer le sujet en question, ce qui voile un défaut évident d’explication !
Cas de guérison sans production d’anticorps ! Un autre facteur entre en jeu, l’état de l’enveloppe ou barrière magnétique
Et même en cas de maladie avec présence « positive » de l’agent pathogène on a même aperçu un pourcentage conséquent de cas de guérison (30% disions-nous, selon une analyse chinoise citée par France Info, article en ligne, « Positif au Covid, et donc immunisé » ? de Ilan Caro) sans la présence des éléments défensifs invoqués par la théorie immunitaire, c’est-à-dire sans la présence d’anticorps séro-neutralisants chargés de neutraliser l’agent pathogène… (On a même ici soigneusement analysé à plusieurs reprises, au cas d’une apparition plus tardive des anticorps !) (On essaye de dire alors que ce n’est pas l’agressivité du virus qui entre en jeu, mais plutôt la réaction immunitaire du sujet à ce virus, qui serait plus forte chez certains, moins régulée, sinon que nous n’avions même pas de réaction immunitaire chez l’enfance comme d’ailleurs une bonne proportion (un tiers) de malades hospitalisés mais ensuite guéris !)
C’est donc qu’un autre facteur entre en jeu qui, au-delà de la présence de l’agent micro-organique pathogène, neutralise ou non son développement, c’est l’état harmonieux de l’enveloppe ou barrière magnétique initial ou reconstitué, accordé à l’enfance et à la jeunesse, mais variable ensuite selon les équilibres mentaux du sujet donné régulant, par son rapport aux énergies de la nature (nutrition et respiration profonde, conscientes et reconnaissantes, perception lumineuse…), la force de ses équilibres magnétiques…
C) L’immunité repose sur l’état de l’enveloppe ou barrière magnétique : Conséquences
ÊTRE POSITIF N’EST PAS ÊTRE MALADE, ENCORE MOINS CONTAMINÉ ET CONTAGIEUX COMME IL EN EST DANS LA PLUPART DES CAS. (Dénonçons le mensonge qui assimile la positivité à la contamination et la contagiosité) :
La vraie question en réalité n’est pas celle de la contamination au sens de la positivité (qui désigne la présence dans les tissus visés de l’élément pathogène) mais bien celle du bon état de cette barrière magnétique- ou de sa reconstitution (1)- empêchant le franchissement de l’enveloppe par cette « contamination » (cas des jeunes enfants ou la mettant hors-jeu, (cas des asymptomatiques et des guérisons sans production d’ anticorps) c’est-à-dire celle du bon état de cette enveloppe faisant barrière ou non aux agents extérieurs ou les inhibant :
L’existence des « porteurs sains » ou « asymptomatiques » signifie clairement que le microorganisme est là, dans les tissus nasaux pharyngés par exemple (test PCR) et les bronches, ou conjonctifs…(et l’on peut même apercevoir dans certains cas, à l’analyse, des prélèvements de ce test PCR, des excrétions virales du coronavirus, on peut aussi témoigner, à l’analyse sérologique, de la présence d’anticorps correspondants à la nature de l’agent infectieux) mais l’agent infectieux, quoique présent, ne peut pénétrer ou dépasser efficacement la barrière magnétique, un peu comme certaines plantes données, issues des terrains acides, fougères, hortensias ne peuvent prospérer en milieu plus basique, ou l’inverse… C’est la même chose pour les enfants qui au contact des personnes positives, « contaminées », n’en restaient pas moins indemnes… Et non content de ne pas être profondément contaminés, ils ont, quand ils le sont, des formes bénignes de la maladie (1).
- C’est dire ici que lorsque pour une raison ou une autre, l’enveloppe magnétique a été touchée, affaiblie, autorisant la pénétration microbienne ou virale, le fait même de la maladie amène particulièrement chez l’enfant une réaction du moi, le magnétisme se reconstitue, les antigènes n’ont plus leur place, ils sont inhibés, ils se dégradent et sont phagocytés, absorbés par les cellules nettoyeuses appropriées (leucocytes, lymphocytes) … (C’est un peu ce qui se passe dans une période typique d’évolution de la psyché infantile, avec la rougeole : celle-ci, bien vécue et accompagnée, ramène un équilibre supérieur à la phase préalable du sujet, cf. le livre du Docteur Zur Linden, sans doute réactualisé, éditions Triades devenues ed. Esprit ?). L’infection microbienne vaccinale atténuée- et en des moments non appropriés à l’histoire personnelle de l’enfant- prive l’enfant de la réaction naturelle à la maladie et de l’affermissement du moi qu’elle suscite.
Conséquences générales
Dépasser l’ambiguïté des concepts de positivité et de contamination pour éviter de graves confusions : le terme « positif », plus extérieur, désignant la seule présence externe du virus (ou plus généralement l’agent pathogène) n’est pas équivalent au terme « contaminé », plus profond, désignant par l’affaiblissement de la barrière magnétique, le caractère envahisseur de l’élément pathogène se développant au sein de l’organisme
Ainsi, selon les remarques ci-dessus, nous voyons, 1e que ce n’est pas parce que les micro-organismes pathogènes (antigènes) sont éliminés que nous sommes guéris, c’est parce que nous sommes guéris, notre enveloppe magnétique reconstituée, qu’ils sont affaiblis sinon dégradés, dévitalisés dans un milieu hostile, ensuite phagocytés, éliminés (fonction véritable de ces globules)
Notons encore que la véritable peau de l’individu qui détermine une 2e limite entre le soi et le non soi, c’est cette enveloppe magnétique qui, disions-nous plus haut, « enveloppe tous les organes, toutes les cellules de l’être »et qu’aucun individu pathogène, dans les limites d’une vie juste, harmonieuse, ne peut franchir…
Nous voyons 2e que la positivité, n’est qu’un indice de présence d’un antigène, ici viral, au niveau d’un sujet, et de circulation virale externe, elle n’est pas indice de contamination au sens profond du terme (impliquant un état maladif), c’est-à-dire d’un abaissement de la barrière magnétique, abaissement qui seul favoriserait le développement de l’individu pathogène déclencheur de la maladie, elle n’est pas en 2 mots, une contamination au sens strict du terme :
Le concept de positivité en matière de contamination est donc extrêmement ambigu, si la présence d’un agent pathogène dans les tissus organiques, ici un virus, (et l’on retrouve effectivement des excrétions virales, ou bien des anticorps spécifiques), ne signifie pas qu’il ait pu pénétrer indemne la puissante barrière magnétique élevée par le sujet sain. Quand on le retrouve dans la plupart des cas, c’est comme paralysé, dévitalisé… Il n’y a même pas cette notion de combat, typique de nos conceptions guerrières : la Nature s’explicite dans les termes de la paix et de l’amour, qui assure à chacun son existence et renvoie l’élément pathogène, seulement chargé de rendre les organismes décadents à la poussière, à sa juste place… Quant à la contamination proprement dite, au sens strict, mortifère, (il y a dans l’étymologie du mot contamination la notion de souillure), c’est celle nous l’avons vu qui résulte d’un affaiblissement de l’équilibre des sujets, qui dans un mode de vie moderne, ont perdu leur lien aux forces vitales en acte dans la nature, leur sens de la vérité, de la vraie sagesse et de l’amour, et qui abaissant leur barrière magnétique, autorisent dès lors le développement pathogène…
Ainsi, la présence de l’agent pathogène, la positivité, qui peut concerner un ensemble relativement important d’individus, à partir de regroupements festifs ou autres de la vie, et selon la vitesse de circulation du virus, mais sans incidence pathologique n’est donc pas la contamination au sens fort ni même un indice de contamination, de pénétration des individus pathogènes…
Images
La positivité à un agent pathogène nous dit seulement que le fossoyeur est passé devant la porte mais qu’il n’a pas trouvé de mort à enterrer et il est reparti ! Ou que la tempête et le vent ont déposé sur nous la poussière, mais cela reste superficiel, qu’il nous appartient de nous laver et nous purifier. Elle serait un indice de présence et de circulation extérieure du virus, qui est comme telle une condition certes nécessaire à la manifestation de la maladie, mais cette condition n’est pas suffisante… C’est l’abaissement des barrières magnétiques qui permettrait seulement leur pénétration et leur développement. Pour garder l’aspect plus grave prêté au mot contamination, (cette idée de souillure), nous dirons que positif, plus externe, n’est pas contaminé (au sens pathogène) plus interne. Et que nous sommes donc ou nous pouvons tous être positifs à la présence du virus, mais peu seront contaminés : la positivité n’étant au fond qu’un indice de la circulation naturelle du virus… n’est pas un indice du risque de maladie qui dépend surtout de l’état de l’enveloppe magnétique des sujets. Le bon état de l’enveloppe magnétique est un indice du rapport de chacun à ses équilibres personnels, à la vérité, la sagesse et l’amour qui caractérisent sa pure jeunesse ou son rapport à l’enfance…
Ainsi, on peut être positif et n’être pas malade et encore moins être contagieux si les agents pathogènes reçus par le sujet y sont neutralisés comme dans la plupart des cas…
Retenons cela comme chose essentielle aujourd’hui :
ÊTRE POSITIF N’EST PAS ÊTRE MALADE ET ENCORE MOINS CONTAMINE ET CONTAGIEUX QUAND LES AGENTS PATHOGENES RECUS PAR LES INDIVIDUS Y SONT NEUTRALISES PAR L’ENVELOPPE MAGNETIQUE, COMME DANS LA PLUPART DES CAS.
