L’industrie pharmaceutique peine à trouver de nouvelles molécules pour traiter efficacement les maladies. Une des raisons principales est le retour sur investissement.
En effet, la préoccupation première n’est pas de soigner ou de guérir les gens.
Guérir les malades n’est plus d’actualité car il tombe sous le bon sens qu’un malade guérit n’est plus rentable. Il est donc plus intéressant de chercher des molécules qui transforment le patient en malade chronique. C’est ce qui se passe avec le sida soigné par une trithérapie que le patient doit prendre à vie.  Une molécule très efficace, qui associée à la trithérapie, guérit le Sida, extraite de l’écorce de l’ Homolantus nutans, la prostratine, a été rapidement écartée.
Faire de la recherche sur des molécules déjà existantes (repositionnement des molécules), n’apporte aucune rentabilité.
C’est ce qui s’est passé lors de la fausse pandémie grippale appelée désormais la « covid 19 ».
Si cette même industrie avait reconnu l’efficacité de l’hydroxychloroquine, de l’azithromycine et de l’Ivermectine ils n’auraient jamais pu mettre sur le marché un vaccin quel qu’il soit.
Par ailleurs ils désiraient réaliser une étude expérimentale à grande échelle sur des produits prétendus préventifs à base d’ARN messager. Cette étude est toujours en cours et met en exergue son côté malfaisant puisque nous pouvons noter une augmentation sans précédent de la mortalité y compris de morts subites et de certaines maladies cardiaques, neurologiques, cancéreuses, dégénératives…
Nous sommes donc passé du:

stade 1 : guérir les malades au
stade 2 : rendre les malades dépendants à vie d’une molécule, au
stade 3  action dite préventive, en injectant un produit susceptible de prévenir une maladie (existante mais bénigne ou créée de toute pièce), mais qui en fait ne la prévient pas mais crée d’autres maladies que l’on va soigner avec des médicaments « appropriés » (double rentabilité). Ce même produit injectable (mais bientôt en comprimés) pouvant parfois (mais assez fréquemment) créer des maladies foudroyantes (turbo-cancers,Creutzfeldt- Jacob…) ou des arrêts cardiaques.

Actuellement l’industrie s’attaque à la bronchiolite, maladie qui n’existait pas dans les années 1970-80.
Les symptômes respiratoires sont souvent inquiétants pour les parents, mais cette maladie est le plus souvent bénigne.
99 % des bébés s’en sortent naturellement et seulement 0,3 % d’entre eux ont besoin d’être hospitalisés en 2021.
Il n’existe par conséquent aucune nécessité de prévenir cette maladie qui par ailleurs joue un rôle de façonnement des défenses immunitaires de l’enfant comme toutes les maladies infantiles (que les enfants devraient faire)
Il faut savoir qu’il n’y a pas que le VRS (Virus respiratoire syncitial) qui est la cause de la bronchiolite.
D’autres virus peuvent en être la cause :
des métapneumovirus dont le Human metapneumovirus ou HMPV (10% des bronchiolites), les rhinovirus, les virus grippaux, les parainfluenzae, les enterovirus… et certainement beaucoup d’autres puisque nous avons environ 100 milliards de virus et bactéries dans la bouche et 100 000 milliards dans l’intestin.
Alors, arrêtez d’avoir peur des microbes qu’il faut plutôt considérer comme nos alliés
C’est sans aucun doute aussi un déséquilibre de cette flore due à des causes multifactorielles qui est la véritable cause.
En effet, lors de ce déséquilibre peut apparaître un virus qui semble dominant (ici le VRS) mais cela ne préjuge pas qu’il en est la cause. Le dogme: une maladie = un microbe n’est pas une vérité première.
En effet certains microbes tels que E. Coli peuvent devenir pathogènes par déséquilibre de la flore (microbiote) alors que ce sont des microbes (bactéries) commensaux. Dans le cas d’une présence microbienne excessive, l’antibiothérapie va régler le problème aigu mais ne le réglera pas si ce problème devient chronique. Il faudra, bien entendu traiter le terrain, ce que ne sait pas faire la médecine officielle. Une espèce microbienne ne se développe et ne devient pathogène que si le terrain le permet.

