Le Conseil d’État a rendu obligatoire le retour du vaccin DT Polio sans adjuvants et la ministre Agnès Buzyn a passé outre en rendant obligatoire 11 vaccins.
“Les alertes sur la toxicité de l’aluminium vaccinal existent depuis les années 1970. L’Institut Pasteur avait en effet retiré l’aluminium de tous ses produits (vaccins et traitements contre les allergies) de 1974 à 1986, du fait du nombre croissant de publications indiquant les risques liés à l’aluminium utilisé comme adjuvant vaccinal (notamment en terme de développement de l’allergie).”
Réponse du Ministère du travail, de l’emploi et de la santé publiée dans le JO Sénat du 03/05/2012 – page 1117
“L’hypothèse d’une substitution des sels d’aluminium par d’autres adjuvants immunogènes innovants mais non identifiés à ce jour, conduirait à évaluer leur rapport bénéfice/risque dans le cadre d’études cliniques de longue durée (de qui se moque t-on?). C’est une contrainte incontournable en termes de santé publique et le retrait en urgence des sels d’aluminium présents dans un grand nombre de vaccins recommandés dans le calendrier vaccinal actuel n’est pas envisageable.”(justement oui, c’est envisageable car c’est urgent!)
L’Institut Pasteur a t-il effectué des “études cliniques de longue durée” pour changer les sels d’aluminium par le phosphate de calcium (vaccins IPAD) de 1974 à 1986 ? Certainement pas.
Ce dernier a été utilisé avec succès pendant 12 ans pour être finalement remplacé de nouveau par les sels d’aluminium (sans études!) à cause de bas intérêts financiers: sa fusion avec l‘Institut Mérieux le plaçant ainsi – après Merck – comme le deuxième fabricant mondial de vaccins.
C’est ce que reconnaît avec cynisme dans ce documentaire le Dr Marc Girard. Pour lui le malade atteint de myofasciite à macrophages est “un pauvre clochard”. Ce n’est sans doute pas un de ses enfants car s’il en a, ceux-ci n’ont certainement pas été vaccinés, n’est-ce pas Mr Girard?
Et pour Jean-Yves Trouvin conseiller scientifique de l’AFSSAPS il n’y a rien à voir, 500 personnes déclarées (et combien de non déclarées?), sont une goutte d’eau dans la pensée aiguisée de Mr Trouvin qui pense que le vaccin a un “excellent profil de sécurité”. En tout cas c’est ce qu’on lui a dit et il le répète tel un perroquet. Pour moi, c’est votre profil qui m’interpelle Mr Trouvin!
Dans ce documentaire, le Pr Lery et le Pr Relyveld ont bien averti les autorités du danger des sels d’aluminium mais en vain. C’est la “direction de Pasteur qui décide” pas les scientifiques.
Je voudrais signaler que lors du visionnage de ce documentaire, pendant l’interview du Pr Relyveld, apparaît un encart: “n’écoutez pas c’est faux!” Qui a bien pu glisser cet encart? Il n’a pas le courage de se nommer! Pensez-vous que le Pr Relyveld est entrain de mentir en montrant à la caméra la lettre du Pr Lery? Quelle honte!
Madame la ministre Agnès Buzyn vous êtes au courant de ces faits historiques; vous savez que le phosphate de calcium a été remplacé par les sels d’aluminium pour de basses raisons industrielles, vous savez que l’industrie vous oblige (mais sans vous forcer, puisque vous êtes complice) à donner des arguments fallacieux et vous savez pertinemment que les sels d’aluminium sont dangereux. Vous avez visionné ce documentaire. Alors?
Comme le Dr Girard, vous faites fi des mille”pauvres clochards” atteints de myofasciite à macrophages et d’autres atteints de maladies auto-immunes.
Je suis persuadé que vous ne vous êtes jamais déplacée pour aller en voir un seul! Vous prétendez que la myofasciite à macrophages n’existe qu’en France! Ce n’est pas l’avis du Pr Exley grand spécialiste de l’aluminium. L’avez-vous consulté?
Vous aurez un retour de boomerang madame la Ministre:” Bien mal acquis ne profite jamais.”
SIGNEZ LA PÉTITION POUR LA DÉMISSION DE LA MINISTRE DE LA SANTÉ AGNÈS BUZYN !
On commence par rétablir la vérité: L’Institut Pasteur n’a JAMAIS fusionné avec Mérieux. L’Institut Pasteur est une fondation de recherche qui a cédé en 1986 ses deux branches commerciales (toujours distinctes de l’unité de recherche) soit Diagnostic Pasteur à Sanofi et Pasteur Vaccins à Mérieux. Le Pr Relyveld – que j’ai personnellement connu et pour qui j’éprouve encore le plus grand respect (il est décédé en 2013) a recommandé l’utilisation du phosphate de calcium au lieu de sels d’aluminium pour potentialiser l’effet du vaccin. Cependant même le phosphate de calcium pourtant assimilable par l’organisme peut également être d’un emploi délicat. Alors? La quantité maximum de sels d’aluminium par dose de vaccin ne peut dépasser 0,80 mg. Réfléchissez 5 mn… prenons la polio, par exemple – pratiquement éradiquée chez nous (grâce au vaccin, désolée) mais toujours présente en Afrique et bien d’autres endroits du monde. Alors voilà le choix: 0,80 mg maximum de sels d’aluminium dans l’organisme – ah, non, plutôt crever! OK, voilà l’alternative: une paire de béquilles, des jambes atrophiées et tordues et une existence d’infirme; ça suffit comme démo ou il faut que je développe?
Les épidémies arrivent en général dans un contexte favorable des écosystèmes et la notion de terrain ne peut pas être résolue par un vaccin. La vaccination anti-polio a certainement joué un rôle mais n’a pas été la seule à enrayer la polio qui est un maladie de manque d’hygiène. Les énormes progrès de l’hygiène publique sont un facteur déterminant. Le vaccin IPV en France n’est pas altruiste contrairement à l’OPV mais ce dernier est beaucoup plus dangereux. Actuellement en Afrique il existe des mutations vaccinales responsables d’épidémies de polio. Le vaccin IPV ne protège pas le non vacciné et n’empêche pas la circulation éventuelle du virus. Il n’y a pas d’obligation morale ou altruiste de vacciner les bébés dans nos régions mais il existe une obligation de former les gens à l’hygiène.
Concernant l’aluminium, vous ne pouvez pas comparer l’aluminium soluble et l’aluminium injecté dans un muscle. Ce n’est pas du tout la même chose
Quant au Pr Relyveld il dit clairement qu’il s’était opposé au remplacement du phosphate de calcium par les sels d’aluminium. Ce remplacement n’a été effectué que pour des problèmes de rentabilité. Ce n’est pas étonnant quand on sait que le patient malade n’est plus la préoccupation de l’industrie pharmaceutique