(Il est d’ailleurs notoire que la flambée des clusters et déclaration publiques de « contaminations » en fait de tests de positivité de fin juin/courant juillet 2020/début Août, ne s’achèvent pas dans les 5 à 10 jours principalement sur de nombreuses déclarations de cas graves ni mortalité en série comme au temps de la crise où se comptaient au quotidien les morts par centaines sinon par milliers… La multiplication des tests rend compte de la positivité des foules réunies, mais ce n’est pas là véritablement contamination… Et les familles équilibrées à la rencontre de leurs jeunes ne semblent guère touchées. Dire à la jeunesse qu’on la laissera se contaminer à condition qu’elle ne voie ni parents ni anciens (3 puis 06 Août 2020) est un mensonge car la positivité n’est pas la contamination ni la contagiosité dès lors que la jeunesse neutralise précisément l’agent pathogène, et constitue donc un moyen de pression étranger à toute scientificité.)…
Que le mensonge apparaisse à des niveaux officiels- de la science et du politique- si graves, laissant présager d’altérations permanentes des chiffres et autres manipulations est une caractéristique de la période que nous traversons actuellement et des mutations profondes qui s’annoncent…
D) LE PLUS GRAND RISQUE et l’unique voie de la liberté sanitaire
LE PLUS GRAND RISQUE serait alors, face au Covid 19, plutôt que d’initier aux chemins de la vie visant à régénérer la vie humaine, l’usage universel d’un puissant vaccin qui, certes au nom de quelques cas possibles mais limités de contamination, altèrerait l’équilibre magnétique et mental de l’ensemble des individus et compromettrait la résistance générale à la maladie, y compris face à un retour ou une mutation du Covid… La science contemporaine ne peut jouer à l’apprenti sorcier sur le dos de l’humanité…
Toutes les dramatisations publiques reposent sur cette confusion dénoncée entre positivité et maladie ou contamination, toutes les décisions d’état, l’isolement des positifs, le port des masques obligé en lieux clos ou extérieur, avec de sévères amendes, le confinement ou à défaut la vaccination envisagée et obligatoire, sans compter l’application Stop Covid (renvoyant à une déclaration des positifs conçus comme malades sur les plates formes habilitées), obligation des masques extérieur et confinement, tombent donc à plat et à côté des problèmes posés, et tendent plus gravement à masquer le vrai travail à effectuer auprès des individus en face de tels risques : car il s’agit d’aider les populations à retrouver ce lien « vital » à la vie, ou à le renforcer… C’est ce lien dont les individus ont été détournés par le fait même de l’école publique et d’Etat et sa vision néo jésuite … (Descartes déjà- élevé dans le premier des Collèges Jésuites qui s’imposeront dans toute la France- ne pouvait pas concevoir que le mental et la psyché interfère dans la construction organique…) Il s’agira alors pour nous de se déconnecter de ces dramatisations trop souvent formulées par les médias et de repenser en toute liberté notre rapport à la nature et à la vie, de refonder une école, une vraie science, et une société de l’amour…cf. notre Large Epilogue, vol II de notre trilogie…
La vraie vie repose et reposera sur la douceur de l’amour, sur la sagesse et sur la Vérité : C’est ainsi, et c’est un paradoxe, c’est l’enfant, c’est l’agneau qui est le plus fort, plus que le dinosaure, lequel ne sut combattre ses propres virus et disparut…
II Covid et Réchauffement solaire : l’humanité et « tous les édifices sans bases solides » en question : passage à la question sociale
A) Apocalypse et passage à la Nouvelle Humanité ou la Conversion obligée : on ne peut plus surseoir à l’amour et à la fraternité de tous les êtres
Et si la formation de ces Covids agressifs et ces épidémies est également liée au Réchauffement solaire comme l’annonce en 1920 le maître bulgare Peter Deunov rappelant les prémonitions de l’Apocalypse, s’il nous appartient également, comme il appartient à l’enfance mais consciemment cette fois de nous lier à la Vérité, mais aussi à la sagesse et à l’amour, à ces rayons du divin (voir plus bas sur la question du divin), et de recevoir, dans nos respirations, nos perceptions, nos nutritions, par le seul fait de cette conversion intérieure, tous les éléments élevés (positifs) des énergies solaires, de l’air aussi, de l’eau et de nos fruits vivants, de la nature entière, (comme le pressentait l’Inde et comme l’annonce d’ailleurs le Christ des évangiles, non celui des églises qui le trahissent plutôt, cf plus bas), de renforcer par là nos équilibres magnétiques, notre rapport à la vie, (tandis que ceux qui perdent leur équilibre intérieur ne sont plus en pouvoir d’en assimiler les énergies ni de renforcer leur enveloppe protectrice), c’est alors seulement, par cette élévation à l’Amour sans mensonge et à la vérité- que le monde méconnaît actuellement- que nous élèverons ou fortifierons cette barrière et rejetterons les nouvelles formes à venir, sans doute plus agressives encore, du Covid :
Peter Deunov rappelait ce passage de la Genèse : « Vous mangerez de tous les fruits, excepté un seul auquel il ne faut pas toucher, car le jour où vous goûterez de ce fruit, vous mourrez ! » Bible, Gen 2/16-17. Le fruit interdit nous dit Deunov est l’égoïsme… Et le temps vient où nous ne pourrons plus surseoir, dans le mensonge, à l’amour. (Surseoir, c’est remettre à plus tard). Il disait en ce sens, dans une de ses multiples conférences, le 19 Août 1920, dans l’après-guerre, que les prédictions du Nouveau Testament et de l’Apocalypse de Jean allaient se confirmer, avec une Nouvelle Vague céleste, la venue de ces 144000 élus ou entités élevées citées dans la Bible, qui représentent le chiffre 9, la perfection divine, plus qu’un nombre réel… (1) Ces élus sont déjà parmi nous- on les reconnaîtra à la force de leur amour, à leur capacité à se sacrifier pour leurs proches, à leur sens de la vérité. Ces élus auxquels il nous invite à nous joindre sont les édificateurs de cette Nouvelle Idée, la Nouvelle Humanité fraternelle et libre. Cette Nouvelle Vague qui arrive du Soleil « comme le mugissement des grandes eaux ou le grondement d’un orage violent » Apo 14, nous obligera dit-il à « changer notre cœur de pierre » :
