Selon Jean-Louis Schlienger de l’Hôpital de Haute-Pierre à Strasbourg l’aïl ne “constitue pas une alternative aux traitements conventionnels des dyslipidémies et de l’HTA.” Il paraît que “des métaanalyses et une revue systématique (si,si), ne lui trouvent pas d’action significative sur les lipides, l’hypertension artérielle et la glycémie.” Il serait donc dépourvu “des vertus thérapeutiques dont il est paré” (Le Quotidien du médecin du 15 octobre 2007)

C’est pour cela que dans les régions où on mange beaucoup d’aïl il y a moins d’accidents cardiovasculaires que dans les régions où l’aïl n’est pas consommé (comme à Strasbourg!). Je suis espanté par le raisonnement profond de Monsieur Jean-Louis Schlienger et par le résultat stupéfiant qu’apporte les métaanalyses (et une “revue systématique”?). N’est-ce pas?