Réflexions sur la covid 19

Pourquoi continuer dans l’idée saugrenue, et faire croire à la population, que la vaccination va régler cette pandémie. Des millions de personnes vont se faire vacciner dans l’espoir que les choses vont revenir à la normale. Ces millions de voix disent : finissons-en, vaccinez-nous que l’on n’en parle plus – geste ô combien suicidaire ! Des médecins et j’en connais beaucoup vont vacciner leurs concitoyens en pensant qu’ils agissent pour leur bien. Ils se font eux-mêmes vacciner ! Savent-ils qu’ils n’injectent pas des vaccins mais des produits dangereux quant à leur devenir dans un organisme humain et qu’ils sont complices des apprentis-sorciers qui fabriquent impunément (pour l’instant) ces pseudos-vaccins ?   J’en doute.
En réponse, le chef de l’état continue les mesures liberticides. Il vient de les annoncer en direct après nous avoir préparé par des insinuations préliminaires. J’avais prédit sur mon blog un confinement national pour le 13 mars (lettre envoyée aux préfets en octobre 2020). Il a juste été repoussé au premier avril.
La tactique est toujours la même : protéger les autres, nos anciens et nos enfants, féliciter les soignants, passer de la pommade, faire appel à la responsabilité de chacun et de tous etc., etc. (violons). Jusqu’à quand va-t-il pouvoir jouer la même partition ? Il y aura effectivement en mai un relâchement des mesures avec un cocorico vaccinal qui sera plus ou moins tenu jusqu’à fin août puis rebelote avec des variants ou un nouveau virus – tactique facile, éculée, grossière mais qui va marcher et redémarrage pour un an de plus etc., etc.

Plus on vaccine plus la maladie réapparaît et plus il y a de cas. C’est ce qui se produit au Chili. Raisonnement de complotiste, ou raisonnement consécutif à une approche raisonnable et objective de la situation et des faits.
Aragon disait que nous n’avions pas tous les mêmes cartes.
La situation s’aggrave dans les hôpitaux d’Île de France. Les services de réanimation sont débordés. Ce matin sur BFM TV un reportage dans un hôpital : ils viennent de recevoir une personne malade depuis 15 jours dont l’état s’est aggravé. Cette personne n’a semble -t-il pas vu de médecins pendant ces 15 jours ! N’a pas reçu de traitement ! Que se passe -t-il exactement ? Quelque chose m’échappe. Je vais consulter le réseau Sentinelle 
(https://websenti.u707.jussieu.fr/sentiweb/) et je lis :

Situation observée pour la semaine 12 de l’année 2021, du 22 au 28/03/21

Infection respiratoire aiguë (IRA) ¨ (COVID-19, GRIPPE et autres virus respiratoires) Activité en augmentation en médecine générale

En France métropolitaine, la semaine dernière (2021s12), le taux d’incidence des cas d’infection respiratoire aiguë (IRA) vus en consultation (ou en téléconsultation) de médecine générale ´ a été estimé à 131 cas pour 100 000 habitants (IC 95% ` [117 ; 145]). Ce taux est en augmentation par rapport à la semaine 2021s11 (données consolidées : 88 [78 ; 98]). Les données nationales et régionales complètes sont disponibles en dernière page de ce bulletin.

                                                                           15-21 février 101 cas
 4-10 janvier   95 cas                                  22-28 février   92 cas
 11-17 janvier 90 cas                                   01-07 mars 69 cas                                                       
18-24 janvier 103 cas                                 08-14 mars 84 cas
 25-31 janvier 119 cas                                15-21 mars 95 cas
 01-07 février 116 cas                                 22-28 mars 131 cas
08-14 février 107 cas
Pas de quoi confiner un pays entier. On parle de cas, pas de morts !

Il existe donc un vrai problème, une vraie question comme dit le Pr Raoult.

Comment se fait-il que les urgences soient débordées et que les médecins généralistes ne voient pas de cas et que les entrées à l’hôpital diminuent. Bizarre !

Ou bien les patients ne vont pas consulter ou les médecins généralistes ne les soignent pas et leur disent : restez chez vous et prenez du doliprane ce qui équivaut à une non- assistance à personne en danger.
Qui sont actuellement ces patients qui encombrent les urgences et les réanimations ?
Trois possibilités :
–           Ils n’ont pas été soignés en ville par leur médecin traitant et sont restés chez eux sans traitement. Leur cas s’aggrave et ils se précipitent à l’hosto.
–           Ils ont des comorbidités et ce sont elles qui les amènent à l’hosto s’étant aggravées sous l’impulsion virale
–           Ils ont été vaccinés comme Bachelot et ça dérape.

Dans tous les cas, les services manquent de lits et de personnel. Mais je reste persuadé que ce sont toujours les mêmes hôpitaux. Il y a des hôpitaux et des cliniques qui ont des lits vides. Le Dr Benjamin Davido a bien fait remarquer sur BFM TV qu’il n’y avait pas que des malades covid en réanimation. Chaque cas dit covid devrait être décortiqué.
Tout ce battage médiatique ne ressemble qu’à des blancs d’œufs montés en neige par quelques médecins.