(1). Il serait enfantin de croire que l’homme actuel est le final de l’évolution : des êtres élevés, formés depuis des milliards de milliards d’années existent- dans des corps bien réels mais de pure énergie lumineuse, invisibles à nos sens grossiers, animaux- et, dans l’infini amour de Dieu, ils soutiennent l’univers, les systèmes solaires, les galaxies, et interviennent à des moments donnés dans l’évolution des planètes, soit de façon invisible, mais mentale, suggérant nos évolutions, soit visiblement, tels les grands « envoyés » qui, soutenus par les grands êtres spirituels, ont défini de 2000 en 2000 années, les phases évolutives de notre humanité, pensons à l’Inde et aux écrits de la Baghâva gita, ou à Hermès en Egypte ancienne (la conscience de la loi apparaît, en opposition à la conscience tribale gouvernée par la tradition), à Zoroastre et au développement de la conscience du bien et du mal chez les Perses, à Orphée en Grèce, tandis que se forme la conscience individuelle du juste et de l’injuste, etc… L’univers est peuplé d’êtres invisibles qui nous entourent même souvent, qui nous influencent, et que nous n’apercevons pas mieux que la fourmi n’aperçoit l’homme sur lequel elle peut grimper quelquefois…
Epreuves : « Aucune grande catastrophe ne nous attend… » ajoute Peter Deunov, « mais Il est vrai qu’un grand choc surviendra, (qui) touchera tous les édifices sans base solide, tous les arbres desséchés… Une grande Idée vient, une loi, un souffle qui nettoiera tout ce qui est gâté… » (atteint de pourrissement, putride).
« Lorsque les souffrances croisent votre chemin, n’en cherchez pas la raison. Je dis : le Soleil– ce centre d’une haute spiritualité ajoutons-nous, image ou rejeton de l’éternel soleil divin selon Platon- est la cause de tous les malheurs et de toutes les joies sur la terre. Il fait naître toutes les inondations, toutes les épidémies. Il provoque les tremblements de terre, il est à l’origine de tout ce qui se passe dans la Nature entière… Mais le Soleil dit : « En faisant preuve de Sagesse, vous pouvez utiliser raisonnablement mon énergie– d’abord spirituelle- et alors je répandrais sur vous toutes les bénédictions ; mais si vous ne faites pas preuve de sagesse, je vous infligerais les plus grandes souffrances… », p 83, du livret de conférences, Beauté de la Vie. Conférence sur la Nouvelle Humanité, 1920. (Car « les souffrances sont nécessaires au développement de l’homme ») …
Ainsi, « tous ne mourront pas mais tous devront se transformer » comme prédisait l’apôtre Paul. Si les effets du rayonnement solaire, cette vague mugissante d’entités élevées nous dit l’Apocalypse de Jean, descendant du ciel, et du soleil exactement pour nous obliger à ne plus surseoir à l’amour et à la fraternité des êtres, si ces effets s’accroissent : les inondations, les tempêtes et les tremblements de terre, et la densité des épidémies dans les années à venir nous y obligeront. Le Réchauffement solaire est engagé depuis déjà un siècle et va en s’accroissant depuis l’an 2000 environ.
Aucune mesure extérieure, d’isolement ou médicale, ne nous dispensera du devoir contemporain notre conversion intérieure et, telle la vaccination, risque au contraire de corrompre l’équilibre magnétique des individus, et de l’enfance en premier :
Tout comme le Réchauffement solaire et ses conséquences climatiques, inondations et tempêtes, la densité des contaminations nous obligera à cette conversion. On ne pourra même plus envisager d’enfermer des nations, l’humanité entière dans une bulle, et les priver du rapport vital à la nature et à l’altérité- c’est-à-dire l’autre et la construction sociale- à la vision régénératrice (en live) du visage intégral de l’homme, du rapport à l’art et la musique déjà affaiblis et qui sont les premiers touchés, sans compter les conséquences économiques désastreuses, et condamner la vie réelle et les échanges réels, au risque d’une mort collective, dans l’âme et dans le corps, on ne pourra même pas imaginer de soumettre l’humanité à des interventions médicales généralisées , telles la vaccination, avec le risque de corrompre précisément l’équilibre magnétique des êtres que seul l’amour, la sagesse et la vérité peuvent rétablir.
On ne peut faire sombrer l’humanité dans une voie risquée, isolement, perte du rapport à la nature et à l’autre, vaccination généralisée, sous prétexte de sauver ceux qui refuseront cette conversion à l’amour :
On ne peut même ici risquer cet affaiblissement, une mort collective de nations entières- confinées, privées du rapport aux forces vitales de la nature, altérées dans leurs équilibres par des interventions extérieures, telles le vaccin- pour sauver illusoirement quelques individus de l’épreuve et de la mort parmi ceux qui refuseront cette conversion à l’amour, seule voie de toute guérison réelle des personnes, jeunes ou âgées… ! (1) Et ceux qui prendront sur eux de soutenir tous les mensonges pseudo scientifiques et de masquer à notre humanité l’urgence de ne plus surseoir à l’amour et à la fraternité (de retarder un tel passage) prendront sur eux et sur leurs familles une grave responsabilité, sans pouvoir véritablement ralentir le phénomène…
- (Et d’autant que la mort au sens définitif n’est qu’un mythe créé par les forces théocrates, (qui veulent imposer par la force des Etats leurs conceptions religieuses- théo- ou morales- surtout à partir des XIIIe/XIVe siècles, sur lequel on s’appesantit encore bien trop aujourd’hui. La conscience, l’amour en nous, la pure pensée, ne sont pas d’essence matérielle et n’ont rien à voir avec la disparition du corps. On a besoin de notre corps actuel pour accomplir nos tâches, mais la mort en soi n’est rien. Elle est le moment où nous laissons notre vêtement usé pour en prendre un autre, une quarantaine ou 50 années plus tard, une poignée de minutes en temps divin ?
