LA VACCINATION ANTIGRIPPALE

• Voici la liste des vaccins antigrippaux qui se trouvent sur le marché sauf le Tamiflu qui n’est pas un vaccin. C’est un médicament censé traiter la grippe et que je vous déconseille fortement pour son peu d’action et surtout à cause de ses effets secondaires. Le phosphate d’oseltamivir principe actif du Tamiflu est extrait de la badiane chinoise (à ne pas confondre avec la japonaise) La badiane chinoise est aussi utilisée dans la fabrication de l’acide shikimique. Cet acide qui ne présente aucune activité antivirale va être transformé plusieurs fois avant de devenir le phosphate d’oseltamivir molécule active du Tamiflu, médicament antigrippal du laboratoire Roche utilisé contre la grippe humaine et, à défaut d’autre médicament, contre les grippes aviaire et porcine.

Le vaccin antigrippal, quel qu’il soit est répété chaque année. Outre les impuretés il contient dans la plupart des vaccins des traces d’antibiotiques, des traces d’ovalbumine (attention aux personnes allergiques au blanc d’oeuf), du formaldéhyde et même du polysorbate 80 cancérigène. Les vaccins antigrippaux sont connus pour provoquer des complications neurologiques graves minimisés dans la publicité et rarement déclarées. Le vaccin de la grippe est souvent inefficace car comme l’an dernier il mute fréquemment et n’empêche pas les épidémies éventuelles.
RIEN ne justifie les campagnes de vaccination généralisée. Il existe d’autres façons de se prémunir contre la grippe: la vitamine C naturelle (Acérola…), l’échinacée, les oligo-éléments (Mn-Cu, Cu, Cu Au- Ag…), l’homéopathie, (Thymuline…), l’aromathérapie (HE de Ravintsara…)… consultez un médecin compétent.
Les médecins qui prescrivent le vaccin antigrippal de façon systématique sont des médecins formatés aux protocoles, payés à la performance par la Sécurité Sociale à hauteur de 8000 euros par an et qui acceptent cet état de fait inadmissible pour de l’argent.

Les effets indésirables suivants ont été observés selon les fréquences suivantes : très fréquent (≥ 1/10) ; fréquent (≥ 1/100, < 1/10) ; peu fréquent (≥ 1/1000, < 1/100).

Données issues des essais cliniques :

^*  Ces réactions disparaissent généralement en 1 à 2 jours, sans traitement.

  Population pédiatrique :

Fluarix a été administré au cours d’études cliniques menées chez des enfants sains âgés de 6 mois à 17 ans (plus de 3500 enfants).

Dans tous les groupes d’âge et pour l’ensemble des doses administrées, l’effet indésirable local le plus fréquemment rapporté après la vaccination était une douleur avec une fréquence de 31,9 % à 52,7 %.

Chez les enfants âgés de moins de 6 ans, l’effet indésirable général le plus fréquemment rapporté était une irritabilité avec une fréquence de 8,1 % à 23,2 % pour l’ensemble des doses administrées.

Cet effet d’irritabilité est très fréquent pour tous les vaccins qui sont en partie non négligeable cause de l’hyperactivité de nos enfants (NDLR)

Chez les enfants âgés de 6 ans et plus, l’effet indésirable général le plus fréquemment rapporté était des douleurs musculaires avec une fréquence de 10,7 % à 24,6 % pour l’ensemble des doses administrées.

Les effets indésirables suivants ont été rapportés dans cette population.

⁽¹⁾  Rapporté chez les enfants âgés de 6 mois à 17 ans.

⁽²⁾  Rapporté chez les enfants âgés de 6 mois à < 6 ans.

⁽³⁾  Rapporté chez les enfants âgés de 6 ans à 17 ans.

Données post-commercialisation :

Les événements indésirables rapportés au cours de la surveillance après commercialisation, en plus de ceux déjà observés au cours des essais cliniques, sont les suivants :

• Affections hématologiques et du système lymphatique : thrombocytopénie transitoire, lymphadénopathie transitoire.
• Affections du système immunitaire : réactions allergiques (symptômes incluant conjonctivite), conduisant dans de rares cas à un choc, angiœdème.
• Affections du système nerveux : névralgie, paresthésie, convulsions fébriles, troubles neurologiques, tels qu’encéphalomyélite, névrite et syndrome de Guillain-Barré.
• Affections vasculaires : vascularite avec dans de très rares cas une atteinte rénale transitoire.
• Affections de la peau et du tissu sous-cutané : réactions cutanées généralisées incluant prurit, urticaire, éruption cutanée non spécifique.

Avec tous ces effets secondaires la prévention vaccinale contre la grippe me paraît inappropriée.