https://www.youtube.com/watch?v=l_SV2XAYRnw
Cette interview de Fabrice Di Vizio par Élise Blaise est remarquable.
Maître Di Vizio m’a ému jusqu’aux larmes. Sa plaidoirie en fin d’interview est poignante. Il exprime et crie ce que toute personne normalement constituée ressent au fond de ses tripes. J’ai vécu, j’ai frémis, j’ai crié avec lui ces mots, ces phrases emplies de vérité, débordantes de bon sens. J’ai peur pour lui. Cet homme est trop honnête et trop compétent !
Où sont-ils les médecins ? Qu’ont-ils fait à part une poignée ? – une poignée de sel –
Où est le sel de la terre ?
Qui est ce conseil de l’Ordre qui fait régner un ordre spécial au goût de Vichy ?
Qui sont ces médecins qui se taisent et renient leur serment d’Hippocrate en profitant du système et en traitant leurs confrères avisés de “complotistes”!
Jusqu’où iront-ils ?
[…] “Les suceurs de moelle, les paranoïaques à la niaque, les givrés du citron vert, les citronnés verts de peur, les politicards de la ringardise, les politicards de la foutaise, les politicards de la rigole, les politicards en gondole, les zigounettes de la politique. Où sont-ils donc ces derniers, là, prometteurs de la promesse, rugbymen du non-tenu, promoteurs du non-lieu, agitateurs de la languette.” […] (Poèmes fluoriques)
Qui sont donc ces hommes qui se permettent d’utiliser une épidémie virale presque banale pour mettre ce presque à la hauteur d’un tsunami hypothétique ?
Jusqu’où iront-ils?
Je me le demande, je vous le demande CAR je n’ai pas peur d’un virus mais j’ai peur de ces gens-là. Pas vous?
Mourir d’un virus, la belle histoire !
Mourir d’un virus est une chose banale
Mourir à cause de ces gens là, est une autre histoire.
Ils sont responsables de bien plus de morts que ceux provoqués par le SRAS CoV 2.
Il y a effectivement assassinat avec préméditation.
Comme dit l’ami Boris Vian: C’est dégueulasse, mais ça fait passer le temps
Et c’est leur passe-temps favori.
Et ça va durer.
Les complices font flores car la complicité est un gage de peinardise.
Je connais plein de confrères qui se vautrent dans cette peinardicité. Sans regrets, sans honte et qui se permettent de faire la morale de peur de perdre leurs prérogatives. Je les côtoie souvent. Ce sont des roquets. Ils me font honte.
Jusqu’où iront-ils ?