B) Nécessaires Mutations Sociales et Politiques
Nous avons montré dans nos ouvrages comment les forces théocrates ont avili, appuyées sur les Inquisitions, puis les Absolutismes, (en France particulièrement et en Europe en général) et au final sur la Révolution trahie, tout l’idéal d’un Dieu des consciences et d’amour, tous les idéaux de fraternité et de paix qui avaient depuis longtemps élevé nos Peuples, porté dans la liberté nos anciennes Communes actives et fraternelles. La force de nos cultures en avait résulté. (1)Mais- en 1789- la confiscation des Communes primitives et fraternelles, et de leur liberté, au profit du parlementarisme étroit (jacobin), l’aliénation des populations déracinées aux partis, l’esprit de guerre et de domination de quelques poignées de parlementaires, et les graves cataclysmes mondiaux et ces millions de morts de ce XXe ont laissé, dans l’après-guerre, avec un enseignement d’Etat matérialiste sans précédent- qui masque même cette histoire comme la grandeur de la Nature- ont laissé donc les âmes humaines exsangues et vides, la chute manifeste hors de l’amour. Elles sombrent aujourd’hui dans « une culture du droit et du manque d’amour », devenus règles de vie, dans l’égoïsme et la recherche du plaisir, jusqu’à ces crises socio politiques contemporaines sans issues, ces inégalités mondiales, ces violences sans fin tandis que notre jeunesse aimée est toute désemparée… (Cf. la trilogie en passe d’édition : Introduction à l’Histoire des Pays de l’Europe, Vol I Le bogomilisme européen fondateur, Lyon, Renaissance, Vol II, Communes fraternelles et Révolution française trahie, Vol III, Pays de l’Europe, Flandre, Lille, Italie, Vinci. Causes Guerres Mondiales, Pays Bas, G.B. etc.)
Signification historique de la notion de Nouveau. L’Idée fondamentale du Nouvel Enseignement, qui marquera les civilisations à venir de notre humanité, c’est la pure fraternité de tous les êtres humains…
Il n’est donc plus permis de s’enfermer dans nos égos : la nouvelle vague qui vient annonce la Nouvelle Idée : Le Nouveau dans l’histoire, c’est la naissance et la fondation d’une nouvelle culture sous des impulsions spirituelles manifestes. Les cultures se sont historiquement succédées, toujours sous l’impulsion des grands maîtres, apportant chaque fois à l’humanité quelque chose d’essentiel, un acquis pour l’humanité entière. On est passé par exemple de la conscience grégaire, tribale, semblable à la conscience des abeilles, fondues dans le tout de la ruche, à l’éveil à la conscience individuelle grecque (antique), toujours à titre d’exemple, qui profita à nos cultures occidentales et contemporaines.
L’Egypte ancienne, l’Inde, la Perse, Israël, la Grèce antique, Rome, le Monde Arabe, par exemple, et puis les évolutions médiévales jusqu’à notre Renaissance sont autant de cultures qui ont préparé les états actuels de l’Humanité… Elles ont toutes, culturellement parlant, une naissance, une apogée, et une fin… Mais aujourd’hui cette nouvelle évolution, nous appelle, sur les bases des acquis antérieurs de la conscience, à laisser ce qui est vieux, à former cette humanité aimante et fraternelle. C’est là l’idée fondamentale du Nouvel Enseignement, c’est la fraternité… (il n’est surtout pas question de secte, c’est toute l’humanité qui est concernée), et elle ne nous laissera pas le choix : nous devrons changer notre cœur de pierre pour un cœur plus sensible sans quoi nous ne serions plus en mesure de transformer les énergies émanées du Soleil. Notre culture s’est enfermée dans l’égoïsme, la violence, et le mensonge, voyez même ces évêques dit Deunov en vêtements sacerdotaux et limousine de luxe, abritée des mauvais coups, au lieu d’aller secourir en habits de simplicité les plus pauvres : c’est l’amour qui seul devra nous distinguer…
La nouvelle loi d’amour, celle de la Nouvelle humanité : tout doit être changé
Ainsi, la Nouvelle Humanité arrive et demande que chaque être humain maîtrise son égoïsme, sans mensonge, et qu’il soit juste, sage et bon… « Qu’il soit honnête au point de ne jamais sacrifier les intérêts des autres à son propre profit, mais toujours ses intérêts en vue du bien de son prochain… Les gens meurent aujourd’hui parce qu’ils servent cette vieille culture selon laquelle l’homme est un loup pour l’homme. Mais le Christ, (cf. plus bas)nous dit : « Vous êtes tous mes frères… »
(Prenons cela en vérité, ne le prenons pas cela à la manière du sermon des églises trop humaines : vous êtes mes frères, cela veut dire : « Je ne vous juge pas, ni ne vous renverrais devant aucune justice humaine ou religieuse, à la différence de ces églises Je sais que vous provenez de Dieu, en votre fonds ultime, et que tôt ou tard, quels que soient vos défauts, vous vous relèverez, et je serais toujours là pour vous aider en cela, et surtout si vous êtes en grand danger… je porterais des habits ordinaires, ceux de l’amour, je saurais voir vos qualités, je vous aimerais, je vous aiderais matériellement s’il le faut, et je vous parlerais dans le ton de l’amour et dans la vérité »… Ce Christ ne « pontifie » dans aucune église de pierre mais se tient seulement parmi ses proches et par l’humanité entière, il est capable de les guérir par son seul amour, mais préfère surtout les mettre sur le chemin de la vérité afin qu’ils guérissent par eux-mêmes, comme font les bons médecins !)
Deunov disait : « Hommes et femmes, vivons selon la loi d’amour… » Déjà dans les couples et la vie maritale, que l’homme et que la femme, attentifs aux qualités (divines) de l’autre, oubliant ses défauts, et tenant leurs promesses, s’aiment sans le dire, et se soutiennent mutuellement, (c’est ainsi que le Christ descend sur la terre !), qu’ils soient un pilier l’un pour l’autre, « mais ils doivent posséder leur liberté intérieure et ne pas se réduire à l’esclavage »… Il est juste qu’ils accomplissent leurs tâches universelles, délibérément, seuls ou avec l’appui de l’aimé(e), et les sympathies de leurs proches… Ils tendent à fonder leur relation sur une culture d’amour et non sur la sexualité (1) qui ne constitue aucunement le ciment de leur relation- voyons la modernité et ses divorces- et ils tendent plutôt, peu à peu, sans violence contre soi-même et sans aucun refoulement, à s’en libérer, en évitant par exemple de se laisser investir, intérieurement, par ces nombreux fantasmes étrangers qui « allument » cette sexualité et dépossèdent l’homme de lui-même ; Le refoulement serait alors vain et déséquilibrerait le sujet… Leur vigilance intérieure est donc décisive, et cette faculté- la vigilance- se développe rapidement…
- Sur la sexualité : Le plaisir limite le rapport à l’essence- divine- de l’amour, et à la vérité : « le bien n’est pas le plaisir » disait en ce sens Platon, bien qui réside dans la relation à l’amour, la sagesse et la vérité divines, et « le plaisir est un clou pour l’âme »… Nous voyons aisément que l’usage général de la sexualité en vue du bonheur n’a pas apporté le bonheur attendu à nos cultures contemporaines…
Ainsi, « un seul être aimé est suffisant », en un plan marital, un être que l’on a apprend à aimer, à force d’intelligence et de cœur, mais cela n’est pas incompatible avec le fait que chacun des amants aient des sympathies, des liens profonds, des relations mais platoniques avec d’autres personnes (qu’ils retrouveront tout aussi bien dans leurs vies futures). (Et si la relation avec l’aimé(e), parfois difficile, est en réalité un lien karmique à régler, particulièrement par les temps actuels, par suite d’une violence commise sur celui ou celle-ci, raison de plus pour apprendre à aimer celui que l’on n’a pas su aimer par le passé, par quoi on se libère seulement de ce karma…)