Revenons à la bronchiolite. Dans le cas du nourrisson, la muqueuse respiratoire pulmonaire a des caractéristiques telles, qu’elle est associée à la mise en place de l’immunité et de la colonisation du poumon par un microbiote bactérien constitué de bactéries commensales primo-colonisatrices qui participent à la maturation de l’immunité de la muqueuse pulmonaire et donc à la sensibilité du nouveau-né à des pathologies pulmonaires.

En un mot, la nature fait fort bien les choses et la présence de ce microbiote protège le nourrisson.
Si les bronchiolites ont explosé en quelques années c’est que l’équilibre du microbiote pulmonaire est rompu et favorise le développement du VRS.
Quand j’étais enfant, les bronchiolites n’existaient pas.
Les causes sont multifactorielles et la solution ne passe surtout pas par la prévention puisque 99% des bébés guérissent de la bronchiolite. Et si 99% des enfants guérissent de cette maladie c’est que celle-ci est ultra bénigne et que vous ne devez en AUCUN CAS en avoir peur.

Par conséquent, il n’existe aucune raison valable d’injecter un produit tel que le Beyfortus ( Nirsévimab) en prévention de la bronchiolite.
D’ailleurs le service médical rendu (SMR) est qualifié de « modéré » par la HAS c’est-à-dire que le Beyfortus ne rend AUCUN SERVICE ; ’il ne sert strictement à RIEN . Le terme “modéré” est là pour faire passer la pilule.

https://www.has-sante.fr/jcms/p_3456503/fr/beyfortus-nirsevimab-virus-respiratoire-syncytial

Le pavilizumab (Synagis) anticorps monoclonal est réservé aux enfants à risque élevé. C’est le même discours que lorsqu’on vous parle des « formes graves » : discours de la peur qui n’a aucun sens.

Et n’oublions pas le nouveau vaccin pour la femme enceinte: l’Abrysvo. Mise sur le marché en septembre.
Il y a encore peu de temps, vacciner une femme enceinte était une aberration. Maintenant, cela devient un devoir…
L’Abryvso est indiqué pour :

  • La protection passive contre la maladie des voies respiratoires inférieures causée par le virus respiratoire syncytial (VRS) chez les nourrissons de la naissance jusqu’à l’âge de 6 mois à la suite de l’immunisation de la mère pendant la grossesse. Voir rubriques “Posologie” et “Pharmacodynamie”.
  • L’immunisation active des personnes âgées de 60 ans et plus pour la prévention de la maladie des voies respiratoires inférieures causée par le VRS.
    Il contient en excipients du Trométamol et du polysorbate 80.
    Femmes enceintes: SURTOUT, FUYEZ CE PRODUIT.


En fait, si vous hésitez encore à croire à l’inutilité de ces trois produits pour prévenir la bronchiolite, demandez-vous pourquoi l’industrie pharmaceutique fait autant de raffut publicitaire autour d’une maladie qui guérit spontanément à 99% ?

Les vaccins ne sont devenus que des produits publicitaires comme la lessive. Plus vous faites de la publicité, plus ça se vend et si ça ne se vend pas comme prévu, il suffit de les rendre obligatoires et d’installer des passes sanitaires et des QR codes en dépit de la liberté de disposer de votre corps.
Le plus grave c’est que non seulement ils ne vous protègent pas mais ils vous rendent malades et ils rendent vos enfants malades.

Bon courage à tous. Résistez

By docteurJO

Médecin de campagne puis Médecin de ville, acupuncteur, ostéopathe, vice Président de l'I.H.S (Institut Homéopathique scientifique), retraité depuis 2011. Je tiens ce blog qui a pour but de relayer en matière de santé, l'information des lanceurs d'alerte sur l'agriculture, la nutrition, la destruction des écosystèmes planétaires, les dérives de l'industrie pharmaceutiques, etc...

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