L’important dans les virus n’est pas de savoir comment ils pénètrent dans l’organisme et comment ils se reproduisent même si cette connaissance est intéressante. Pourquoi ? Parce que chaque organisme touché est différent du voisin et que c’est à l’organisme de chacun de se donner les moyens de se protéger des virus. De plus, les virus étant différents les uns des autres sont classés par famille et dans chaque famille il y a des virus différents. Nous nous trouvons donc comme le souligne parfaitement le Pr Raoult dans des écosystèmes et la seule façon de lutter est de comprendre ceux-ci globalement et pas dans le détail.
Il faut faire des études certes mais intelligentes. Connaître les produits et remèdes qui stimulent le système immunitaire des humains en testant les produits et remèdes connus et issus de l’observation empirique car en médecine toutes les découvertes viennent de l’empirisme et donc de l’observation.
Toute personne un tantinet curieuse sait actuellement qu’un bon système immunitaire sera entretenu par :

  • Une alimentation équilibrée faite de produits sains et variés
  • Une quantité d’aliments raisonnables
  • Une hydratation quotidienne correcte d’un litre à un litre et demi d’eau par jour
  • Una activité physique régulière
  • La prise l’hiver en préventif de certains produits reconnus par l’expérience à savoir :
  • La vitamine D, la vitamine C (fruits, légumes)
  • Le zinc, le cuivre, l’or, l’argent, le manganèse en oligo-éléments
  • Les antiparasitaires qui sont des antiviraux et qu’il faut prescrire chez toutes les personnes qui sont en contact étroits avec des personnes malades, elles aussi traitées par ces mêmes produits dès l’apparition de symptômes aggravants (HCQ, Ivermectine, Artemisia annua ou afra,).
  • Les macrolides qui peuvent être associés aux antiviraux- antiparasitaires (tels que l’azithromycine ou la clarithromycine) car ce sont des antibactériens et des antiviraux. De même le Clofoctol.
  • Les antihistaminiques telle la Quercétine à la dose d’une gélule à 400 ou 500mg tous les jours car ce sont aussi des antiviraux.
  • Les HE de Ravintsara ou de Tea Tree 
  • L’Echinacea en teinture mère (TM) etc.

La recherche médicale est tombée dans la mégalomanie de l’infiniment petit et a fait de cette recherche une panacée. Or la panacée ne peut venir que d’une conception d’ensemble. On ne peut séparer le particulier de l’ensemble. Vouloir vacciner avec une protéine Spike est absurde et vouloir faire fabriquer cette protéine par les cellules humaines est criminel. Et je reste persuadé que cette façon de procéder n’est pas réalisée par des irresponsables mais par des gens tout à fait conscients des répercussions sur le long terme qui ne peuvent être que catastrophiques.
Ces personnes doivent être jugées pour crimes contre l’humanité avec des peines effectives et incompressibles.

Lorsque j’étais interne les visiteurs médicaux nous affolaient avec le streptocoque béta hémolytique, nous conseillant de donner des antibiotiques pour toutes les angines. La tactique de l’industrie pharmaceutique est toujours la même : partir d’un fait réel mais rare et en faire une généralité associée à la peur.
C’est ce qui se produit actuellement mais à grande échelle associé à une corruption sans précédent, morale, financière et associée au chantage et à la peur.
Notre vie dure une minute et nous loupons la seconde de l’honneur par manque d’effectifs qui ont des couilles.
Augmentons ces effectifs qui pourtant tous les matins se les grattent.
Notre liberté est à ce prix.

By docteurJO

Médecin de campagne puis Médecin de ville, acupuncteur, ostéopathe, vice Président de l'I.H.S (Institut Homéopathique scientifique), retraité depuis 2011. Je tiens ce blog qui a pour but de relayer en matière de santé, l'information des lanceurs d'alerte sur l'agriculture, la nutrition, la destruction des écosystèmes planétaires, les dérives de l'industrie pharmaceutiques, etc...

One thought on “Mise au point de printemps sur la covid 19”
  1. Merci docteur Alain Joseph pour cette lumineuse analyse à laquelle je souscris ans réserves.
    Je n’ai pas votre connaissance, loin de là, dans l’art médical; mais, je suis persuadé que ces pseudo-vaccins vont aggraver la situation dès l’automne prochain; des nouveaux variants ou virus “plus vachards” vont apparaître et le soi disant remède “vaccinal” va vite se révéler pire que le mal initial, mais il sera trop tard pour la grande majorité des lecteurs qui se seront fait vacciner. Je crains même que les pays qui crient victoire ( La Grande Bretagne, Israël) connaissent des lendemains difficiles, et puis nous-mêmes dans leur sillage, mais j’espère sincèrement me tromper. Ces pseudos-vaccins peuvent précipiter le monde dans une catastrophe sanitaire bien réelle celle-ci et qui n’épargnera pas les plus jeunes.
    Et je redis ici que je suis écoeuré par la lâcheté, l’ignorance, la veulerie, de la grande majorité des médecins généralistes qui ont abdiqué tout esprit critique, toute conscience même et qui ne sont plus qu’une armée de Thomas Diafoirus plus dangereux qu’autre chose. Quelle faillite intellectuelle et humaine.
    Une petite anecdote racontée malicieusement autrefois par l’illustre docteur Roland Sananès: L’Argentine avait connu une grève des médecins généralistes pendant un certain temps. Qu’arriva-t-il? On constata une baisse de la mortalité chez les argentins durant cette période qui réaugmenta une fois le conflit terminé. Amusant, n’est ce pas. Il ne s’agissait pas de praticiens homéopathes bien sûr.

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