Il nous suffit d’aimer le divin en chaque autre, même nos ennemis, ou des gens difficiles, pour que nos cœurs s’adoucissent. Chaque être humain est le visage de Dieu. Si nous ne pouvons aimer notre prochain ni nous sacrifier pour lui, c’est que nous n’aimons pas Dieu dit Deunov, « que les jeunes hommes et jeunes filles tiennent donc la parole qu’ils se donnent et qu’ils se tiennent prêts à n’abandonner jamais l’être à qui ils ont fait cette promesse. Et ainsi dans tous les domaines ! C’est comme cela que le Christ (1) pénètre dans le monde C’est ce que prêche la Fraternité », ces 144000. Et si nous avons échoué en cela, nous le réparerons dès que nous le pourrons, même dans une autre vie…
(1). Le Christ : Il ne s’agit pas du Christ des catholiques que bien des cultures ont à raison dénigré, mais d’un grand frère spirituel, qui n’a pas connu la chute, un être d’une très haute culture dans l’univers profond, venu s’incarner sur la terre, et qui s’unissant, par-delà ses terribles épreuves, à l’Amour, à la Sagesse, et à la Vérité qui sont rayons divins, put les manifester à notre humanité déchue afin qu’elle se relève, à son image, par les liens retrouvés à cet Amour, cette sagesse, et cette Vérité… « Dieu seul est Amour », le pur amour- c’est son essence même- et c’est par le Christ que nous entrons précisément en contact avec l’Amour de Dieu… C’est parce qu’il s’unit sur la Terre à l’Amour, à la Sagesse et à la Vérité, à la Justice divines, quelles que soient les tentations et les épreuves, et Les manifeste au monde, qu’il reçoit l’onction divine et qu’il devient Christ (selon l’étymologie, revêtu, enduit- de l’Esprit divin)…
Il disait lui-même : « Pourquoi m’appelles-tu « bon maître » ? » Il n’y a de bon que Dieu seul ! » En deux mots, le Christ des catholiques est Fils de Dieu en soi, tandis que celui de l’Evangile est Fils de Dieu parce qu’il le devient, parce qu’il s’unit, quelles que soient les épreuves, à l’Amour, la sagesse, la vérité divines. (Il aurait sans doute pu comme Satan se laisser aller à la tentation et chuter). Mais il est dès lors la pure manifestation de Dieu, sa Parole est la parole de Dieu et, par lui et par les êtres angéliques qui le soutiennent, l’Amour, la Sagesse, la Vérité divines enveloppent le monde et nous inspirent pour peu qu’on les accueille… Il ouvre en tout ces sens un chemin pour nous tous et nous appelle à devenir à notre tour Fils de Dieu, emplis d’une haute puissance spirituelle, divine ! Peu importe en un sens si le Verbe- la Parole- est par lui venu au monde, et « si le monde ne l’a pas reçu » : il a éveillé et il éveille en nous constamment ce profond Verbe enfoui depuis la chute de notre humanité, c’est le divin en nous, au fondement de notre essence primitive. Fin de la note
Ainsi, « Tout doit être changé dans le monde : Aucun peuple n’a le droit d’exercer de violence sur un autre peuple, aucune société ne peut utiliser la force contre une autre, aucun homme n’a le droit d’en contraindre un autre ». La Nature ne le permet pas, et pas plus ajoutons-nous au nom d’un Etat soi-disant démocratique, (et d’un bien être collectif), conception qui résulte d’un détournement de la véritable pensée comme de la libre expression des individus en leurs communalités autonomes. L’école doit nous rendre à la beauté de la Nature et à sa profonde Vérité, (cf. notre Epilogue, Vol II, Trilogie) : « Tous doivent vivre aujourd’hui- sans mensonge- selon cette grande loi d’Amour » dit notre penseur. Le monde n’a pas su faire un bon usage de son libre arbitre quand il le pouvait. Il va dans le précipice. Et il devra changer quoiqu’il en coûte ! La vague solaire redoublera s’il le faut : « Tous ne mourront pas dit l’apôtre Paul, mais tous seront changés », ils se délivreront de leur égoïsme, leur cœur de pierre s’adoucira !
« On ne peut se contenter dans une vie que de boire et manger » ! C’est lorsque nous ne vivrons plus au détriment des autres, avec de bons salaires, tandis que de pauvres journaliers tissent nos vêtements, assemblent nos portables, et extraient, en Afrique ou ailleurs, pour un morceau de pain, les minerais dont nous tissons notre richesse, nos appareils et nos ordinateurs, nos salaires d’ingénieurs, nos biens luxueux, nos voyages et nos bains de langue à l’étranger, c’est seulement lorsque nous nous sacrifierons et travaillerons en vue du bien d’autrui et de nos proches, et que l’amour sans mensonge emplira nos cœurs en vue de leur élévation, quand bien même seraient-ils de difficiles délinquants, des criminels même- ainsi devenus car ils n’avaient pas les mêmes conditions d’existence que les nôtres- et même et surtout envers nos ennemis- le vrai Christ pleurait pour ces criminels- c’est lorsque nous leur parlerons en vérité et, plein d’amour, de la vraie vie, c’est alors que nous concevrons et que naîtra cette fraternité de tous les êtres, en un seul Dieu, dont la vérité, la sagesse et l’amour sont les rayons… C’est alors seulement, par-delà toutes les religions, que nous atteindrons à la plénitude et à la vie. Nous ne mourons que parce que nous perdons notre pureté, notre amour, dit Deunov, nous nous laissons aller à l’anxiété et au doute… C’est dans l’amour- la porte étroite- que nous vainquons la mort ! Et dans la pureté qui le préserve, quelles que soient nos épreuves… C’est là le seul enseignement du Christ : la mort à vaincre, ici et maintenant ! (Cf. Ev Jean, 11/26). Quant à ceux qui meurent, il dit « Laissez les morts enterrer leurs morts… ! (Les morts dans l’âme, et proches d’êtres morts… Nous devons aujourd’hui apprendre à nous relever.)
Nous avons tout un redressement à faire pour transformer notre cœur de pierre. Donnons leur chance à tous les êtres, quels que soient leurs crimes passés, ne cédons pas nous-mêmes à la tentation de la violence, nous ne vaudrions pas mieux qu’eux. Mais ceux qui refuseront cette conversion, les dinosaures, seront par là même, en disharmonie avec les lois de la Nature. Ils s’affaibliront et entreront dans des cycles inférieurs de l’évolution…
La Nouvelle Jérusalem, la société future
Il est dit dans l’Apocalypse de Jean- étymologiquement, « la révélation », celle des temps futurs- « qu’il n’y aura plus de Temple », c’est-à-dire de religion extérieure, que cette Nouvelle Jérusalem de l’Amour « se passera de l’éclat du Soleil et de la Lune », symboles des lois extérieures des Etats, et des religions elles-mêmes extérieures, « car la gloire de Dieu l’a illuminée, et car l’Agneau– symbole de l’amour, la fraternité- lui tient lieu de flambeau », Apo, 21/22… L’amour seul dirigera ses pas et ses actes, et la douceur, qui est la forme extérieure de l’amour dit Deunov. Ainsi, un monde de l’Amour est annoncé- où les gens connaîtront leur fraternité- et s’imposera comme la seule loi de l’évolution future…
Et c’est lorsque nous nous attellerons, les uns les autres, comme dans ces Communes fraternelles et actives- Communes de l’amour initiées depuis le Moyen Âge, mais tellement combattues par les forces théocrates (cf notre trilogie)- au bien de tous les êtres, nos frères et nos sœurs, c’est dans l’amour, la sagesse et la vérité que nous connaîtrons notre liberté !
C) L’Economie nouvelle de l’Amour
Nos intellectuels s’inquiètent, au regard de la seule économie concevable pour eux, l’économie de l’intérêt, l’économie des égos : pour limiter le chômage mondial en son développement post-Covid exponentiel, il faudra relancer l’économie mondiale, au risque de retomber dans les mêmes travers, celui d’une économie non durable, accompagnée, paradoxalement, d’un nombre de chômeurs de plus en plus assurés… Et elle recommence précisément par cela : les licenciements, la mise au rebut des intermittents, intérimaires et toutes sortes d’auxiliaires habituellement précieux, et les activités culturelles, marginalisées ! C’est l’économie non durable de l’exclusion et de la guerre comme conséquence, on ne peut envisager sérieusement aujourd’hui de recommencer ! Mais l’autre économie sera l’économie de la Vie, celle de l’Amour, de la Sagesse et de la Vérité, où chacun se mettant au travail en vue du bien d’autrui aura toujours un plein emploi, seul gage du partage équitable des biens de l’humanité et trouvera dans le tout des nouvelles Communes de l’amour toutes les assurances sur la vie, celles que donne l’amour ! Car l’économie de l’amour qui est aussi l’amour pour tous les êtres et la Nature entière est évidemment le seul gage d’une économie durable et de plein emploi… (Voyez notre Large Epilogue, au livre II de notre trilogie, Introduction à l’Histoire des Pays de l’Europe…)
Nous avons montré, dans cet Epilogue, qu’un tel travail en vue du bien de tous et de l’accomplissement de l’humanité, c’est-à-dire une production des véritables valeurs nécessaires à cet accomplissement requiert le travail de la totalité des êtres humains comme l’organisme a besoin de la totalité des cellules qui le composent et qui produisent chacune une activité spécifique : le chômage y est alors, naturellement, inconcevable… (Il faut par exemple peu d’hommes pour faire un pain industriel, mais beaucoup d’hommes pour faire un pain véritable, des familles d’hommes, et de même pour élever les âmes humaines. L’amour des mères par exemple, qui conditionne dès la conception d’ailleurs, puis durant la grossesse et l’enfance, l’élévation de leur progéniture, n’est pas mécanisable… (Pas plus l’enseignement des véritables maîtres d’écoles, poètes et musiciens, et penseurs de la vraie science). Dans les nouvelles Communes évoquées qui se créeront, où chacun se fera pour tous tandis que tous se feront pour chacun, selon l’amour et selon leur génie propre, selon les capacités extraordinaires de chacun, se créeront en toute liberté les nouvelles écoles de l’Amour et la pure production de l’homme et des vraies valeurs nécessaire à son accomplissement… On y produira de bons pains, un bon enseignement, une vraie culture attachée à l’accomplissement de tous les êtres, et chacun travaillant selon son génie propre pour chacun dans une haute culture du véritable bien, recevra en retour l’amour de tous ses proches qui assureront sans cesse sa protection sociale, sa retraite, et le protègeront en cas de difficulté… L’amour, ce rayon divin, est la mère de tous et tous l’honoreront sans cesse…
Dans ces nouvelles Communes, l’entraide permanente et l’amour seront la protection, la sécurité sociale et individuelle de chacun…
Dans ces communes de l’amour, une entraide permanente entre tous les âges, la protection sociale et la sécurité seront spontanées, assurées naturellement par l’amour des uns envers les autres, et la retraite et l’accompagnement permanent des plus fragiles, par la seule loi d’Amour et de vraie justice. La vraie culture, la poésie, la musique y seront constamment enseignées, et les hommes, élevés à l’amour, à la sagesse et à la vérité, qui sont en eux les rayons du Divin, s’emploieront à aider, matériellement d’abord- il y a une évidente vérité du Marxisme- tous leurs proches et à les élever. Ils s’emploieront ensuite, autant que possible, à entraider les Communes voisines, les banlieues en péril, tellement déracinées et puis abandonnées, et celles des pays en difficultés, et l’Amour, le vrai amour, d’essence divine, leur donnera toute puissance…Mais si tout doit se résoudre dans et par l’Amour, d’essence divine, qu’il nous faudra trouver au fond de nos consciences, voyons aussi que ceci n’est pas un idéal utopique car nous n’aurons pas le choix !
D) La Question du Divin : « Ne nous parlez pas du divin ! »
Vous dites : « Ne nous parlez pas du divin, au nom duquel on a commis tant de crimes et opposé tant de religions et de peuples, nous ne pouvons plus y croire aujourd’hui ! » Mais il ne s’agit pas de croire, en un sens subjectif, ni de ces convictions trop humaines au nom desquelles on a commis tout ces crimes et sacrifié l’amour, et la sagesse et la vérité, et au nom desquels on a soumis nos consciences, notre liberté, imposé par exemple depuis une poignée de parlementaire, un système d’Etat tellement limité, où la responsabilité personnelle est exclue et où un enseignement matérialiste, plutôt que de nous libérer nous oppose les uns aux autres !
Le Dieu dont nous parlons n’est pas seulement dans le profond univers, qui nous adombre et nous construit de ses rayons, et ce ciel étoilé qui nous donne à voir le mystère du monde, il n’est pas seulement dans la lumière solaire dès l’aube et dans le bleu du ciel qui soutiennent la Vie de tous les êtres, dans la beauté des vents et les tempêtes, dans l’air vivifiant que nous inspirons, dans l’eau et dans les fruits et dans le pain sacré qui nous soutiennent et manifestent en nous le Verbe et la force de nos pensées, nos sentiments, la volonté en nous. Le Dieu dont nous parlons est en nous :
« Dieu n’est pas une forme quelconque extérieure à l’être nous dit Peter Deunov. Dieu est la Source de la Vie. Quelle est la plus grande bénédiction de la Vie ? Toutes les impulsions, toutes les joies causées par le sentiment extérieur d’exister, de vivre. Vous vous levez le matin, régénéré, alerte, vous regardez le soleil se lever…Et vous vous réjouissez d’avoir quelque petite idée à réaliser pour le travail du nouveau jour qui commence »… « Quand on parle de Dieu, on doit inclure dans Sa conscience tous les êtres du plus petit au plus grand. Dieu veille de la même manière sur tous les êtres. La Source de la Vie jaillit de Lui-même- en chacun- et Il prend soin de cette vie. Il n’existe aucun être aussi grand, aussi noble, aussi bon, aussi secourable que Dieu. La Vie de l’Univers entier est contenue en Dieu. »
Et nous serions sans cesse Vivants et rempli de joie, de lumière et d’amour si nous ne nous en détournions pas nous-mêmes par notre manque de vigilance face à d’infinies tentations auxquelles nous cédons, qui obscurcissent en nous ces impulsions de l’amour, de la pensée et de la vérité…
Dieu est au fond de nous-mêmes et de tous les êtres de l’Univers- qu’ils soient ou non visibles à nos sens animaux si grossiers : il est dans le puissant instinct des hirondelles et des martinets qui franchissent les infinis espaces et assurent la survie de l’espèce, du chien qui aboie et garde la maison de son maître, Il est dans le tréfonds de la conscience humaine, du médecin qui s’attache, dusse-t-il y penser longuement, à résoudre les problèmes épineux de bien de ses patients, de la mère qui se tient au travail avec courage pour élever ses jeunes ados, (et du plus profond de son être quelque chose lui dit : tiens bon, tu parviendras à tes fins, et tes enfants deviendront des héros de cette humanité !) Il est aussi dans la conscience de l’enseignant qui œuvre à l’élévation de la jeunesse, avec application ou dans la liberté du chercheur, dusse-t-il entrer en contradiction avec le monde. Il est au cœur de celui qui arrose une petite plante oubliée, avec amour ou bien qui recueille un martinet affolé, à terre, par le bruit des voitures et par la canicule collée au ras de l’asphalte, pour l’élancer dans les airs, et pour le rendre à sa liberté atmosphérique.
Et pour peu que nous vivions d’une vie calme et sereine et nous levions de bonne heure, dans les heures qui annoncent et apportent le lever du soleil, des pensées élevées surgissent en nous, des sentiments généreux et de nobles vouloirs, de petites pensées parfois qui nous demandent d’écrire à un ami, ou d’aider une telle, avec tout notre cœur, Dieu est en nous et est en toute chose…
Le Divin est en nous et nous Le connaissons chaque jour !
Il est ainsi cette impulsion dans le tréfonds de notre être qui nous appelle à apprendre, à atteindre des buts, des connaissances, un métier, un rôle intelligent et utile dans la société, et à travailler avec cœur, à accomplir autant de petits biens et cela, c’est la Vie en nous dit encore Deunov. La Vie n’est pas une chose matérielle que nous pouvons observer extérieurement, nous la connaissons en nous comme cette impulsion à nous lever, à accomplir nos buts, à relever nos proches, elle est notre Commencement, le Verbe divin en nous, « qui de tout être (est et) était la Vie »… (Prologue de Jean, Evangile.)
Puissante impulsion qui nous met au travail, sans cesse, sans cesse repensant, corrigeant, améliorant, elle est la présence divine en nous qui coïncide avec notre essence profonde- « et cette Vie est la lumière des hommes », qui nous est donnée, pour peu que nous la recevions, que nous la servions aussi et ne la troublions pas disions-nous, par des conduites injustes sinon impures, c’est-à-dire étrangères à notre vouloir originel. Par quoi cette force qui faisait notre jeunesse s’étiolerait… Lorsque nous la troublons par des violences, des injustices, cette Vie divine se retire, s’éloigne, on perd notre jeunesse, notre idéal, la force même de toute existence : « on vieillit », par-delà l’âge des tissus. Les Dieux disait Socrate quittent l’homme injuste !
La Vie se retire, et les Coronavirus et autres microorganismes prennent alors le dessus sur notre organisme défaillant, accomplissant justement, leur rôle de fossoyeur… !
Tous les chemins de l’initiation ne sont là que pour cela, pour nous apprendre à nous réconcilier avec nous-mêmes, c’est-à-dire avec notre essence divine, quitte à nous libérer de tout ce qui entrave notre rapport à cette voix, cette intériorité encore trop vague, trop lointaine… On nous dit en ce sens : voyez dans l’autre ses qualités divines, oubliez ses défauts qui les accompagnent comme les puces et les poux accompagnent le vivant… Si ces défauts, ces puces et ces tiques viennent en lui, c’est bien parce qu’il est vivant dit Deunov, ils ne viennent pas sur les morts ! Voyons plutôt ses qualités, d’essence divine ! … Ouvrons-nous donc à l’Amour, laissons Le jaillir en nous : Apprenons à aimer sans attendre d’être aimé, et nous serons heureux, par-delà les épreuves… car cet amour en nous est un rayon divin, qui ne supporte aucune altération. Implorez-Le, accueillez-Le, Aimez le divin en vous-même et hors de vous, aimez Dieu qui se tient dans toutes les consciences de l’Univers infini et qui nous tient dans Sa conscience à chaque instant dit Deunov… Aimons-nous nous-mêmes et aimons notre proche, ce qui est à la mesure de cette estime envers nous-mêmes : Aimons-nous nous-mêmes, car le Dieu est en nous et nous sommes en Lui et par Lui qui se tient et soutient toutes les consciences…
Ne nous opposons pas non plus au mal, qui nous chargerait de toutes ses dettes…dit Deunov. Laissons-le passer son chemin, c’est ce que savent tous les grands sages.
Une méthode pour avancer sûrement dans notre voie, c’est de lire chaque jour quelque beau texte initié, qui vous donnera force et joie, dont les textes de Deunov, ou les paroles du Christ et de la Bible, et d’autres encore, en s’attachant toujours et seulement, par la force de votre esprit, à ce qui est vrai et beau ! (Par les traductions, transcriptions, etc… les hommes altèrent toujours un peu ou plus radicalement les grands textes originaux)…
La question du plaisir. L’homme n’est pas un Bonobo !
Un ami cher me répond alors : pourquoi nous élever au pur amour, pourquoi « aimer sans attendre d’être aimé » qui est peut-être le pur gage de l’amour mais qui nous prive ainsi des plaisirs de la vie ? Nous répondrons et vous nous comprendrez si vous avez été un jour amoureux, qui n’est cependant qu’une image du véritable amour- celui qui se cultive et se multiplie sans cesse : vous comprendrez que la plus grande des joies est d’aimer, (plus encore que d’être aimé, les jeunes le savent très bien), et que la question du plaisir passe vraiment en second plan, même si la nature nous l’accorde dans le moment de la conception ! La société moderne nous ayant désappris d’aimer, nous appelle à la satisfaction du désir sexuel et à la culture du plaisir, pour le plaisir, pour compenser en quelque sorte le vide laissé par ce même manque d’amour !
Mais la recherche du plaisir pour le plaisir, chez les singes Bonobos aussi, comme chez les humains malheureux, est une conduite d’échec, visant à masquer leurs angoisses face à des contradictions qu’ils ne résolvent pas pour autant ! (Cf articles courants, en ligne, Bonobos). Et l’homme ne se modelant pas sur les conduites animales ou d’échec des autres hommes, et sur des comportements de violence inénarrables, inscrit ses conduites, y compris la conception de l’enfant aimé, dans le pur amour, dans la sagesse et dans la vérité…qui l’emplissent de toute plénitude. Il est vrai, outre sa précieuse sexualité, que l’homme a un intellect développé, appuyé sur un cerveau complexe, capable de capter des pensées créatrices nouvelles, émanées des êtres élevés, invisibles à ses sens grossiers, qui l’entourent, et par là du divin, et de les adopter par le fait de son libre arbitre, il a encore un puissant cœur, faculté du sentiment, appuyé sur son pôle rythmique- cœur, poumon, circulation- capable de former de là le subtil rayon de l’Amour, et une volonté universelle, capable de construire ses justes désirs dans le temps, appuyée sur l’estomac et les membres…
L’apparition de l’homo sapiens est d’ailleurs marquée par l’apparition d’un menton, signe de cette volonté, qui le distingue des animaux et des autres hominidés, qui lui permettent l’accomplissement dans le temps d’un juste vouloir, universel, conformément aux impulsions profondes de son être et de son intime participation au divin, qui est son essence originelle. L’être humain peut ainsiconcevoir et accompagner, dans le pur amour, de futurs héros de l’humanité (que la mère aimante peut, dès le stade embryonnaire, élever d’une façon décisive en lui communiquant les plus grands idéaux…(Cf note ci-dessous sur la femme) Le plaisir proprement sexuel comme celui de la nutrition reste chez l’être humain tout à fait relatif et ne prend, dans l’amour et la volonté créatrice, aucune forme addictive ou faussement compensatoire comme c’est le cas dans nos sociétés modernes…
Aimer Dieu, Aimer le divin en nous comme notre essence profonde, et le Divin en chaque autre
Et l’homme, en concevant ainsi l’Amour de Dieu, cette profonde conscience universelle et cosmique qui lui a fait et lui fait don de la vie et de la santé à chaque instant, qui lui fait ce don permanent de la pure pensée et de l’amour, de la sagesse et de la vérité, par la parole de ses proches et des grands maîtres, par la nature entière, par les rayons solaires, par l’air, par l’eau et par les fruits et le pain qui le nourrissent, qui le construisent et qui l’emplissent ainsi sans cesse, intérieurement, de toute son humanité comme un puissant mystère, l’homme, à force d’éprouver et de concevoir sa propre humanité et celle de ses proches, devient un récepteur permanent de l’amour divin, il aime Dieu dont il est constamment né et re-né et En qui il repose, il s’aime lui-même, pure émanation divine, et devient alors en mesure d’aimer ses proches et de là tous les êtres, et de connaître au travers de leurs luttes et leurs souffrances, leurs qualités divines, et leur divinité, et de les aimer…
Il aime Dieu, il Le côtoie, il L’implore, il Le reçoit et s’En emplit… et pour lui, ce pur amour, cette chaleur en lui l’emplit d’une telle plénitude- touchant ainsi à sa pure essence, divine- qu’elle le libère véritablement de tout désir extérieur et l’appelle, comme la mère aimante, à œuvrer sans cesse- peu importent ses douleurs et ses épreuves- à l’accomplissement des êtres aimés et à l’humanité entière…
Ainsi, dans une culture consciente et reconnaissante de l’ Amour en acte dans l’univers comme dans les consciences, emplis de cet amour divin, les hommes formeront-ils ces nouvelles Communes de Liberté, semblables à ces Communes actives et fraternelles de l’Amour, évoquées dans notre Large Epilogue ?(Vol II de notre Trilogie, Introd. à l’Histoire des Pays de l’Europe) : ils s’entraideront les uns les autres et s’élèveront les uns par les autres, produisant dans l’amour les valeurs nécessaires à cet avènement de la Nouvelle Humanité, à commencer par l’assistance aux femmes et la reconnaissance, femmes qui porteront en leur sein les Nouveaux Héros de l’Humanité future (1) et les élèveront ensuite avec l’aide de tous leurs proches assemblés, ils formeront les nouvelles écoles de l’Amour, de la Sagesse et de la Vérité, où la poésie, la musique seront les fondements de la vraie science, et les pavés du chemin de notre élévation initiatique et fraternelle, et ils entraideront l’humanité entière…
Petit Epilogue : La Nouvelle Humanité apparaîtra rapidement, telle une 6e Race de l’Amour…
Pour terminer cette analyse, qui concerne le sort actuel de l’ensemble des individus des Pays de l’Europe et du Monde, et l’évolution actuelle en cours, y compris celle de leur vie et leur santé, nous citerons certains passages du final du texte traduit de la Conférence de Deunov (Béïnça Douno) sur la Nouvelle Humanité, donnée le 19 Août 1920 à Véliko Tirnovo, en Bulgarie :
« Je crois (je pense, en 1920) qu’un grand réchauffement se prépare qui fera fondre les glaces. Il y aura de grandes évaporations dans les montagnes, des flots clairs et purs se mettront à couler. Ensuite viendra une végétation luxuriante, les graines semées depuis des milliers d’années- sur une Nouvelle Terre un jour émergée dans le Pacifique ?- germeront, grandiront, fleuriront et produiront des fruits… Et les Peuples… se tendront la main. Cette Nouvelle Culture que personne n’osait espérer viendra dans le monde. Et vous tous serez des citoyens de cette nouvelle culture, cette Nouvelle Humanité !
Vous êtes tous invités mais gardez-vous de refuser sous n’importe quel prétexte, comme firent ceux que le Christ invita, il y a 2000 ans…Le Christ vient à nouveau et (nous) invite maintenant…
Et quand nous aurons construit notre temple de la Nouvelle Humanité, la Sagesse et l’Amour viendront alors enfin sur la terre. Il y aura de la musique, de la poésie, de l’art. Et seulement alors viendra la justice pour tous et l’ordre règnera… Seulement alors viendra l’entente entre les peuples… Et seulement alors nous pourrons nous donner le baiser sacré qui nous fera ressentir la joie des anges. » Conférence sur La Nouvelle Humanité, Extraits, du recueil de 12 conférences, La Beauté de la Vie, Beïnça Douno (Peter Deunov), maître Bulgare, 1864/1944. Maison d’édition Bialo Bratstvo.
Ainsi, l’humanité est à un tournant que les évènements cosmiques actuels pleins de sens nous appellent à prendre : Nous sommes tous invités, mais que ceux qui préfèrent demeurer dans l’idée de la vieille école, les vieilles conceptions, la vieille science, la vieille politique en restent là. Les autres, les humbles et les simples, les purs (qui écartent tout ce qui s’efforce en eux de rompre avec l’Amour, avec la Vie), les véridiques, constitueront la Nouvelle Humanité qui se prépare déjà. Il nous appartient, pour notre joie, notre plus grand bonheur, de nous engager dans ce Nouveau qui vient, c’est-à-dire dans l’Amour comme unique loi des existences et de l’Univers entier, l’amour porteur de vie et gage d’un retour aux harmonies cosmiques et de tout rajeunissement perpétuel !
« Heureux les purs, car ils verront Dieu »…
Michel Mounié, le 09/08/2020
(1) Sur le rôle actuel de la femme, selon Peter Deunov : Il est dit dans l’Apocalypse de Jean (Apocalypse 12), que c’est la femme, certes dans la maîtrise de l’égoïsme humain qui la perturbe encore aujourd’hui et lui occasionne bien des problèmes, et dans le véritable Amour qui unit seul les Bien aimés, c’est la femme qui enfantera la Nouvelle Humanité, attachée à la libération de ses proches ! (Un dragon, le Mal, le père du mensonge, voudrait s’emparer de l’enfant né…) C’est de celle-ci qu’il est dit selon des versets trop souvent déformés que « le talon de la femme (le bien) écrasera la tête du serpent (l’intellect dénaturé, privé de son rapport à la conscience) », le mensonge…
C’est la femme, qui engendrera une nouvelle humanité, initiée dès sa conception à l’héroïsme de l’amour. L’éducation et le libre arbitre personnel, ne déterminent que 25% plus 25% dans l’évolution de l’être humain. C’est la conception de l’enfant, dans le pur amour des amants, et c’est la mère qui préparera l’enfant, au stade embryonnaire, en l’appelant intérieurement à ce grand destin auquel il lui appartient aujourd’hui de se rendre : afin qu’il devienne un héros de l’amour et de la fraternité qui arrive. Et seule la mère aimante (à 50%, si nous parlons en chiffres) a ce pouvoir d’ouvrir nos futurs héros à une telle lumière et à la vraie Vie. (Ce que l’éducation véritable complétera) …